L'émigration clandestine a atteint ces dernières années, une proportion inquiétante! Ces Algériens qui risquaient leur vie dans des embarcations de fortune et de la mort en direction de l'autre rive de la Méditerranée, surtout que cela génère désormais quasi quotidiennement des drames. L'émigration clandestine a atteint ces dernières années, une proportion inquiétante! Ces Algériens qui risquaient leur vie dans des embarcations de fortune et de la mort en direction de l'autre rive de la Méditerranée, surtout que cela génère désormais quasi quotidiennement des drames. Un holocauste moderne, les actions de contrôle des forces de l'ordre pourempêcher de telles tentatives de la art de nos jeunes, relèvent moinsd'opérations de véritable maintien del'ordre, que d'une complicité objective avecune politique inepte de l'Europe. Parailleurs, à titre de comparaison, du 1erjanvier au 31 décembre 2018, la LADDH arecensé plus 3.109 tentatived'immigration clandestine qui avaient été déjouées par les Gardes-côtes algériens, sur le littoral de 1.200 kmde longueur. Cesjeunes fuyaient le chômage dont le taux enregistré dépasse les 35% et ladégradation de leur niveau de vie aussi,tandis que seuls 10% d'Algériensdétiennent 80% des ressources du pays,une situation très inquiétante et qui confirme que les différences s'agrandissent entre les classes du peuple,de façon inédite dans l'histoire del'Algérie. La LADDH attire l'attention de l'opinionpublique nationale et internationale, queselon les chiffres avancés, 3.983 tentatives d'immigration, dont 287 femmes,1.126 mineurs accompagnés ou non accompagnés, ne reflètent en aucun cas la du terrain, puisqu'il s'agit uniquementdes harraga qui ont été arrêtés, sans tenir compte de ceux qui sont morts noyés en mer, lors de leur fatale aventure et qui n'ont jamais été repêchés à ce jour. A ce propos, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH) avoir recensé la mise à l'échec de tentatives d'immigration de 9.753 individusdepuis début 2015 à la fin 2018, tandis que 3.000 personnes seraient mortes et disparues en mer, depuis 2009. Cet état de fait conduit la LADDH, notamment le secrétaire national de la Ligue en charge de la communauté et des relations extérieures, Mahmoud Djenane, à prendre en charge ce lourd dossier. En l'absence de statistiques officielles, la LADDH a tenté de cerner le chiffre des ressortissants algériens détenus à l'étranger en se basant sur les informations partielles collectées auprès des familles de détenus, dans les rapports des O.N.G. Ces informations restent surement incomplètes et exigent plus d'efforts, pour cerner de plus près ces chiffres, au cours des dix premiers mois de l'année en cours s'élève 12.700, contre 14.000 durant l'année précédente, sont détenus en Europe. Face à l'urgence de ce fléau et au nombre de victimes, la LADDH prévoit de mettre enplace des actions luttant contre l'immigration illégale, à travers des campagnes de ensibilisation des populations concernées sur les menaces et les dangers de cette pratique, et en encourageant des activités génératrices de revenus pour lutter contre le chômage et la précarité, dans le but de vivre dans la dignité et sauver des vies, ainsi que sauvegarder la richesse humaine. Malgré que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH) se sentant seule sur le terrain sans moyens face à cet afflux de migrants dans plusieurs régions au large des côtes de 1.200 km, notamment à Annaba, El-Tarf, Chlef, Mostaganem, Aïn Témouchent, Oran ou encore Skikda. Par ailleurs, Mr HOUARI Kaddour président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), est convaincu que ce phénomène en Méditerranée, ne trouvera pas de solution avant qu'un dialogue ouvert avec une coopération économique équitable entre les pays de la rive ( Nord- Sud ). Il faut faire un pas décisif pour la lutte contre les vraies causes de la migration clandestine, et non seulement sécuritaires, que le vrai crime de l'immigration clandestine n'est pas celui de ces innocents si jeunes, morts en voulant vivre dignement. Le vrai forfait est celui de l'impossibilité qui leur est faite de circuler librement, un droit garanti aussi bien par le droit national qu'international, et que bafoue une politique migratoire occidentale obsolète, devenue criminogène. En effet, franchir aujourd'hui clandestinement la frontièrend'un pays, est la stricte conséquence logique de sa fermeture abusive, au-devant des humains quand on l'ouvre de plus en plus et totalement pour ses créations et son oeuvre, les marchandises et les services. Allant dans le même sens, Mr HOUARI Kaddour, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme(LADDH) , affirme dans l'intérêt de toutes les parties et celui de notre jeunesse aujourd'hui martyrisée, c'est ce que garantit l'outil proposé qui a le mérite, outre de mettre un terme aux drames qu'on déplore en Méditerranée, de se situer dans le sens de l'histoire. Et notre vision des tentatives désespérées de nos jeunes, pour ce qui est supposé être une émigration clandestine, doit impérativement changer afin de mieux convenir à la réalité, éthiquement, mais aussi juridiquement, et les autorités de ce côté-ci de la Méditerranée ont privilégié le volet répressif au lieu de s'occuper plus sérieusement des candidats à l'émigration, qui cherchent à rejoindre l'autre rive au péril de leur vie. En effet, le dispositif criminalisant l'émigration clandestine (loi n°09-01 du 25 février 2009 portant sur les infractions commises contre les lois et règlements relatifs à la sortie du territoire national), n'a visiblement servi à rien. Puisque les migrants, de tous âges et sexes, et parfois de toutes les conditions, tentent la