En décembre 2017, sa chute avait chamboulé la vie politique en Corée du Sud.Les députés sud-coréens votaient alors la destitution de la présidente Park Geunhye, engluée dans un énorme scandale decorruption. En décembre 2017, sa chute avait chamboulé la vie politique en Corée du Sud.Les députés sud-coréens votaient alors la destitution de la présidente Park Geunhye, engluée dans un énorme scandale decorruption. Cette dernière dort en prisondepuis des mois, mais la justice n'en apas fini avec ce dossier. Sa peine vient depasser de 24 à 32 années d'emprisonnement.La présidente sud-coréenne déchuea écopé de huit de prison supplémentaires.D'abord pour détournement de fonds publics. Des fonds très spéciauxcar il s'agit de ceux des agences de renseignement.C'est une pratique courante en Corée duSud. Les services secrets ont une envelopperéservée à la présidence. Un budgetqui ne laisse pas de traces, que le chef del'Etat peut utiliser pour des opérations sensibles.Park Geun-hye s'est servi de cet argentpour entretenir son domicile et pouroffrir des primes à son entourage, le toutpour près de trois millions d'euros. Dansson jugement, le tribunal de Séoulestime que l'accusée a causé au Trésorpublic des pertes considérables. Elle est aussi sanctionnée pour violationde la loi électorale. Park Geun-hye s'estoccupé d'un peu trop très des législativesde 2016 en Corée du Sud. Elle n'auraitpas dû se mêler de la désignation des candidats de son parti. Mais on est encore loin du terme de cette affaire, puisque le parquet vient de faireappel de sa première condamnation pour corruption à 24 ans de prison. Il estimequ'en première instance, les juges ont ététrop cléments et réclame 30 ans de réclusion. Cette dernière dort en prisondepuis des mois, mais la justice n'en apas fini avec ce dossier. Sa peine vient depasser de 24 à 32 années d'emprisonnement.La présidente sud-coréenne déchuea écopé de huit de prison supplémentaires.D'abord pour détournement de fonds publics. Des fonds très spéciauxcar il s'agit de ceux des agences de renseignement.C'est une pratique courante en Corée duSud. Les services secrets ont une envelopperéservée à la présidence. Un budgetqui ne laisse pas de traces, que le chef del'Etat peut utiliser pour des opérations sensibles.Park Geun-hye s'est servi de cet argentpour entretenir son domicile et pouroffrir des primes à son entourage, le toutpour près de trois millions d'euros. Dansson jugement, le tribunal de Séoulestime que l'accusée a causé au Trésorpublic des pertes considérables. Elle est aussi sanctionnée pour violationde la loi électorale. Park Geun-hye s'estoccupé d'un peu trop très des législativesde 2016 en Corée du Sud. Elle n'auraitpas dû se mêler de la désignation des candidats de son parti. Mais on est encore loin du terme de cette affaire, puisque le parquet vient de faireappel de sa première condamnation pour corruption à 24 ans de prison. Il estimequ'en première instance, les juges ont ététrop cléments et réclame 30 ans de réclusion.