Durant l'année 2017, l'Algérie a intensifié ses opérations de sécurisation de ses frontières, maintenant la pression sur les groupesterroristes opérant dans la région. Durant l'année 2017, l'Algérie a intensifié ses opérations de sécurisation de ses frontières, maintenant la pression sur les groupesterroristes opérant dans la région. C'est ce qu'a indiqué le Département d'Etat dans son dernier rapport 2017sur la lutte contre le terrorisme dansle monde. "L'Algérie a poursuivi des effortssignificatifs pour prévenir l'activité terroristeà l'intérieur de ses frontières", relève leDépartement d'Etat dans son rapport publié àWashington. Le rapport, présenté parle coordonnateurpour la lutte antiterroriste auDépartement d'Etat, l'ambassadeur NathanSales, souligne que les chiffres des bilans de la lutte antiterroriste, publiés par l'arméealgérienne "montrent (le maintien) d'unepression continue sur lesgroupes terroristes".Se référant aux constats établis par des analystesspécialisés en sécurité, le rapport soutient que les forces armées algériennes sontparvenues à neutraliser ces groupes extrémistes,s'imposant comme un rempart contrele terrorisme dans la région. "Certains analystesestiment que les pertes continues(subies par les groupes extrémistes) ontconsidérablement réduit la capacité des groupes terroristes à opérer enAlgérie",relève ce rapport rédigé par le bureau ducontre-terrorisme du Département d'Etat pourle Congrès. Ainsi, "la sécurité des frontièresest restée une priorité de premier plan" pourse prémunir de l'infiltration de terroristevenant de pays voisins, indique le rapport quicite à ce titre les actions de coordination entreles Douanes algériennes et tunisiennes lelong des frontières communes, le déploiementde soldats supplémentaires sur la frontièreavec la Libye, le renforcement de la surveillance sur la frontière ouest et le recoursaccru aux technologies avancées en matièrede surveillance aérienne. Actuellement, tousles postes frontaliers en Algérieont accès auxbases de données d'Interpol, note, par ailleurs,ce document. Bien qu'elle ne fasse paspartie de la coalition internationale contre le groupe terroriste Daech, l'Algérie a soutenu activement en 2017 les effortsvisant à contrer la menace du groupe terroriste autoproclamé "Organisation de l'Etat Islamique(Daech/Ei) à travers les programmes de renforcementdes capacités des pays voisins et lacoprésidence du groupe de travail sur le renforcementdes capacités de lutte contre le terrorismeen Afrique de l'Ouest". Soulignant l'action menée par les forces armées etlesifférents services de sécurité en matière deontre-espionnage, d'enquêtes, de sécurisationdes frontières et aussi de réponse aux crises, le rapport constate que le ministère dela défense nationale a "fourni des rapports entemps opportun" sur les saisies d'armes et dedrogue ainsi que sur les opérations d'éliminationde terroristes. En 2017, le gouvernementalgérien a maintenu une politique stricte quiexclut toute concession aux groupes terroristesqui détiennent des otages, indique ledocument. Le département de Mike Pompeo note qu'au plan diplomatique, l'Algérie estrestée en 2017 "fortement engagée en faveurde la paix et de la sécurité régionales". Ellepréside le comité international de suivi de l'accord de paix au Mali, soutient le processuspolitique onusien en Libye et participe à divers forums sahélo-sahariens pour discuterdes politiques de développement et de sécuritédans la région etcoordonnerl'action desdonateurs. Rappelantégalementson rôleactifcomme membre fondateur du Forummondialcontre leterrorisme et coordonnateur del'Afrique pour lalutteantiterroriste,le rapportprécise que l'Algérie abrite les siègesd'Afripol et de l'Unité de fusionetdeliaison du Cemoc (Comité d'état-majoropérationnel conjoint) qui regroupeégalement leMali, leNiger et la Mauritanie. Lerapportmet enexergue par ailleurs,l'approche algériennepour contrer l'extrémisme violent qui inclutdes programmes de réhabilitation et d'intégration,y compris pour les terroristes repentis.Le rapport souligne les actions menées dansle cadre de cette approche inclusive tels que la dépolitisation des mosquées, la réaffirmation de la tradition sunnite qui promeut la tolérance et la paix et le renforcement du rôle des "mourchidates" dans la prévention del'extrémismeviolent. Dans le cadre