Des dizaines d'enseignants-chercheurs, issus du système classique et inscrits à une 6e année de doctorat,affirment avoir été exclus "sans explications"par le ministère del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique du programmenational exceptionnel (PNE) offrantdes bourses de formations à l'étranger. Des dizaines d'enseignants-chercheurs, issus du système classique et inscrits à une 6e année de doctorat,affirment avoir été exclus "sans explications"par le ministère del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique du programmenational exceptionnel (PNE) offrantdes bourses de formations à l'étranger. Dans une lettre ces enseignants-chercheursappellent le ministre del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique, Tahar Hadjar,à reconsidérer le problème de cettecatégorie et d'intervenir face à cetteexclusion "inéquitable et injuste".Ces enseignants-chercheurs, qui sesont constitués en collectif, ont tenuce jeudi 16 août 2018 un sit-in devantle siège du ministère del'Enseignement supérieur. Des centainesde doctorants ont soumis en mai2018 leurs candidatures au programmenational exceptionnel (PNE)pour l'année universitaire 2018-2019, auprès de leurs facultés et départementsrespectifs pourparachever les travaux de leurs thèses de doctoratsdans un établissement d'enseignementou un laboratoire scientifique étranger. Après l'approbation de leurs dossiers par les conseils scientifiques desuniversités, ils se sont entretenus début juillet avec un comité d'évaluation du ministère de l'Enseignement supérieur.La procédure suivait un bon déroulement et les candidatsont même été"rassurés par différentes instances dusecteur", expliquent ces enseignantschercheurs. Certains ont été appelés àcompléter leurs dossiers et le ministère a même attesté de la conformitéadministratives des candidatures.Toutefois, fin juillet, une cinquantaine de candidats, issus du système classiqueet inscrits en 6e année deDoctorat ont constaté avec surprise avoir été exclus, sans explication ni justificatif, de ce programme de bourse. Dans cette lettre,ils ont rappeléà Tahar Hadjar avoir déjà été privés de participer lors de la précédente édition, en 5e année, à ce programme,qui n'était ouvert qu'aux enseignantschercheurs inscrits en 7e et 8e annéesde doctorat. Dans une lettre ces enseignants-chercheursappellent le ministre del'Enseignement supérieur et de laRecherche scientifique, Tahar Hadjar,à reconsidérer le problème de cettecatégorie et d'intervenir face à cetteexclusion "inéquitable et injuste".Ces enseignants-chercheurs, qui sesont constitués en collectif, ont tenuce jeudi 16 août 2018 un sit-in devantle siège du ministère del'Enseignement supérieur. Des centainesde doctorants ont soumis en mai2018 leurs candidatures au programmenational exceptionnel (PNE)pour l'année universitaire 2018-2019, auprès de leurs facultés et départementsrespectifs pourparachever les travaux de leurs thèses de doctoratsdans un établissement d'enseignementou un laboratoire scientifique étranger. Après l'approbation de leurs dossiers par les conseils scientifiques desuniversités, ils se sont entretenus début juillet avec un comité d'évaluation du ministère de l'Enseignement supérieur.La procédure suivait un bon déroulement et les candidatsont même été"rassurés par différentes instances dusecteur", expliquent ces enseignantschercheurs. Certains ont été appelés àcompléter leurs dossiers et le ministère a même attesté de la conformitéadministratives des candidatures.Toutefois, fin juillet, une cinquantaine de candidats, issus du système classiqueet inscrits en 6e année deDoctorat ont constaté avec surprise avoir été exclus, sans explication ni justificatif, de ce programme de bourse. Dans cette lettre,ils ont rappeléà Tahar Hadjar avoir déjà été privés de participer lors de la précédente édition, en 5e année, à ce programme,qui n'était ouvert qu'aux enseignantschercheurs inscrits en 7e et 8e annéesde doctorat.