Le secrétaire général du FLN (Front de libération nationale), Djamel OuldAbbès,réagit aux déclarations de la porte-paroledes droits de l'Homme des Nations unis etdes Organisations non gouvernementales sur les migrants africains. Le secrétaire général du FLN (Front de libération nationale), Djamel OuldAbbès,réagit aux déclarations de la porte-paroledes droits de l'Homme des Nations unis etdes Organisations non gouvernementales sur les migrants africains. Il justifie en citant quelques précisions sur les liens de"fraternité et de solidarité" entre l'Algérieet les pays africains limitrophes notammentle Mali pendant la guerre deLibération en 1960 .S'exprimant hier sur le problème desmigrants africains qui s'est posé avecacuité, il y a deux mois, Djamel OuldAbbès déclare que ces "Organisations nongouvernementales ne portent que le nom".Face à leurs critiques, Djamel OuldAbbèsindique "les liens tissés par l'équiped'Abdelaziz Bouteflika à l'époque de luttecontre le colonialisme français (1960) avec l'Afrique étaient des liens de fraternité etdesolidarité". La première étape des négociations entamées entre l'Algérie et les colons français a buté sur le point qu'est l'ouverture d'un front au Sud etdu Grand Sud qui a été présidé parl'officier de l'ALN, Abdelaziz Bouteflika. Le président de la République,Abdelaziz Bouteflika, était âgé de 23 ans à l'époque où il s'est rendu au Mali, plus précisément à Gao, puis à Bamako, Sokoto et en Guinée, afin de consolider les relations entre l'Algérie et les pays africain . Le CNDH satisfait des conditions de rapatriement de migrants nigériens Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a exprimé sa "satisfaction" quant aux conditions ans lesquelles a été organisée l'opération de rapatriement de migrants nigérienspour laquelle une équipe pluridisciplinaire a été mobilisée par les pouvoirs publics. "De retour de la wilaya de Tamanrasset, le CNDH qui a fait partie de la caravane humanitaire ayant accompagné le rapatriement de migrants nigériens versleur pays d'origine fait état de sa satisfaction sur le déroulement de cette exigeante et complexe opération qui a duré quatre jours, et ce à partir de Zéralda jusqu'à Tamanrasset, en passant par leswilayas de Laghouat et de Ghardaïa et de la wilaya déléguée d'ln-Salah", a indiqué hier un communiqué du Conseil. Le CNDH a participé au déroulement de ce convoi humanitaire pour lequel,les pouvoirs publics "ont mobilisé une équipepluridisciplinaire de médecins, d'éducateurs, d'assistants sociaux et de psychologues ainsi que des moyens matériels composés de onze (11) bus, deux (2) camions de transports de provisions et d'effets vestimentaires et un(1) camion de carburant, pour assurer confort et sécurité aux migrants rapatriés".Ont participé à ce convoi humanitaire d'autres acteurs institutionnels et noninstitutionnels, des représentants de la presse écrite et audio-visuelle publique et privée, nationale et internationale ainsi que des représentants des agencesonusiennes accréditées à Alger en charge de la question migratoire comme le Haut commissariat aux refugiés (HCR) et l'Organisation internationale des migrants (OIM) dans le but de constater de visu les conditions dans lesquelles s'est déroulée l'opération de rapatriement de 355 migrants. Relevant qu'il s'agissait également, pour lui, de "s'enquérir des conditions d'hébergement et de prise en charge des migrants dans les structures de transit, notamment les personnes vulnérables", le CNDH se dit "conscient de la complexité de ces opérationset de leur sensibilité pour les pouvoirs publics, qui n'épargnent, d'ailleurs, aucun effort, ni umain, ni financier pour gérer au mieux le phénomène migratoire en Algérie, les exhorte de maintenir ce niveau de prise en charge et d'assurer une visibilité de cet effort, dans le respect total de la dignité humaine, etencourage les pouvoirs publics sur la nécessité d'aller au-delà du même sens". Le CNDH invite, aussi, tous les acteurs en charge de la question migratoire aux niveaux national et internationalà engager une réflexion approfondie sur l'immigration irrégulière transnationale, à laquelle fait face le monde entier, à l'instar de l'Algérie, et de trouver une solution durable au phénomène migratoire tant sur l'approche strictement humanitaire qu'économique