Le RCD s'est exprimé hier au sujet de la propositiondu président du MSP,Abderrazak Makri, pour unetransition politique pilotéepar l'armée, affirmant yêtre défavorable etcritiquant sèchement la proposition. Le RCD s'est exprimé hier au sujet de la propositiondu président du MSP,Abderrazak Makri, pour unetransition politique pilotéepar l'armée, affirmant yêtre défavorable etcritiquant sèchement la proposition. ContenuAl'instar d'autres formations politiques, qui ont déjà rejeté l'initiative de Makri, le RCD,selon sa propre lecture de la situation politique actuelle du pays, soulignedans son communiqué que "l'implication directe de l'Armée dans la gestionde l'impasse actuelle ne peut constituer une réponse crédible à lacrise politique que vit le pays". Pour le parti de Mohcine Belabbas"l'Algérie a besoin de jeter les basesd'institutions issues et contrôlées parla société dans un processus de démocratisationgraduel et transparentadossé à une légitimité incontestablepour tourner la page de l'autoritarismeet du fait du prince".Du point de vue du RCD, le partiislamiste et plus généralement toutesles partis qui poussent à intégrer lescasquettes dans l'équation politique"s'égarent dans des fausses et vainespistes pour contourner cette conditionsine qua non de toute sortie decrise" préférant pour sa part "revendiquerles conditions d'une compétition régulière et transparente pour garantir l'exercice de lasouveraineté du peuple". Outre l'initiative du parti islamiste, d'ailleursabordée dans la dernière partiedu communiqué, comme pour enminimiser la portée, le RCD a évoquéla situation globale du pays, faisant un constat sans concessions" Le secrétariat national constateque le pourrissement induit par la politiqued'un statuquo basée sur les gestionset décisions occultes, érigées en règle de gouvernance, atteint la quasitotalité des rouages de la vie publique", lit-on dans le communiqué qui pointe "Les renvois brutaux de cadres et les remous qui ont suivi le limogeage du DGSN". Autantde symptômes, selon le RCD qui "renseignent sur la profondeur du mal qui ronge de nombreuses institutionslivrées à une forme de privatisationclanique qui décrédibilise toute annonce émise dans un cadre institutionnel." ContenuAl'instar d'autres formations politiques, qui ont déjà rejeté l'initiative de Makri, le RCD,selon sa propre lecture de la situation politique actuelle du pays, soulignedans son communiqué que "l'implication directe de l'Armée dans la gestionde l'impasse actuelle ne peut constituer une réponse crédible à lacrise politique que vit le pays". Pour le parti de Mohcine Belabbas"l'Algérie a besoin de jeter les basesd'institutions issues et contrôlées parla société dans un processus de démocratisationgraduel et transparentadossé à une légitimité incontestablepour tourner la page de l'autoritarismeet du fait du prince".Du point de vue du RCD, le partiislamiste et plus généralement toutesles partis qui poussent à intégrer lescasquettes dans l'équation politique"s'égarent dans des fausses et vainespistes pour contourner cette conditionsine qua non de toute sortie decrise" préférant pour sa part "revendiquerles conditions d'une compétition régulière et transparente pour garantir l'exercice de lasouveraineté du peuple". Outre l'initiative du parti islamiste, d'ailleursabordée dans la dernière partiedu communiqué, comme pour enminimiser la portée, le RCD a évoquéla situation globale du pays, faisant un constat sans concessions" Le secrétariat national constateque le pourrissement induit par la politiqued'un statuquo basée sur les gestionset décisions occultes, érigées en règle de gouvernance, atteint la quasitotalité des rouages de la vie publique", lit-on dans le communiqué qui pointe "Les renvois brutaux de cadres et les remous qui ont suivi le limogeage du DGSN". Autantde symptômes, selon le RCD qui "renseignent sur la profondeur du mal qui ronge de nombreuses institutionslivrées à une forme de privatisationclanique qui décrédibilise toute annonce émise dans un cadre institutionnel."