L'ex-ministre de l'Energie, Chakib Khelil, a été cité explicitement par les juges dutribunal deMilan, dans l'affaire des pots de vins impliquant la société pétrolièreSaipem, L'ex-ministre de l'Energie, Chakib Khelil, a été cité explicitement par les juges dutribunal deMilan, dans l'affaire des pots de vins impliquant la société pétrolièreSaipem, a rapporté l'agence Reuters dans sa version en langue italienne, citant le verdict rendu le 17 décembre, confirmantla condamnation de Saipem et certains de ses dirigeants. Saipem a omis d'effectuer les "contrôles requis sur le travail des intermédiaires", et cela dans le cadre de la procédure d'attribution des contrats de gaz en Algérie, ont affirmé les juges italiens, cités par Reuters.L'ancien PDG de Saipem, Pietro Tali, et la société italienne avaient été condamnés, enseptembre, coupables en Italie d'avoir versé à des intermédiaires environ 198 millions, pour l'obtention de contratsauprès de la Sonatrach entre 2007 et 2010."L'unique accord correctif conclu par Tali avec Khelil, qui ont traité dans une positionégale, a été suivi par l'attribution de pots de vin comme convenu, à hauteur de 3% de la valeur des contrats accordés à Saipem", écrivent les juges italiens. Filiale du géant italien Eni, Saipem a obtenu des contrats d'une valeur de 8 milliards d'euros durant cette période, rappelleReuters. a rapporté l'agence Reuters dans sa version en langue italienne, citant le verdict rendu le 17 décembre, confirmantla condamnation de Saipem et certains de ses dirigeants. Saipem a omis d'effectuer les "contrôles requis sur le travail des intermédiaires", et cela dans le cadre de la procédure d'attribution des contrats de gaz en Algérie, ont affirmé les juges italiens, cités par Reuters.L'ancien PDG de Saipem, Pietro Tali, et la société italienne avaient été condamnés, enseptembre, coupables en Italie d'avoir versé à des intermédiaires environ 198 millions, pour l'obtention de contratsauprès de la Sonatrach entre 2007 et 2010."L'unique accord correctif conclu par Tali avec Khelil, qui ont traité dans une positionégale, a été suivi par l'attribution de pots de vin comme convenu, à hauteur de 3% de la valeur des contrats accordés à Saipem", écrivent les juges italiens. Filiale du géant italien Eni, Saipem a obtenu des contrats d'une valeur de 8 milliards d'euros durant cette période, rappelleReuters.