Nouveau rebondissements dans le projet de l'usine de montage dugroupe automobile PSA (Peugeot-Citroën) en Algérie. Nouveau rebondissements dans le projet de l'usine de montage dugroupe automobile PSA (Peugeot-Citroën) en Algérie. Selon nos informations, le ministèrede l'Industrie et des Mines "a informéle constructeur français et ses partenairesalgériens de la décision du gouvernement de délocaliser le projetà Tafraoui dans la wilaya d'Oran".Le nouveau terrain "s'étale sur unesuperficie de 160 hectares", selon lesmêmes sources. "La décision a étéacceptée par Peugeot-Citroën productionAlgérie", confirment nossources.Initialement, l'usine algérienne duconstructeur français devait êtreimplantée à El-Hamoul dans la communed'El-Kerma au sud d'Oran. Lenouveau terrain est situé à une dizainede kilomètres au sud de la localité d'El-Hamoul. La décision de délocaliser l'usine Peugeot est le résultat dela polémique qui a éclaté autour du terrain d'El-Hamoul. En avril dernier,un agriculteur avait contesté, dansune vidéo, l'attribution de son terrain, pour accueillir cette usine. Il avaitaccusé les autorités locales d'avoir détourné un terrain agricole pour les besoins d'un projet d'usine de montage automobile.Une vive polémique a suivi et les autorités ont été obligées d'annuler la décision d'attribution de ce terrain. De nombreuses réactions ont suivi, dont celle du Premier ministreAhmed Ouyahia, qui a reconnu que"l'agriculteur a réussi son coup", tout en affirmant que le terrain en questio était "peu fertile."Le ministre de la Justice, Tayeb Louh,avait annoncé l'ouverture d'uneenquête sur le dossier, qualifiant de"crime grave" l'atteinte aux terresagricoles. Le ministre de l'IntérieurNourredine Bedoui a instruitles walis de ne plus céder "des terres agricolesau profit des projets de constructiondes édifices publics". Début juillet, en visite à Alger ledirecteur de la régionMena du groupe PSA n'avait fait aucuneallusion auchangement de l'assiette foncière du projet. Selon nos sources, "les autorités algériennes avaient exprimé à lapartie française la disponibilité du gouvernement d'accompagner Peugeot, dans le choix du nouveau site". Le constructeur français a étéinformé de cette décision début juillet. Selon nos informations, le ministèrede l'Industrie et des Mines "a informéle constructeur français et ses partenairesalgériens de la décision du gouvernement de délocaliser le projetà Tafraoui dans la wilaya d'Oran".Le nouveau terrain "s'étale sur unesuperficie de 160 hectares", selon lesmêmes sources. "La décision a étéacceptée par Peugeot-Citroën productionAlgérie", confirment nossources.Initialement, l'usine algérienne duconstructeur français devait êtreimplantée à El-Hamoul dans la communed'El-Kerma au sud d'Oran. Lenouveau terrain est situé à une dizainede kilomètres au sud de la localité d'El-Hamoul. La décision de délocaliser l'usine Peugeot est le résultat dela polémique qui a éclaté autour du terrain d'El-Hamoul. En avril dernier,un agriculteur avait contesté, dansune vidéo, l'attribution de son terrain, pour accueillir cette usine. Il avaitaccusé les autorités locales d'avoir détourné un terrain agricole pour les besoins d'un projet d'usine de montage automobile.Une vive polémique a suivi et les autorités ont été obligées d'annuler la décision d'attribution de ce terrain. De nombreuses réactions ont suivi, dont celle du Premier ministreAhmed Ouyahia, qui a reconnu que"l'agriculteur a réussi son coup", tout en affirmant que le terrain en questio était "peu fertile."Le ministre de la Justice, Tayeb Louh,avait annoncé l'ouverture d'uneenquête sur le dossier, qualifiant de"crime grave" l'atteinte aux terresagricoles. Le ministre de l'IntérieurNourredine Bedoui a instruitles walis de ne plus céder "des terres agricolesau profit des projets de constructiondes édifices publics". Début juillet, en visite à Alger ledirecteur de la régionMena du groupe PSA n'avait fait aucuneallusion auchangement de l'assiette foncière du projet. Selon nos sources, "les autorités algériennes avaient exprimé à lapartie française la disponibilité du gouvernement d'accompagner Peugeot, dans le choix du nouveau site". Le constructeur français a étéinformé de cette décision début juillet.