Le président du TAJ suit manifestement la direction du vent qui souffle d'en haut, s'agissant de la conduite à tenir à l'égard du développement politique. Le président du TAJ suit manifestement la direction du vent qui souffle d'en haut, s'agissant de la conduite à tenir à l'égard du développement politique. Après avoir réduit quasiment l'élection présidentielle à un non évènementde moindre importance parrapport à sa "géniale idée" d'une conférencenationale consensuelle, supervisée par le président Bouteflika, le voilà qu'il annoncele plus benoitement du monde que le scrutin se tiendra dans les "délais prévus"."Dans le cadre de notre appel au présidentde la République, de se présenter aux prochainesélections -nous attendons toujoursla décision-, naturellement, nous voulonsdire que l'échéance présidentielle se tiendradans les délais prévus", a-t-il étonnementdéclaré, lors d'une conférence de pressetenu hier mardi, à l'occasion du Nouvel an.Amar Ghoul, qui avait soutenu il y aquelques semaines, que l'élection présidentiellen'était "pas importante", revientainsi et subitement au droit chemin.Que s'est-il passé entre temps, pour quel'ex-cadre du Hamas tourne casaque ? Sansdoute qu'il a été instruit de changer de capet de réorienter son discours, en fonctiondes nouvelles donnes, c'est-à-dire, le maintiende l'élection présidentielle pour lemois d'avril.Il ne faut surtout pas demander à AmarGhoul, d'expliquer son rétropédalage tantce n'est pas la première fois qu'il brouille les pistes. Nouvel an, nouveau discours et exit le report de l'élection ! Le chef du TAJ dit n'attendre désormais qu'un signal de la présidence, pour lancer la campagne en faveur d'un 5e mandat ou toute autre option qui serait retenue. "La décision revient au président de la République et nous, à TAJ, soutiendrons toute décision que prendra son Excellence le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le père Moudjahid" a-t-il avoué. Il est vrai que beaucoup d'eau a coulé sous les ponts, depuis l'annonce de "sa" conférence nationale. De l'annonce solennelle de Sidi Said de la candidature de Bouteflika, au rappel à l'ordre du général major Ali Ghediri par GaidSalah, en passant par la tenue du Conseil des ministres, il parait maintenant clair quele cinquième mandat est plus que jamais àl'ordre du jour.Le concert des soutiens va sûrement reprendre de plus belle prochainement, à deux semaines de la convocation du corps électorale conformément aux exigences constitutionnelles. Après avoir réduit quasiment l'élection présidentielle à un non évènementde moindre importance parrapport à sa "géniale idée" d'une conférencenationale consensuelle, supervisée par le président Bouteflika, le voilà qu'il annoncele plus benoitement du monde que le scrutin se tiendra dans les "délais prévus"."Dans le cadre de notre appel au présidentde la République, de se présenter aux prochainesélections -nous attendons toujoursla décision-, naturellement, nous voulonsdire que l'échéance présidentielle se tiendradans les délais prévus", a-t-il étonnementdéclaré, lors d'une conférence de pressetenu hier mardi, à l'occasion du Nouvel an.Amar Ghoul, qui avait soutenu il y aquelques semaines, que l'élection présidentiellen'était "pas importante", revientainsi et subitement au droit chemin.Que s'est-il passé entre temps, pour quel'ex-cadre du Hamas tourne casaque ? Sansdoute qu'il a été instruit de changer de capet de réorienter son discours, en fonctiondes nouvelles donnes, c'est-à-dire, le maintiende l'élection présidentielle pour lemois d'avril.Il ne faut surtout pas demander à AmarGhoul, d'expliquer son rétropédalage tantce n'est pas la première fois qu'il brouille les pistes. Nouvel an, nouveau discours et exit le report de l'élection ! Le chef du TAJ dit n'attendre désormais qu'un signal de la présidence, pour lancer la campagne en faveur d'un 5e mandat ou toute autre option qui serait retenue. "La décision revient au président de la République et nous, à TAJ, soutiendrons toute décision que prendra son Excellence le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le père Moudjahid" a-t-il avoué. Il est vrai que beaucoup d'eau a coulé sous les ponts, depuis l'annonce de "sa" conférence nationale. De l'annonce solennelle de Sidi Said de la candidature de Bouteflika, au rappel à l'ordre du général major Ali Ghediri par GaidSalah, en passant par la tenue du Conseil des ministres, il parait maintenant clair quele cinquième mandat est plus que jamais àl'ordre du jour.Le concert des soutiens va sûrement reprendre de plus belle prochainement, à deux semaines de la convocation du corps électorale conformément aux exigences constitutionnelles.