La reconnaissance par les plus hautes autorités du pays de Yennayer en tant que journée chômée et payée a, sans doute, réconcilié le peuple avec son Histoire. Sa célébration vaut constat : les Algériens manifestent de mille et une manières leur attachement à cette date hautement symbolique en renouant avec les traditions de leurs aïeux. La reconnaissance par les plus hautes autorités du pays de Yennayer en tant que journée chômée et payée a, sans doute, réconcilié le peuple avec son Histoire. Sa célébration vaut constat : les Algériens manifestent de mille et une manières leur attachement à cette date hautement symbolique en renouant avec les traditions de leurs aïeux. Le Nouvel An berbère 2969 sera célébré comme jamais auparavant danstoutes les wilayas du pays, où despréparatifs grandioses battent leur pleinpour donner la dimension que mérite cetévénement et faire de cette terre qui l'a protégéet conservé durant des siècles,où le - vivre ensemble - ne relève pointd'un vain mot depuis la nuit des temps, lecreuset de ce patrimoine millénaire. Leministère de la Culture, des associationsnationales, des organisateurs privés etmême des comités de quartier et villageont concocté des programmes des plusalléchants afin d'entrer comme il se doitdans la nouvelle annéeberbère. Des expositions, des conférences, des projections etautres expo-ventes d'objets d'artisanat traditionnelse multiplient à travers le pays.Le secteur de l'Education nationale n'estpas en reste, il a décidé d'être de la partiepour célébrer cet événement par l'organisation d'activités culturelles et artistiquesmettant à l'honneur la diversité du patrimoinehistorique et culturel de l'Algérie.Autant de moments forts qui vont dans lesens de la consolidation de l'unité de tousles Algériens, de ces jeunes et moinsjeunes qui viendront partager dans une joie intense ce premier jour du calendrieragraire, utilisé depuis l'Antiquité par lesBerbères à travers l'Afrique du Nord et,dans la convivialité familiale qui a toujours marqué cette fête et mettre en exergue cette décision du président de la République d'instituer pour la première fois le 27 décembre 2017, Yennayer journée nationale chômée et payée. En effet,la reconnaissance par les plus hautes autoritésdu pays de Yennayer en tant que journée chômée et payée a, sans doute, réconciliéle peuple avec son Histoire. Sa célébration vaut constat : les Algériens manifestent de mille et une manières leur attachement à cette date hautement symbolique en renouant avec les traditions de leurs aïeux. Dans un passé récent, il se fêtait, seulement, en famille autour d'un couscous garni de poulet, et qui est communémentappelé "Imensi n'Yennayer". Depuis l'an dernier, la fête a pris une connotation officielle et symbolique à lafois, sur tout le territoire national.Cette consécration où le festif côtoie lerituel a unsens historique, qui inaugure le mythe fondateur du calendrier berbère,ancré dans la sécularité de ce peuple foncièrement amazigh et jaloux de son ancestralité et ses valeurs millénaires. Dans lesfoyers, en effet, la célébration a créé une ambiance conviviale exceptionnelle. Le couscous reste le maitre de cérémonie pour cette grande fête amazighe.La viande blanche de poulet semble convenir dans tous les plats familiaux. La tradition veut également que les confiseries doivent garnir la table. Au bonheur des enfants ! Le rituel de Yennayer est aussi accompagné de la première coupe de cheveux pour les petits enfants en leur préservant quelques mèches au dessus du front, ainsi que des Tmachrets ou laouziaa pour certains. Usant aux gardes du temple en l'occurrence les vieilles, elles prient pour que l'année soit prolifique en produits alimentaires et que la famille ne se retrouve pas dans le besoin. Pour cela, avant la prière d'El Fedjr, les vieilles poussent des youyous discrets sur les - Ikoufène - t les jarres d'huile. Assegas amegaz ! Le Nouvel An berbère 2969 sera célébré comme jamais auparavant danstoutes les wilayas du pays, où despréparatifs grandioses battent leur pleinpour donner la dimension que mérite cetévénement et faire de cette terre qui l'a protégéet conservé durant des siècles,où le - vivre ensemble - ne relève pointd'un vain mot depuis la nuit des temps, lecreuset de ce patrimoine millénaire. Leministère de la Culture, des associationsnationales, des organisateurs privés etmême des comités de quartier et villageont concocté des programmes des plusalléchants afin d'entrer comme il se doitdans la nouvelle annéeberbère. Des expositions, des conférences, des projections etautres expo-ventes d'objets d'artisanat traditionnelse multiplient à travers le pays.Le secteur de l'Education nationale n'estpas en reste, il a décidé d'être de la partiepour célébrer cet événement par l'organisation d'activités culturelles et artistiquesmettant à l'honneur la diversité du patrimoinehistorique et culturel de l'Algérie.Autant de moments forts qui vont dans lesens de la consolidation de l'unité de tousles Algériens, de ces jeunes et moinsjeunes qui viendront partager dans une joie intense ce premier jour du calendrieragraire, utilisé depuis l'Antiquité par lesBerbères à travers l'Afrique du Nord et,dans la convivialité familiale qui a toujours marqué cette fête et mettre en exergue cette décision du président de la République d'instituer pour la première fois le 27 décembre 2017, Yennayer journée nationale chômée et payée. En effet,la reconnaissance par les plus hautes autoritésdu pays de Yennayer en tant que journée chômée et payée a, sans doute, réconciliéle peuple avec son Histoire. Sa célébration vaut constat : les Algériens manifestent de mille et une manières leur attachement à cette date hautement symbolique en renouant avec les traditions de leurs aïeux. Dans un passé récent, il se fêtait, seulement, en famille autour d'un couscous garni de poulet, et qui est communémentappelé "Imensi n'Yennayer". Depuis l'an dernier, la fête a pris une connotation officielle et symbolique à lafois, sur tout le territoire national.Cette consécration où le festif côtoie lerituel a unsens historique, qui inaugure le mythe fondateur du calendrier berbère,ancré dans la sécularité de ce peuple foncièrement amazigh et jaloux de son ancestralité et ses valeurs millénaires. Dans lesfoyers, en effet, la célébration a créé une ambiance conviviale exceptionnelle. Le couscous reste le maitre de cérémonie pour cette grande fête amazighe.La viande blanche de poulet semble convenir dans tous les plats familiaux. La tradition veut également que les confiseries doivent garnir la table. Au bonheur des enfants ! Le rituel de Yennayer est aussi accompagné de la première coupe de cheveux pour les petits enfants en leur préservant quelques mèches au dessus du front, ainsi que des Tmachrets ou laouziaa pour certains. Usant aux gardes du temple en l'occurrence les vieilles, elles prient pour que l'année soit prolifique en produits alimentaires et que la famille ne se retrouve pas dans le besoin. Pour cela, avant la prière d'El Fedjr, les vieilles poussent des youyous discrets sur les - Ikoufène - t les jarres d'huile. Assegas amegaz !