En Bolivie, le Tribunal suprême électoral accorde à Evo Morales la possibilité de seprésenter une quatrième fois à la présidentielle. En Bolivie, le Tribunal suprême électoral accorde à Evo Morales la possibilité de seprésenter une quatrième fois à la présidentielle. L'opposition politique est ventdebout et dénonce une atteinte à la démocratie.Huit candidatures ont été validéespar le Tribunal suprême électoral pour uneprimaire au mois de janvier, mais la candidatured'Evo Morales fait d'ores et déjàface à une opposition virulente, qui appelle à des manifestations et une grèvegénérale jeudi 5 décembre. LaConstitution bolivienne n'autorise quedeux mandats consécutifs, Evo Morales adéjà bénéficé en 2014 d'une faille constitutionnelle,lui permettant d'être élu une troisième fois, et pour se présenter l'annéeprochaine, le président bolivien du Mouvement pour le socialisme avait tenté en 2016 d'obtenir par référendum l'accord de sa population. Un reférendum auquel la Bolivie avait répondu « non ». Selon le Tribunal suprême électoral, Evo Morales a la possibilité de se présenter une quatrième fois consécutive, car la Convention américaine des droits de l'homme selon laquelle un chef d'Etat est éligible sans limite, prédomine. L'annonce du tribunal a été anticipée mardi soir, pour éviter de coïncider avec la grande manifestation et la grève générale prévue dans tout le pays. L'opposition est grandissante, une vingtaine d'organisations appelle à la mobilisation et desmanifestants de toute la Bolivie marchent vers La Paz.candidat à la présidentielle, CarlosMesa, deuxième dans les intentions devote, dénonce « un coup mortel donné à la démocratie », et le leader d'Unité nationale,Samuel Doria Medina, appelle l'opposition politique à « s'unir pour faire faceà la dictature ». L'opposition politique est ventdebout et dénonce une atteinte à la démocratie.Huit candidatures ont été validéespar le Tribunal suprême électoral pour uneprimaire au mois de janvier, mais la candidatured'Evo Morales fait d'ores et déjàface à une opposition virulente, qui appelle à des manifestations et une grèvegénérale jeudi 5 décembre. LaConstitution bolivienne n'autorise quedeux mandats consécutifs, Evo Morales adéjà bénéficé en 2014 d'une faille constitutionnelle,lui permettant d'être élu une troisième fois, et pour se présenter l'annéeprochaine, le président bolivien du Mouvement pour le socialisme avait tenté en 2016 d'obtenir par référendum l'accord de sa population. Un reférendum auquel la Bolivie avait répondu « non ». Selon le Tribunal suprême électoral, Evo Morales a la possibilité de se présenter une quatrième fois consécutive, car la Convention américaine des droits de l'homme selon laquelle un chef d'Etat est éligible sans limite, prédomine. L'annonce du tribunal a été anticipée mardi soir, pour éviter de coïncider avec la grande manifestation et la grève générale prévue dans tout le pays. L'opposition est grandissante, une vingtaine d'organisations appelle à la mobilisation et desmanifestants de toute la Bolivie marchent vers La Paz.candidat à la présidentielle, CarlosMesa, deuxième dans les intentions devote, dénonce « un coup mortel donné à la démocratie », et le leader d'Unité nationale,Samuel Doria Medina, appelle l'opposition politique à « s'unir pour faire faceà la dictature ».