harga sans se soucier des peines énoncées dans le texte (emprisonnementde deux à six mois et une amende de 20.000 à 60.000 DAou de l'une de ces deux peines seulement). La loi répressive ne dissuade pas les harraga décidés à s'embarquer, pour ce qu'ils considèrent comme l'eldorado. Un holocauste moderne, les actions de contrôle des forces de l'ordre pourempêcher de telles tentatives de la art de nos jeunes, relèvent moinsd'opérations de véritable maintien del'ordre, que d'une complicité objective avecune politique inepte de l'Europe. Parailleurs, à titre de comparaison, du 1erjanvier au 31 décembre 2018, la LADDH arecensé plus 3.109 tentatived'immigration clandestine qui avaient été déjouées par les Gardes-côtes algériens, sur le littoral de 1.200 kmde longueur. Cesjeunes fuyaient le chômage dont le taux enregistré dépasse les 35% et ladégradation de leur niveau de vie aussi,tandis que seuls 10% d'Algériensdétiennent 80% des ressources du pays,une situation très inquiétante et qui confirme que les différences s'agrandissent entre les classes du peuple,de façon inédite dans l'histoire del'Algérie. La LADDH attire l'attention de l'opinionpublique nationale et internationale, queselon les chiffres avancés, 3.983 tentatives d'immigration, dont 287 femmes,1.126 mineurs accompagnés ou non accompagnés, ne reflètent en aucun cas la du terrain, puisqu'il s'agit uniquementdes harraga qui ont été arrêtés, sans tenir compte de ceux qui sont morts noyés en mer, lors de leur fatale aventure et qui n'ont jamais été repêchés à ce jour. A ce propos, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH) avoir recensé la mise à l'échec de tentatives d'immigration de 9.753 individusdepuis début 2015 à la fin 2018, tandis que 3.000 personnes seraient mortes et disparues en mer, depuis 2009. Cet état de fait conduit la LADDH, notamment le secrétaire national de la Ligue en charge de la communauté et des relations extérieures, Mahmoud Djenane, à prendre en charge ce lourd dossier. En l'absence de statistiques officielles, la LADDH a tenté de cerner le chiffre des ressortissants algériens détenus à l'étranger en se basant sur les informations partielles collectées auprès des familles de détenus, dans les rapports des O.N.G. Ces informations restent surement incomplètes et exigent plus d'efforts, pour cerner de plus près ces chiffres, au cours des dix premiers mois de l'année en cours s'élève 12.700, contre 14.000 durant l'année précédente, sont détenus en Europe. Face à l'urgence de ce fléau et au nombre de victimes, la LADDH prévoit de mettre enplace des actions luttant contre l'immigration illégale, à travers des campagnes de ensibilisation des populations concernées sur les menaces et les dangers de cette pratique, et en encourageant des activités génératrices de revenus pour lutter contre le chômage et la précarité, dans le but de vivre dans la dignité et sauver des vies, ainsi que sauvegarder la richesse humaine. Malgré que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH) se sentant seule sur le terrain sans moyens face à cet afflux de migrants dans plusieurs régions au large des côtes de 1.200 km, notamment à Annaba, El-Tarf, Chlef, Mostaganem, Aïn Témouchent, Oran ou encore Skikda. Par ailleurs, Mr HOUARI Kaddour président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme (LADDH), est convaincu que ce phénomène en Méditerranée, ne trouvera pas de solution avant qu'un dialogue ouvert avec une coopération économique équitable entre les pays de la rive ( Nord- Sud ). Il faut faire un pas décisif pour la lutte contre les vraies causes de la migration clandestine, et non seulement sécuritaires, que le vrai crime de l'immigration clandestine n'est pas celui de ces innocents si jeunes, morts en voulant vivre dignement. Le vrai forfait est celui de l'impossibilité qui leur est faite de circuler librement, un droit garanti aussi bien par le droit national qu'international, et que bafoue une politique migratoire occidentale obsolète, devenue criminogène. En effet, franchir aujourd'hui clandestinement la frontièrend'un pays, est la stricte conséquence logique de sa fermeture abusive, au-devant des humains quand on l'ouvre de plus en plus et totalement pour ses créations et son oeuvre, les marchandises et les services. Allant dans le même sens, Mr HOUARI Kaddour, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme(LADDH) , affirme dans l'intérêt de toutes les parties et celui de notre jeunesse aujourd'hui martyrisée, c'est ce que garantit l'outil proposé qui a le mérite, outre de mettre un terme aux drames qu'on déplore en Méditerranée, de se situer dans le sens de l'histoire. Et notre vision des tentatives désespérées de nos jeunes, pour ce qui est supposé être une émigration clandestine, doit impérativement changer afin de mieux convenir à la réalité, éthiquement, mais aussi juridiquement, et les autorités de ce côté-ci de la Méditerranée ont privilégié le volet répressif au lieu de s'occuper plus sérieusement des candidats à l'émigration, qui cherchent à rejoindre l'autre rive au péril de leur vie. En effet, le dispositif criminalisant l'émigration clandestine (loi n°09-01 du 25 février 2009 portant sur les infractions commises contre les lois et règlements relatifs à la sortie du territoire national), n'a visiblement servi à rien. Puisque les migrants, de tous âges et sexes, et parfois de toutes les conditions, tentent la harga sans se soucier des peines énoncées dans le texte (emprisonnementde deux à six mois et une amende de 20.000 à 60.000 DAou de l'une de ces deux peines seulement). La loi répressive ne dissuade pas les harraga décidés à s'embarquer, pour ce qu'ils considèrent comme l'eldorado.