Pour le RCD, "une fois de plus, l'opinion est désemparée etne retient de ce nouveaufeuilleton qu'un règlement decomptes dans le sérail pourlivrer le pays à un clan ou àun autre, y compris par laviolence, à la veille du plusimportant rendez-vousélectoral constitutionnel dupays". Pour le RCD, "une fois de plus, l'opinion est désemparée etne retient de ce nouveaufeuilleton qu'un règlement decomptes dans le sérail pourlivrer le pays à un clan ou àun autre, y compris par laviolence, à la veille du plusimportant rendez-vousélectoral constitutionnel dupays". Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a réagi, hier, aulimogeage du Directeur général de laSûreté nationale (DGSN) AbdelghaniHamel, en le qualifiant de "spectaculaire"même si cette décision "n'est pourtant pas le premier signal de l'intenable politique de statuquo infligée au pays par un systèmepolitique qui a mué en sectes concurrentes, otages de leurs propres agissements". Dans un communiqué publié samedi, le RCD écrit qu'au sujet du"dernier scandale en date : l'affaire de la cocaïne, il ne s'agit plus de passe-droits ou de trafic d'influence, devenus monnaie courante et qui impactent les choix stratégiques et les décisions dans de juteux secteurs d'activités ; des institutions régaliennes ou névralgiques sont l'objet de pressions qui les livrent à des arbitrages relevant d'intérêts privés". Le parti de Mohcine Belabbas avertit que le résultat de l''opacité" dans laquelle les affaires de l'Etat sont gérées "est désastreux". Pour le RCD, "une fois de plus, l'opinion est désemparée et ne retient de ce nouveau feuilleton qu'un règlement de comptes dans le sérail pour livrer le pays à un clan ou à un autre, y compris par la violence, à la veille du plus important rendez-vous électoral constitutionnel du pays". Il rappelle que "l'affaire qui a déclenché cette tempête fait suite a l'interception en haute mer d'une cargaison de cocaïne par les services de l'Armée sur un paquebot qui se dirigeait vers le port d'Oran. C'estensuite le parquet d'Alger qui a été saisi del'affaire. Très vite cette opération prend des allures de scandale politique". "Si une information régulière et complète avait été donnée, à temps par les agents habilités pour le faire, la rumeur et la distillation de - scoops - auraient été moinsprégnantes sur une opinion largement désabusée et fragilisée par une guerre de succession qui n'en finit pas", souligne le RCD. "Les discrédits à répétition que subissent les institutions de l'Etat n'ont pas seulement un coût économique et financier", soutient le même parti qui avertit que "les promoteurs de ces hold-up à répétition couplé à la promotion d'un statuquo mortifère et une situation régionale incertaine conduisent tout droit la collectivité nationale vers l'anarchie voire la violence et l'inconnu". Le parti de Mohcine Belabbas considère qu'en dépit de "cette politique anti nationale et anti sociale, nous sommes convaincus que les idéaux patriotiques animenttoujours l'écrasante majorité de notre peuple". Et il suggère pour "une sortie pacifique de crise", "la levée des interdictions et contraintes sur les activitéspubliques des associations et partis politiques, des mesures d'apaisement sur le front social et une volonté affichée de transparence dans la gouvernance économique et judiciaire avant d'envisager la mise en place d'élections régulières et transparentes comme l'ont fait des pays disposant de ressources humaines et naturelles nettement inférieures à celles del‘Algérie". Le RCD conclut son communiqué en appelant "à la plus grande vigilance pour éviter d'autres drames" et affirme qu'"il reste persuadé qu'une issue positive au blocage historique de la vie publique est possible. Malgré la colère légitime des citoyens et l'autisme des dirigeants propices aux appels et raccourcis politiciens, la solution sera pacifique ou ne sera pas Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a réagi, hier, aulimogeage du Directeur général de laSûreté nationale (DGSN) AbdelghaniHamel, en le qualifiant de "spectaculaire"même si cette décision "n'est pourtant pas le premier signal de l'intenable politique de statuquo infligée au pays par un systèmepolitique qui a mué en sectes concurrentes, otages de leurs propres agissements". Dans un communiqué publié samedi, le RCD écrit qu'au sujet du"dernier scandale en date : l'affaire de la cocaïne, il ne s'agit plus de passe-droits ou de trafic d'influence, devenus monnaie courante et qui impactent les choix stratégiques et les décisions dans de juteux secteurs d'activités ; des institutions régaliennes ou névralgiques sont l'objet de pressions qui les livrent à des arbitrages relevant d'intérêts privés". Le parti de Mohcine Belabbas avertit que le résultat de l''opacité" dans laquelle les affaires de l'Etat sont gérées "est désastreux". Pour le RCD, "une fois de plus, l'opinion est désemparée et ne retient de ce nouveau feuilleton qu'un règlement de comptes dans le sérail pour livrer le pays à un clan ou à un autre, y compris par la violence, à la veille du plus important rendez-vous électoral constitutionnel du pays". Il rappelle que "l'affaire qui a déclenché cette tempête fait suite a l'interception en haute mer d'une cargaison de cocaïne par les services de l'Armée sur un paquebot qui se dirigeait vers le port d'Oran. C'estensuite le parquet d'Alger qui a été saisi del'affaire. Très vite cette opération prend des allures de scandale politique". "Si une information régulière et complète avait été donnée, à temps par les agents habilités pour le faire, la rumeur et la distillation de - scoops - auraient été moinsprégnantes sur une opinion largement désabusée et fragilisée par une guerre de succession qui n'en finit pas", souligne le RCD. "Les discrédits à répétition que subissent les institutions de l'Etat n'ont pas seulement un coût économique et financier", soutient le même parti qui avertit que "les promoteurs de ces hold-up à répétition couplé à la promotion d'un statuquo mortifère et une situation régionale incertaine conduisent tout droit la collectivité nationale vers l'anarchie voire la violence et l'inconnu". Le parti de Mohcine Belabbas considère qu'en dépit de "cette politique anti nationale et anti sociale, nous sommes convaincus que les idéaux patriotiques animenttoujours l'écrasante majorité de notre peuple". Et il suggère pour "une sortie pacifique de crise", "la levée des interdictions et contraintes sur les activitéspubliques des associations et partis politiques, des mesures d'apaisement sur le front social et une volonté affichée de transparence dans la gouvernance économique et judiciaire avant d'envisager la mise en place d'élections régulières et transparentes comme l'ont fait des pays disposant de ressources humaines et naturelles nettement inférieures à celles del‘Algérie". Le RCD conclut son communiqué en appelant "à la plus grande vigilance pour éviter d'autres drames" et affirme qu'"il reste persuadé qu'une issue positive au blocage historique de la vie publique est possible. Malgré la colère légitime des citoyens et l'autisme des dirigeants propices aux appels et raccourcis politiciens, la solution sera pacifique ou ne sera pas