Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, aréuni, hier à l'hôtel Mouflon d'or, les secrétaires des mouhafadha de son parti. Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, aréuni, hier à l'hôtel Mouflon d'or, les secrétaires des mouhafadha de son parti. A l'ordre du jour une évaluation et un étatdes lieux au sein des structures du Front.Prenant les devants, et dans l'optique desélections imminentes pour le renouvellement partiel du Conseil de la Nation, intéressantles présidents d'APC, Ould Abbèsa rappelé que "seuls les candidats choisis par la base militante iront au Sénat", assurantque les pratiques de la "chkara", "n'aurontpas droit de cité dans nos rangs", a-tilprévenu.Une pique au frère ennemi du RND, éclaboussépar le scandale, récent, de corruptionde son sénateur de Tipasa ! "Bouteflika dirige le pays en maestro" Première réaction du pouvoir aux propos de l'ancien ambassadeur de France,Bernard Bajolet. Elle vient de Djamel Ould Abbès. Le secrétaire général duFLN, qui a rencontré hier les mouhafedhsdu parti à l'hôtel Mouflon d'Or à Alger, a indiqué devant les journalistesquelePrésident Bouteflika "dirige le pays comme un maestro". Des propos interprétés comme uneréponse à ceux tenus par l'ancien diplomate français à propos de l'état de santé du Président Bouteflika.Dans un entretien au Figaro paru vendredi,Bernard Bajolet, ancien ambassadeur de France en Algérie et ancien patronde la DGSE avait affirmé croire à une"évolution à petits pas desrelationsalgéro-françaises, et ce pour deux raisons,: la première tient à un problème de génération.La nomenclature algérienne, issueou héritière de la guerre d'Algérie, a toujoursbesoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l'égard de l'anciennepuissance coloniale (…). La seconde raison est plus conjoncturelle : le présidentBouteflika, avec tout le respect quej'éprouve pour lui, est maintenu en vieartificiellement. Et rien ne changeradanscette période de transition". Le SG du FLN n'a, par contre, pasréagi à l'appel du même Bajolet à "l'ouverturedes archives du FLN".Mardi dernier, Djamel Ould Abbès avaitsaisi la visite de la chancelière allemandeAngela Markel en Algérie et sa rencontre avec le Président Bouteflika pour réitérer que ce dernier se portait bien."Vous avez vu comment la chancelièreallemande hochait la tête en écoutant le Président Bouteflika. Nous avons ungrand Président que tout le mondeécoute",avait indiqué le chef du FLN. A l'ordre du jour une évaluation et un étatdes lieux au sein des structures du Front.Prenant les devants, et dans l'optique desélections imminentes pour le renouvellement partiel du Conseil de la Nation, intéressantles présidents d'APC, Ould Abbèsa rappelé que "seuls les candidats choisis par la base militante iront au Sénat", assurantque les pratiques de la "chkara", "n'aurontpas droit de cité dans nos rangs", a-tilprévenu.Une pique au frère ennemi du RND, éclaboussépar le scandale, récent, de corruptionde son sénateur de Tipasa ! "Bouteflika dirige le pays en maestro" Première réaction du pouvoir aux propos de l'ancien ambassadeur de France,Bernard Bajolet. Elle vient de Djamel Ould Abbès. Le secrétaire général duFLN, qui a rencontré hier les mouhafedhsdu parti à l'hôtel Mouflon d'Or à Alger, a indiqué devant les journalistesquelePrésident Bouteflika "dirige le pays comme un maestro". Des propos interprétés comme uneréponse à ceux tenus par l'ancien diplomate français à propos de l'état de santé du Président Bouteflika.Dans un entretien au Figaro paru vendredi,Bernard Bajolet, ancien ambassadeur de France en Algérie et ancien patronde la DGSE avait affirmé croire à une"évolution à petits pas desrelationsalgéro-françaises, et ce pour deux raisons,: la première tient à un problème de génération.La nomenclature algérienne, issueou héritière de la guerre d'Algérie, a toujoursbesoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l'égard de l'anciennepuissance coloniale (…). La seconde raison est plus conjoncturelle : le présidentBouteflika, avec tout le respect quej'éprouve pour lui, est maintenu en vieartificiellement. Et rien ne changeradanscette période de transition". Le SG du FLN n'a, par contre, pasréagi à l'appel du même Bajolet à "l'ouverturedes archives du FLN".Mardi dernier, Djamel Ould Abbès avaitsaisi la visite de la chancelière allemandeAngela Markel en Algérie et sa rencontre avec le Président Bouteflika pour réitérer que ce dernier se portait bien."Vous avez vu comment la chancelièreallemande hochait la tête en écoutant le Président Bouteflika. Nous avons ungrand Président que tout le mondeécoute",avait indiqué le chef du FLN.