Le bureau politique (BP) du FLN s'est réuni hier lundi. Al'ordre du jour une évaluationde la situation globale dans lepays à la veille de la rentréepolitique et sociale, alors quepointe déjà à l'horizon laprésidentielle d'avril 2019. Le bureau politique (BP) du FLN s'est réuni hier lundi. Al'ordre du jour une évaluationde la situation globale dans lepays à la veille de la rentréepolitique et sociale, alors quepointe déjà à l'horizon laprésidentielle d'avril 2019. Dans son discours devant les membres du BP, Djamal Ould Abbès, secrétaire général du parti, est longuementrevenu sur la lettre du présidentBouteflika, à l'occasion de la célébration dudouble anniversaire du Congrès de laSoummam et de la journée duMoudjahid.Citant la lettre du PrésidentBouteflika, Ould Abbès relève que la plateformede la Soummam a "balisé la voie àla révolution algérienne, en la dotant d'unevision et d'une organisation qui ont aboutià la libération du pays en 1962". Il évoqueégalement l'appel du 1er Novembre 1954qui a réuni toutes les composantes del'échiquier politique de l'époque PPA, centralistes,UDMA, oulémas, communistes,chrétiens et juifs d'Algérie. "L'appel duPrésident Bouteflika à constituer un frontpopulaire solide pour permettre à l'Algériede faire face aux défis auxquels elle estconfrontée aujourd'hui fait écho à l'appeldu 1er Novembre 54", ajoute Ould Abbèsqui "salue" cette initiative. "Devant les défis etl'ébullition politicienne, je dis bien politicienne -, il est nécessaire de mettreenplace ce front pour sauvegarder les acquisdepuis1926, notamment la stabilité , la sécurité et la sérénité du citoyens , pourconstruire la nouvelle Algérie".En parlant de défis, Ould Abbès pointe un doigt accusateuren direction du "voisin de l'Ouest que Dieului pardonne" qui, selon lui,inonde la pays avec la drogue, "faisant passerl'Algérie du statut de pays de transit à celui de pays consommateur". "Le FLN est partie prenante de ce front et 26 partis et organisations de la société civile y souscrivent et ce sera une sorted'organisation transversale, sans leadership, ni monopole. Nous sommes en train depréparer une charte d'éthique pour baliser le fonctionnement de ce front pour concrétiser l'appel du président Bouteflika". Le patrondu FLN aparlé aussi de l'épidémie de choléraqui touche actuellement certainesrégions du pays, cherchant à en atténuerl'effet en donnant des chiffres de l'OMS. "Chaque année, il y a 4 millions de casdans le monde et entre 120.000 et 130.000 morts, en Algérie, il y a eu juste deux décèset lasituation est en train de s'améliorer", dit-il en pointant un problème de communication et aussi de civisme. Car, soulignet-il, "le choléra avant d'être un problème de santé et d'abord celui de l'hygiène et de civisme". Dans son discours devant les membres du BP, Djamal Ould Abbès, secrétaire général du parti, est longuementrevenu sur la lettre du présidentBouteflika, à l'occasion de la célébration dudouble anniversaire du Congrès de laSoummam et de la journée duMoudjahid.Citant la lettre du PrésidentBouteflika, Ould Abbès relève que la plateformede la Soummam a "balisé la voie àla révolution algérienne, en la dotant d'unevision et d'une organisation qui ont aboutià la libération du pays en 1962". Il évoqueégalement l'appel du 1er Novembre 1954qui a réuni toutes les composantes del'échiquier politique de l'époque PPA, centralistes,UDMA, oulémas, communistes,chrétiens et juifs d'Algérie. "L'appel duPrésident Bouteflika à constituer un frontpopulaire solide pour permettre à l'Algériede faire face aux défis auxquels elle estconfrontée aujourd'hui fait écho à l'appeldu 1er Novembre 54", ajoute Ould Abbèsqui "salue" cette initiative. "Devant les défis etl'ébullition politicienne, je dis bien politicienne -, il est nécessaire de mettreenplace ce front pour sauvegarder les acquisdepuis1926, notamment la stabilité , la sécurité et la sérénité du citoyens , pourconstruire la nouvelle Algérie".En parlant de défis, Ould Abbès pointe un doigt accusateuren direction du "voisin de l'Ouest que Dieului pardonne" qui, selon lui,inonde la pays avec la drogue, "faisant passerl'Algérie du statut de pays de transit à celui de pays consommateur". "Le FLN est partie prenante de ce front et 26 partis et organisations de la société civile y souscrivent et ce sera une sorted'organisation transversale, sans leadership, ni monopole. Nous sommes en train depréparer une charte d'éthique pour baliser le fonctionnement de ce front pour concrétiser l'appel du président Bouteflika". Le patrondu FLN aparlé aussi de l'épidémie de choléraqui touche actuellement certainesrégions du pays, cherchant à en atténuerl'effet en donnant des chiffres de l'OMS. "Chaque année, il y a 4 millions de casdans le monde et entre 120.000 et 130.000 morts, en Algérie, il y a eu juste deux décèset lasituation est en train de s'améliorer", dit-il en pointant un problème de communication et aussi de civisme. Car, soulignet-il, "le choléra avant d'être un problème de santé et d'abord celui de l'hygiène et de civisme".