La 10e Rencontre euro-maghrébine des écrivains, réunissant des écrivainsmaghrébins et européens sur le thème "Souvenirs !, souvenirs !, La 10e Rencontre euro-maghrébine des écrivains, réunissant des écrivainsmaghrébins et européens sur le thème "Souvenirs !, souvenirs !, aux sources del'inspiration", s'est ouverte samedi àAlger.Organisée par la délégation de l'Unioneuropéenne à Alger en marge du Saloninternational du livre d'Alger, qui se tientau Palais des expositions des Pins-maritimesdepuis mardi, cette 10e édition a étéinaugurée par le chef de la délégation del'UE à Alger, John O'Rourke.Dans sa version 2018, la rencontre a rassemblédes auteurs européens commeIoan Maorar (Roumanie), Pedro EnriquezMartinez (Espagne) et StavroulaDimitriou (Grèce) qui ont présenté leursexpériences personnelles d'écriture et laplace que tient le souvenir dans leurs productionslittéraires respectives.La littérature maghrébine est, quant à elle,représentée par le Marocain CharafdineMajdouline, le Tunisien ChoukriMebkhout et les auteurs algériens Nassira Belloula, auteure des romans "Terredesfemmes" et de "Visa pour la haine" entreautres, et Samir Toumi auteur de "Alger lecri" et de "L'effacement". Lors de cette rencontre, le souvenir estabordé, par les participants, comme unematière première utilisée dans l'écriture,déformé pour les besoins de la fiction ourestitué en l'état dans des écrits. Les rencontres étant organisées habituellementde manière indépendante, les organisateursont choisi depuis la 20e éditiondu Salon international du livre d'Alger degreffer cette journée à l'événement littérairele plus important et le plus populaire en Algérie.Inauguré officiellement le 29 octobre, le 23e Sila se poursuit jusqu'au 10 novembreet prévoit plusieurs rencontres thématiques en marge d'une exposition rassemblantun millier d'éditeurs en provenance de 47 pays. aux sources del'inspiration", s'est ouverte samedi àAlger.Organisée par la délégation de l'Unioneuropéenne à Alger en marge du Saloninternational du livre d'Alger, qui se tientau Palais des expositions des Pins-maritimesdepuis mardi, cette 10e édition a étéinaugurée par le chef de la délégation del'UE à Alger, John O'Rourke.Dans sa version 2018, la rencontre a rassemblédes auteurs européens commeIoan Maorar (Roumanie), Pedro EnriquezMartinez (Espagne) et StavroulaDimitriou (Grèce) qui ont présenté leursexpériences personnelles d'écriture et laplace que tient le souvenir dans leurs productionslittéraires respectives.La littérature maghrébine est, quant à elle,représentée par le Marocain CharafdineMajdouline, le Tunisien ChoukriMebkhout et les auteurs algériens Nassira Belloula, auteure des romans "Terredesfemmes" et de "Visa pour la haine" entreautres, et Samir Toumi auteur de "Alger lecri" et de "L'effacement". Lors de cette rencontre, le souvenir estabordé, par les participants, comme unematière première utilisée dans l'écriture,déformé pour les besoins de la fiction ourestitué en l'état dans des écrits. Les rencontres étant organisées habituellementde manière indépendante, les organisateursont choisi depuis la 20e éditiondu Salon international du livre d'Alger degreffer cette journée à l'événement littérairele plus important et le plus populaire en Algérie.Inauguré officiellement le 29 octobre, le 23e Sila se poursuit jusqu'au 10 novembreet prévoit plusieurs rencontres thématiques en marge d'une exposition rassemblantun millier d'éditeurs en provenance de 47 pays.