Ça s'annonce chaud, malgré le froid hivernal. La nouvelle année promet d'être mouvementée. Elle porte le parfum de la contestation. Ça s'annonce chaud, malgré le froid hivernal. La nouvelle année promet d'être mouvementée. Elle porte le parfum de la contestation. Elle sera agitée sur tous les plans : politique, social, économique,aucun créneau ne sera épargné.En effet, les syndicats du secteur del'Education annoncent la couleur, enrevenant encore une fois, à la charge.Puisqu'une réunion est déjà prévue le7 janvier prochain, entre les différentssyndicats pour décider de la meilleuremanièred'exprimer leur mécontentement etleur colère. Ainsi, un nouveau bras defer entre la tutelle et les différents syndicatsdu secteur, se dessine à l'horizonet risque de replonger le secteurdans une zone de turbulences. Lasséed'attendre la prise en charge desrevendications restées en suspens,l'Intersyndicale de l'éducation nationale(Cnapeste, l'Unpef, le CLA, leSnte, le Snapest et le Satef), a brandila menace de réinvestir le terrain de laprotestation, dès le deuxième trimestre.Pour ce faire, les syndicats enquestion ont convenu de se réunir, le 7 janvier prochain, pour décider de ladate et la forme du mouvement deprotestation à entreprendre dans les prochains jours. Le porte-parole del'union nationale des personnels del'éducation et de la formation (Unpef)a expliqué que "le tâtonnement duministère de tutelle dans la prise encharge de la plate-forme de revendications des travailleurs du secteur" et "les prises de décision d'une manière unilatérale", seraient effectivement à l'origine de la grogne de ces syndicats. Ce syndicaliste dénonce, également, les atteintes à la liberté del'exercice syndical. De son côté, le porte-parole du Conseil des enseignants des lycées d'Algérie (CELA), a fait savoir que "le principe des actions est maintenu, afin de faire valoir nos revendications". "La tendance lors de la réunion prochaine ira certainement vers des mouvements de grève", prévient Idir Achour. Ces syndicats dénoncent également, "le mode de gouvernance de la tutelle qui n'a pas respecté ses engagements parrapport au statut particulier et les oeuvres sociales des travailleurs du secteur". Pour ce qui est des réformes projetées dans le secteur de l'éducation, les sixsyndicats en question dénoncent "la prise de décision du ministère de tutelle d'une manière unilatérale sansconsultation des partenaires sociaux". Rappelons toutefois que la coalition avait décidé de se retirer collectivement de la charte d'éthique du secteur, signée conjointement avec leur ministère de tutelle en novembre2015. Aussi, ces formations syndicale t décidé de boycotter toutesles activités, ainsi que toutes les réunions officielles organisées par latutelle au niveau national et local. Elle sera agitée sur tous les plans : politique, social, économique,aucun créneau ne sera épargné.En effet, les syndicats du secteur del'Education annoncent la couleur, enrevenant encore une fois, à la charge.Puisqu'une réunion est déjà prévue le7 janvier prochain, entre les différentssyndicats pour décider de la meilleuremanièred'exprimer leur mécontentement etleur colère. Ainsi, un nouveau bras defer entre la tutelle et les différents syndicatsdu secteur, se dessine à l'horizonet risque de replonger le secteurdans une zone de turbulences. Lasséed'attendre la prise en charge desrevendications restées en suspens,l'Intersyndicale de l'éducation nationale(Cnapeste, l'Unpef, le CLA, leSnte, le Snapest et le Satef), a brandila menace de réinvestir le terrain de laprotestation, dès le deuxième trimestre.Pour ce faire, les syndicats enquestion ont convenu de se réunir, le 7 janvier prochain, pour décider de ladate et la forme du mouvement deprotestation à entreprendre dans les prochains jours. Le porte-parole del'union nationale des personnels del'éducation et de la formation (Unpef)a expliqué que "le tâtonnement duministère de tutelle dans la prise encharge de la plate-forme de revendications des travailleurs du secteur" et "les prises de décision d'une manière unilatérale", seraient effectivement à l'origine de la grogne de ces syndicats. Ce syndicaliste dénonce, également, les atteintes à la liberté del'exercice syndical. De son côté, le porte-parole du Conseil des enseignants des lycées d'Algérie (CELA), a fait savoir que "le principe des actions est maintenu, afin de faire valoir nos revendications". "La tendance lors de la réunion prochaine ira certainement vers des mouvements de grève", prévient Idir Achour. Ces syndicats dénoncent également, "le mode de gouvernance de la tutelle qui n'a pas respecté ses engagements parrapport au statut particulier et les oeuvres sociales des travailleurs du secteur". Pour ce qui est des réformes projetées dans le secteur de l'éducation, les sixsyndicats en question dénoncent "la prise de décision du ministère de tutelle d'une manière unilatérale sansconsultation des partenaires sociaux". Rappelons toutefois que la coalition avait décidé de se retirer collectivement de la charte d'éthique du secteur, signée conjointement avec leur ministère de tutelle en novembre2015. Aussi, ces formations syndicale t décidé de boycotter toutesles activités, ainsi que toutes les réunions officielles organisées par latutelle au niveau national et local.