Encore une fois, et pour la énième fois, le Makhzen a attaqué l'Algérie. Au lieu d'assumer ses responsabilitésface à une crise humanitaire, la Maroc n'a pas trouvé d'autre moyen d'accuserson voisin algérien. Encore une fois, et pour la énième fois, le Makhzen a attaqué l'Algérie. Au lieu d'assumer ses responsabilitésface à une crise humanitaire, la Maroc n'a pas trouvé d'autre moyen d'accuserson voisin algérien. ContenuChasser le naturel, il revient au galop ! Décidément la tension entrel'Algérie et le Maroc ne baisse quepour remonter de plus belle. En effet, aumoment où les rapports semblaient plutôt cordiaux, ponctués par des messages positifset dépassionnés des deux dirigeants,voilà que le chef du gouvernement marocain,Saâd Eddine El Othmani, a attaquél'Algérie dans son allocution prononcéelors de la 73e assemblée générale de l'Onu,accusant le pays d'être "le seul responsable du conflit autour du Saharaoccidental",rapporte le média marocain Le360.Saâd Eddine El Othmani représentait le roiMohamed VI lors de la 73e assemblée générale des Nations unies, qui se tient àNew York aux Etats-Unis. Dans son allocution, le chef du gouvernement marocaina évoqué une prétendue "situation tragiquedans laquelle vivent les séquestrés" dansles camps de réfugiés de Tindouf, pointant"la responsabilité politique, juridique et humanitaire" qu'assume l'Algérie en saqualité de pays abritant ces camps."Nous appelons la communautéinternationaleà inciter l'Algérie à assumer pleinementsa responsabilité en autorisant leHCR (Haut-Commissariat des réfugiés del'Onu) à enregistrer et à recenser cettepopulation conformément aux résolutionsdu Conseil de sécurité et en réponse aux appels du secrétaire général de l'Onu et desorganisations humanitaires spécialisées", adéclaré El Othmani. Le Maroc a accusé l'Algérie de "continuerd'entretenir ce conflit". Pourtant à chaqueround lancé par l'Onu pour des négociationssérieuses et fructueuses, il s'avèrequ'à chaque fois c'est le royaume chérifienqui impose un blocus inadmissible et qui continue par la même occasion de réprimerdes manifestations sur le territoire occupésahraoui et infligeant des tortures aux prisonnierssahraouis. Les rapports des ONGont, à chaque fois d'ailleurs, soulevé lesdépassements du Makhzen.Faut-il rappeler que le mois d'août passé,le diplomate marocain Omar Hilal, avaitfait monter la mayonnaise en accusantl'Algérie de bloquer le processus de règlementde la question du Sahara occidental.Cette fois encore, la réaction d'Alger doitêtre à la hauteur de cette attaque. Il faut enfinir avec ces agressions incessantes duroyaume chérifien qui ne rate plus aucune occasion pour s'attaquer à l'Algérie. L'Afrique du Sud appelle à "sécuriser" le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a appelé mardi à New York à garantir le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination,soulignant l'urgencepour la communauté internationale d'intensifier ses efforts pour résoudre ce "conflit prolongé". "Nous devons de la même façon intensifiernos efforts poursécuriser le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à lapleine souveraineté nationale", a déclaré Ramaphosa à la tribune de l'Onu, alors qu'il s'exprimait lors du débat annuel del'Assemblée générale. Le Président sud-africain qui évoquait les questions de la Palestine et du Sahara occidental, a affirmé que les Etats membresdevaient "agir avec urgence pour résoudre ces conflits prolongés etinsolubles". "Au moment même où nous discutons (à cette assemblée), de jeunes gensperdentleurs vies et les avenirs sont détruits. Les mesures que nous devons prendre pour mettre fin aux conflits et à la guerre sont urgentes", a déclaré Ramaphosa, dont lepays a toujours manifesté un soutien indéfectible à la cause sahraouie. Dans son plaidoyer en faveur de la résolution des conflitspersistants, le chef d'Etatsud-africain a indiqué qu'il ne suffisait pasd'arrêter les pertes et les souffrances humaines qu'endurent des millions de personnesmais d'agir aussi pour "empêcherla perte d'une autre génération". "Nous devons accepter notre responsabilité partagée -et notre intérêt commun, à mettre fin aux conflits et à utiliser les résultatsdu sommet Mandela pour dynamiser l'Onu comme instrument efficace demédiation, de maintien de la paix et de reconstruction post-conflit", a-t-il poursuivi. Ramaphosa n'a pas manqué dans son discours d'exprimer sa profonde gratitude à l'Assemblée générale pour l'élection de son pays comme membre non permanentdu Conseil