de ces efforts,le ministère des Affaires étrangères a publiéune brochure sur le rôle de la démocratie dansla lutte contre le terrorisme violent, rappellet- il encore. C'est ce qu'a indiqué le Département d'Etat dans son dernier rapport 2017sur la lutte contre le terrorisme dansle monde. "L'Algérie a poursuivi des effortssignificatifs pour prévenir l'activité terroristeà l'intérieur de ses frontières", relève leDépartement d'Etat dans son rapport publié àWashington. Le rapport, présenté parle coordonnateurpour la lutte antiterroriste auDépartement d'Etat, l'ambassadeur NathanSales, souligne que les chiffres des bilans de la lutte antiterroriste, publiés par l'arméealgérienne "montrent (le maintien) d'unepression continue sur lesgroupes terroristes".Se référant aux constats établis par des analystesspécialisés en sécurité, le rapport soutient que les forces armées algériennes sontparvenues à neutraliser ces groupes extrémistes,s'imposant comme un rempart contrele terrorisme dans la région. "Certains analystesestiment que les pertes continues(subies par les groupes extrémistes) ontconsidérablement réduit la capacité des groupes terroristes à opérer enAlgérie",relève ce rapport rédigé par le bureau ducontre-terrorisme du Département d'Etat pourle Congrès. Ainsi, "la sécurité des frontièresest restée une priorité de premier plan" pourse prémunir de l'infiltration de terroristevenant de pays voisins, indique le rapport quicite à ce titre les actions de coordination entreles Douanes algériennes et tunisiennes lelong des frontières communes, le déploiementde soldats supplémentaires sur la frontièreavec la Libye, le renforcement de la surveillance sur la frontière ouest et le recoursaccru aux technologies avancées en matièrede surveillance aérienne. Actuellement, tousles postes frontaliers en Algérieont accès auxbases de données d'Interpol, note, par ailleurs,ce document. Bien qu'elle ne fasse paspartie de la coalition internationale contre le groupe terroriste Daech, l'Algérie a soutenu activement en 2017 les effortsvisant à contrer la menace du groupe terroriste autoproclamé "Organisation de l'Etat Islamique(Daech/Ei) à travers les programmes de renforcementdes capacités des pays voisins et lacoprésidence du groupe de travail sur le renforcementdes capacités de lutte contre le terrorismeen Afrique de l'Ouest". Soulignant l'action menée par les forces armées etlesifférents services de sécurité en matière deontre-espionnage, d'enquêtes, de sécurisationdes frontières et aussi de réponse aux crises, le rapport constate que le ministère dela défense nationale a "fourni des rapports entemps opportun" sur les saisies d'armes et dedrogue ainsi que sur les opérations d'éliminationde terroristes. En 2017, le gouvernementalgérien a maintenu une politique stricte quiexclut toute concession aux groupes terroristesqui détiennent des otages, indique ledocument. Le département de Mike Pompeo note qu'au plan diplomatique, l'Algérie estrestée en 2017 "fortement engagée en faveurde la paix et de la sécurité régionales". Ellepréside le comité international de suivi de l'accord de paix au Mali, soutient le processuspolitique onusien en Libye et participe à divers forums sahélo-sahariens pour discuterdes politiques de développement et de sécuritédans la région etcoordonnerl'action desdonateurs. Rappelantégalementson rôleactifcomme membre fondateur du Forummondialcontre leterrorisme et coordonnateur del'Afrique pour lalutteantiterroriste,le rapportprécise que l'Algérie abrite les siègesd'Afripol et de l'Unité de fusionetdeliaison du Cemoc (Comité d'état-majoropérationnel conjoint) qui regroupeégalement leMali, leNiger et la Mauritanie. Lerapportmet enexergue par ailleurs,l'approche algériennepour contrer l'extrémisme violent qui inclutdes programmes de réhabilitation et d'intégration,y compris pour les terroristes repentis.Le rapport souligne les actions menées dansle cadre de cette approche inclusive tels que la dépolitisation des mosquées, la réaffirmation de la tradition sunnite qui promeut la tolérance et la paix et le renforcement du rôle des "mourchidates" dans la prévention del'extrémismeviolent. Dans le cadre de ces efforts,le ministère des Affaires étrangères a publiéune brochure sur le rôle de la démocratie dansla lutte contre le terrorisme violent, rappellet- il encore.