Le Projet de loi de Finances de 2019 prévoit des exonérations fiscales (IRG et TVA), aubénéfice des entités économiques et desactionnaires, Le Projet de loi de Finances de 2019 prévoit des exonérations fiscales (IRG et TVA), aubénéfice des entités économiques et desactionnaires, aux fins de dynamiser les activitésde la Bourse d'Alger.Si, dit-t-il, l'Etat renonce à percevoir desrevenus sur certaines opérations en bourse,c'est pour en dynamiser les activités, laquestion restant posée restant toutefois de savoir, ce que les actionnaires pourraientacheter comme action, considérant le nombrerestreint des sociétés qui y sont cotées.Intervenant, hier, à l'émission "L'Invité dela rédaction" de la chaine 3 de la Radio algérienne,M. Yazid Benmouhoub signale que,comparativement à la taille du marché, iln'existe, en effet, que cinq sociétés cotées,trois du secteur privé et deux autres du secteurpublic. Des exonérations fiscales accordéespar l'Etat, le Directeur général de cetteInstitution explique que, lorsqu'un actionnaireacquiert des parts dans des entreprisescotées, celles-ci sont exonérées de l'IRG,lorsqu'il s'agit d'une personne physique etde l'IGS, lorsqu'il s'agit d'une personnemorale. Il signale que, la Bourse s'attacheactuellement à vulgariser ses activitésauprès des opérateurs économiques, endévoilant notamment les avantages qu'ilssont susceptibles d'en tirer, "dans uncontexte difficile en termes de financement"de leurs activités. Pour inciter des entreprisesréticentes à intégrer la Bourse, l'invitépropose de leur accorder certains avantages,parmi lesquels il cite l'accès préférentielà des marchés publics. M. Benmouhoubannonce, par ailleurs, la digitalisation "dansquelques mois" de la Bourse, pour permettreaux agents économiques de réaliser desachats et des ventes d'actions, sur labased'une cotation des titres, sans cesseactualisée. aux fins de dynamiser les activitésde la Bourse d'Alger.Si, dit-t-il, l'Etat renonce à percevoir desrevenus sur certaines opérations en bourse,c'est pour en dynamiser les activités, laquestion restant posée restant toutefois de savoir, ce que les actionnaires pourraientacheter comme action, considérant le nombrerestreint des sociétés qui y sont cotées.Intervenant, hier, à l'émission "L'Invité dela rédaction" de la chaine 3 de la Radio algérienne,M. Yazid Benmouhoub signale que,comparativement à la taille du marché, iln'existe, en effet, que cinq sociétés cotées,trois du secteur privé et deux autres du secteurpublic. Des exonérations fiscales accordéespar l'Etat, le Directeur général de cetteInstitution explique que, lorsqu'un actionnaireacquiert des parts dans des entreprisescotées, celles-ci sont exonérées de l'IRG,lorsqu'il s'agit d'une personne physique etde l'IGS, lorsqu'il s'agit d'une personnemorale. Il signale que, la Bourse s'attacheactuellement à vulgariser ses activitésauprès des opérateurs économiques, endévoilant notamment les avantages qu'ilssont susceptibles d'en tirer, "dans uncontexte difficile en termes de financement"de leurs activités. Pour inciter des entreprisesréticentes à intégrer la Bourse, l'invitépropose de leur accorder certains avantages,parmi lesquels il cite l'accès préférentielà des marchés publics. M. Benmouhoubannonce, par ailleurs, la digitalisation "dansquelques mois" de la Bourse, pour permettreaux agents économiques de réaliser desachats et des ventes d'actions, sur labased'une cotation des titres, sans cesseactualisée.