Plus de 761.000 candidats à l'examendu baccalauréat 2017sont attendusaujourd'hui, mercredidans 2.518 centresd'examen, alors quel'annonce desrésultats aura lieuavant la mi-juilletprochain. Plus de 761.000 candidats à l'examendu baccalauréat 2017sont attendusaujourd'hui, mercredidans 2.518 centresd'examen, alors quel'annonce desrésultats aura lieuavant la mi-juilletprochain. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, donnera lecoup d'envoi des épreuves decet examen de cinq jours (du20 au 25 juin), depuis leswilayas de Khenchela et deTebessa. D'après les statistiques fournies par le ministère,le nombre global de candidatsaux épreuves du baccalauréats'élève à 709.448 candidats, soit en baisse de 7,3 %par rapport à l'année écouléequi a enregistré 761.701. Acette occasion, 260.000 encadreursseront mobilisés auniveau des centres d'examen etde regroupement et codage etde correction, et ce parmi600.000 encadreurs mobiliséspour les trois examens nationaux,répartis entre personneladministratif, enseignants etprofessionnels. La ministre del'Education avait rassuré queles mêmes procédures en vigueur seront appliquées lorsde cette session avec la possibilitéde choisir entre deu sujets dans chaque matière, précisant que les candidatsbénéficieront, s'agissant de ladurée des épreuves, de 30minutes supplémentaires. Des mesures pour garantir la crédibilité du BAC et l'égalité des chances Afin de préserver la crédibilité de l'examen du baccalauréat et de garantir le principe de l'égalité des chances entre les candidats, la ministre a soulignéque desmesures nécessaires ont été prises pour sécuriser l'opération à travers "un protocole extrêmement long et très pointu qui sera mis en oeuvre au niveau local avec la contribution des services de sécurité". Elle a précisé que la sécurisation de cet examen commence au niveau de l'Office national des examens et concours (Onec) qui a bénéficié cette année d'"une remise à niveau" grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirs publics. Parmi les mesures visant à sécuriser le déroulement de l'examen figurent l'interdiction des téléphones portables, des outils numériques, des écouteurs, des antisèches, etc. S'agissant des sanctions prévues contre les candidats coupables detriche, la ministre avait indiqué que les sanctions varient entre 5 ans d'exclusion pourles candidats scolarisés et 10 ans pour les candidats libres. Pour réussir donc cet événementtant attendu, les pouvoirspublics n'ont rien laissé au hasard. Toutes les mesures étaient prises pour garantir la crédibilitédes examens, avec la contribution des secteursconcernés. Outre, le personnel du secteur de l'éducation, il en est de même pour les éléments des différents corps de sécurité. La DGSN et la GN ont élaboré un plan de sécuritéspécial pour ces examens en mobilisant les moyens humains et matériels pour le bon déroulement de ces épreuves. Un plan portant la mobilisation de milliersd'agents de différents grades.Ce plan prévoit la sécurisation de 18.500 centres d'examen à traversle territoire de compétence de la Sûreté nationale au niveau de toutes les wilayas du pays, les centres de collecte, ceux de correction, sans oublier les centres d'impression et ceux de conservation des copies. Par ailleurs, tous les dispositifs de prévention ont été mis en place pour faciliter la circulation à proximité des centres d'examen et assurer la sécurité des candidats àtravers des points decontrôle fixes et d'autresmobiles en vue de la réussite de toutes les conditions réunies pour le bon déroulement des épreuves du baccalauréat à travers tous le territoire nationale. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, donnera lecoup d'envoi des épreuves decet examen de cinq jours (du20 au 25 juin), depuis leswilayas de Khenchela et deTebessa. D'après les statistiques fournies par le ministère,le nombre global de candidatsaux épreuves du baccalauréats'élève à 709.448 candidats, soit en baisse de 7,3 %par rapport à l'année écouléequi a enregistré 761.701. Acette occasion, 260.000 encadreursseront mobilisés auniveau des centres d'examen etde regroupement et codage etde correction, et ce parmi600.000 encadreurs mobiliséspour les trois examens nationaux,répartis entre personneladministratif, enseignants etprofessionnels. La ministre del'Education avait rassuré queles mêmes procédures en vigueur seront appliquées lorsde cette session avec la possibilitéde choisir entre deu sujets dans chaque matière, précisant que les candidatsbénéficieront, s'agissant de ladurée des épreuves, de 30minutes supplémentaires. Des mesures pour garantir la crédibilité du BAC et l'égalité des chances Afin de préserver la crédibilité de l'examen du baccalauréat et de garantir le principe de l'égalité des chances entre les candidats, la ministre a soulignéque desmesures nécessaires ont été prises pour sécuriser l'opération à travers "un protocole extrêmement long et très pointu qui sera mis en oeuvre au niveau local avec la contribution des services de sécurité". Elle a précisé que la sécurisation de cet examen commence au niveau de l'Office national des examens et concours (Onec) qui a bénéficié cette année d'"une remise à niveau" grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirs publics. Parmi les mesures visant à sécuriser le déroulement de l'examen figurent l'interdiction des téléphones portables, des outils numériques, des écouteurs, des antisèches, etc. S'agissant des sanctions prévues contre les candidats coupables detriche, la ministre avait indiqué que les sanctions varient entre 5 ans d'exclusion pourles candidats scolarisés et 10 ans pour les candidats libres. Pour réussir donc cet événementtant attendu, les pouvoirspublics n'ont rien laissé au hasard. Toutes les mesures étaient prises pour garantir la crédibilitédes examens, avec la contribution des secteursconcernés. Outre, le personnel du secteur de l'éducation, il en est de même pour les éléments des différents corps de sécurité. La DGSN et la GN ont élaboré un plan de sécuritéspécial pour ces examens en mobilisant les moyens humains et matériels pour le bon déroulement de ces épreuves. Un plan portant la mobilisation de milliersd'agents de différents grades.Ce plan prévoit la sécurisation de 18.500 centres d'examen à traversle territoire de compétence de la Sûreté nationale au niveau de toutes les wilayas du pays, les centres de collecte, ceux de correction, sans oublier les centres d'impression et ceux de conservation des copies. Par ailleurs, tous les dispositifs de prévention ont été mis en place pour faciliter la circulation à proximité des centres d'examen et assurer la sécurité des candidats àtravers des points decontrôle fixes et d'autresmobiles en vue de la réussite de toutes les conditions réunies pour le bon déroulement des épreuves du baccalauréat à travers tous le territoire nationale.