de sécurité pour la période2019-2020. Plusieurs fois membre du Conseil de sécurité,l'Afrique du Sud va certainementredoubler d'efforts durant son mandat pour faire avancer la cause juste dupeuple sahraoui. ContenuChasser le naturel, il revient au galop ! Décidément la tension entrel'Algérie et le Maroc ne baisse quepour remonter de plus belle. En effet, aumoment où les rapports semblaient plutôt cordiaux, ponctués par des messages positifset dépassionnés des deux dirigeants,voilà que le chef du gouvernement marocain,Saâd Eddine El Othmani, a attaquél'Algérie dans son allocution prononcéelors de la 73e assemblée générale de l'Onu,accusant le pays d'être "le seul responsable du conflit autour du Saharaoccidental",rapporte le média marocain Le360.Saâd Eddine El Othmani représentait le roiMohamed VI lors de la 73e assemblée générale des Nations unies, qui se tient àNew York aux Etats-Unis. Dans son allocution, le chef du gouvernement marocaina évoqué une prétendue "situation tragiquedans laquelle vivent les séquestrés" dansles camps de réfugiés de Tindouf, pointant"la responsabilité politique, juridique et humanitaire" qu'assume l'Algérie en saqualité de pays abritant ces camps."Nous appelons la communautéinternationaleà inciter l'Algérie à assumer pleinementsa responsabilité en autorisant leHCR (Haut-Commissariat des réfugiés del'Onu) à enregistrer et à recenser cettepopulation conformément aux résolutionsdu Conseil de sécurité et en réponse aux appels du secrétaire général de l'Onu et desorganisations humanitaires spécialisées", adéclaré El Othmani. Le Maroc a accusé l'Algérie de "continuerd'entretenir ce conflit". Pourtant à chaqueround lancé par l'Onu pour des négociationssérieuses et fructueuses, il s'avèrequ'à chaque fois c'est le royaume chérifienqui impose un blocus inadmissible et qui continue par la même occasion de réprimerdes manifestations sur le territoire occupésahraoui et infligeant des tortures aux prisonnierssahraouis. Les rapports des ONGont, à chaque fois d'ailleurs, soulevé lesdépassements du Makhzen.Faut-il rappeler que le mois d'août passé,le diplomate marocain Omar Hilal, avaitfait monter la mayonnaise en accusantl'Algérie de bloquer le processus de règlementde la question du Sahara occidental.Cette fois encore, la réaction d'Alger doitêtre à la hauteur de cette attaque. Il faut enfinir avec ces agressions incessantes duroyaume chérifien qui ne rate plus aucune occasion pour s'attaquer à l'Algérie. L'Afrique du Sud appelle à "sécuriser" le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a appelé mardi à New York à garantir le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination,soulignant l'urgencepour la communauté internationale d'intensifier ses efforts pour résoudre ce "conflit prolongé". "Nous devons de la même façon intensifiernos efforts poursécuriser le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à lapleine souveraineté nationale", a déclaré Ramaphosa à la tribune de l'Onu, alors qu'il s'exprimait lors du débat annuel del'Assemblée générale. Le Président sud-africain qui évoquait les questions de la Palestine et du Sahara occidental, a affirmé que les Etats membresdevaient "agir avec urgence pour résoudre ces conflits prolongés etinsolubles". "Au moment même où nous discutons (à cette assemblée), de jeunes gensperdentleurs vies et les avenirs sont détruits. Les mesures que nous devons prendre pour mettre fin aux conflits et à la guerre sont urgentes", a déclaré Ramaphosa, dont lepays a toujours manifesté un soutien indéfectible à la cause sahraouie. Dans son plaidoyer en faveur de la résolution des conflitspersistants, le chef d'Etatsud-africain a indiqué qu'il ne suffisait pasd'arrêter les pertes et les souffrances humaines qu'endurent des millions de personnesmais d'agir aussi pour "empêcherla perte d'une autre génération". "Nous devons accepter notre responsabilité partagée -et notre intérêt commun, à mettre fin aux conflits et à utiliser les résultatsdu sommet Mandela pour dynamiser l'Onu comme instrument efficace demédiation, de maintien de la paix et de reconstruction post-conflit", a-t-il poursuivi. Ramaphosa n'a pas manqué dans son discours d'exprimer sa profonde gratitude à l'Assemblée générale pour l'élection de son pays comme membre non permanentdu Conseil de sécurité pour la période2019-2020. Plusieurs fois membre du Conseil de sécurité,l'Afrique du Sud va certainementredoubler d'efforts durant son mandat pour faire avancer la cause juste dupeuple sahraoui.