Bien que les Etats-Unis aient appelé l'Iran à maintes reprises à se retirer duterritoire syrien, Amir Hatami, ministreiranien de la Défense, est arrivé en Bien que les Etats-Unis aient appelé l'Iran à maintes reprises à se retirer duterritoire syrien, Amir Hatami, ministreiranien de la Défense, est arrivé en Syrie dans la cadre d'une visite officielle,déclarant que son pays espérait"avoir un rôle productif dans lareconstruction de la Syrie".Le ministre iranien de la Défense,Amir Hatami, est arrivé dimanche en Syrie pour y rencontrer "d'importantsresponsables de la Défense et de l'armée",selon l'agence iranienne Tasnim. Les forces iraniennes ontsoutenu le Président syrien Bachar el-Assad dans la guerre qui ravage lepays depuis 2011."Nous espérons avoir un rôle productifdans la reconstruction de la Syrie",a déclaré M. Hatami à son arrivée enSyrie, selon Fars News.De hauts responsables iraniens ontdéclaré que leur présence militaire enSyrie était à l'invitation du gouvernementd'el-Assad et qu'ils ne prévoyaientpas de s'en retirer dans l'immédiat. Ce déplacement apparaît comme unpied-de-nez à l'adresse des Etats- Unis, qui ont réclamé avec insistanceces dernières semaines le retrait desforces iraniennes de Syrie, où ellessoutiennent le Président Bachar el-Assad.Le conseiller américain à la sécurité nationale John Bolton avait ainsidéclaré la semaine dernièreque l'Iran Syrie dans la cadre d'une visite officielle,déclarant que son pays espérait"avoir un rôle productif dans lareconstruction de la Syrie".Le ministre iranien de la Défense,Amir Hatami, est arrivé dimanche en Syrie pour y rencontrer "d'importantsresponsables de la Défense et de l'armée",selon l'agence iranienne Tasnim. Les forces iraniennes ontsoutenu le Président syrien Bachar el-Assad dans la guerre qui ravage lepays depuis 2011."Nous espérons avoir un rôle productifdans la reconstruction de la Syrie",a déclaré M. Hatami à son arrivée enSyrie, selon Fars News.De hauts responsables iraniens ontdéclaré que leur présence militaire enSyrie était à l'invitation du gouvernementd'el-Assad et qu'ils ne prévoyaientpas de s'en retirer dans l'immédiat. Ce déplacement apparaît comme unpied-de-nez à l'adresse des Etats- Unis, qui ont réclamé avec insistanceces dernières semaines le retrait desforces iraniennes de Syrie, où ellessoutiennent le Président Bachar el-Assad.Le conseiller américain à la sécurité nationale John Bolton avait ainsidéclaré la semaine dernièreque l'Iran