et financière. Il appelle, en conséquence, à une "solidarité internationale agissante pour implémenter des stratégies et des politiquesde développement dans les Etats d'origine du phénomène migratoire", conclut le communiqué. Il justifie en citant quelques précisions sur les liens de"fraternité et de solidarité" entre l'Algérieet les pays africains limitrophes notammentle Mali pendant la guerre deLibération en 1960 .S'exprimant hier sur le problème desmigrants africains qui s'est posé avecacuité, il y a deux mois, Djamel OuldAbbès déclare que ces "Organisations nongouvernementales ne portent que le nom".Face à leurs critiques, Djamel OuldAbbèsindique "les liens tissés par l'équiped'Abdelaziz Bouteflika à l'époque de luttecontre le colonialisme français (1960) avec l'Afrique étaient des liens de fraternité etdesolidarité". La première étape des négociations entamées entre l'Algérie et les colons français a buté sur le point qu'est l'ouverture d'un front au Sud etdu Grand Sud qui a été présidé parl'officier de l'ALN, Abdelaziz Bouteflika. Le président de la République,Abdelaziz Bouteflika, était âgé de 23 ans à l'époque où il s'est rendu au Mali, plus précisément à Gao, puis à Bamako, Sokoto et en Guinée, afin de consolider les relations entre l'Algérie et les pays africain . Le CNDH satisfait des conditions de rapatriement de migrants nigériens Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a exprimé sa "satisfaction" quant aux conditions ans lesquelles a été organisée l'opération de rapatriement de migrants nigérienspour laquelle une équipe pluridisciplinaire a été mobilisée par les pouvoirs publics. "De retour de la wilaya de Tamanrasset, le CNDH qui a fait partie de la caravane humanitaire ayant accompagné le rapatriement de migrants nigériens versleur pays d'origine fait état de sa satisfaction sur le déroulement de cette exigeante et complexe opération qui a duré quatre jours, et ce à partir de Zéralda jusqu'à Tamanrasset, en passant par leswilayas de Laghouat et de Ghardaïa et de la wilaya déléguée d'ln-Salah", a indiqué hier un communiqué du Conseil. Le CNDH a participé au déroulement de ce convoi humanitaire pour lequel,les pouvoirs publics "ont mobilisé une équipepluridisciplinaire de médecins, d'éducateurs, d'assistants sociaux et de psychologues ainsi que des moyens matériels composés de onze (11) bus, deux (2) camions de transports de provisions et d'effets vestimentaires et un(1) camion de carburant, pour assurer confort et sécurité aux migrants rapatriés".Ont participé à ce convoi humanitaire d'autres acteurs institutionnels et noninstitutionnels, des représentants de la presse écrite et audio-visuelle publique et privée, nationale et internationale ainsi que des représentants des agencesonusiennes accréditées à Alger en charge de la question migratoire comme le Haut commissariat aux refugiés (HCR) et l'Organisation internationale des migrants (OIM) dans le but de constater de visu les conditions dans lesquelles s'est déroulée l'opération de rapatriement de 355 migrants. Relevant qu'il s'agissait également, pour lui, de "s'enquérir des conditions d'hébergement et de prise en charge des migrants dans les structures de transit, notamment les personnes vulnérables", le CNDH se dit "conscient de la complexité de ces opérationset de leur sensibilité pour les pouvoirs publics, qui n'épargnent, d'ailleurs, aucun effort, ni umain, ni financier pour gérer au mieux le phénomène migratoire en Algérie, les exhorte de maintenir ce niveau de prise en charge et d'assurer une visibilité de cet effort, dans le respect total de la dignité humaine, etencourage les pouvoirs publics sur la nécessité d'aller au-delà du même sens". Le CNDH invite, aussi, tous les acteurs en charge de la question migratoire aux niveaux national et internationalà engager une réflexion approfondie sur l'immigration irrégulière transnationale, à laquelle fait face le monde entier, à l'instar de l'Algérie, et de trouver une solution durable au phénomène migratoire tant sur l'approche strictement humanitaire qu'économique et financière. Il appelle, en conséquence, à une "solidarité internationale agissante pour implémenter des stratégies et des politiquesde développement dans les Etats d'origine du phénomène migratoire", conclut le communiqué.