Un important volet de la réforme de l'Education, notamment celui lié à la réforme du Bac, vient d'être décliné. Un important volet de la réforme de l'Education, notamment celui lié à la réforme du Bac, vient d'être décliné. En effet, et de passage, hier sur le plateau d'une chaîne de télévision privée,l'inspecteur général au ministèrede l'Education nationale (MEN), NedjadjMeguessem, qui fait figure de numéro 2 dusecteur, a annoncé que les épreuves du baccalauréat,session 2021, porteront uniquementsur les matières essentielles pour lescandidats, suivant leurs filières.La durée de l'examen sera écourtée, de cefait, à seulement 3 jours contre 5 actuellement. Dans sa lancée, Meguessem a égalementindiqué que les élèves actuellement enclasse de 1re année secondaire serontconcernés par la note de l'évaluation continue,dont l'entrée en vigueur effective estfixée à 2021.Enfin et s'agissant du Bac libre, l'inspecteurdu MEN a fait savoir que les candidats libres devront obligatoirement s'inscrire à l'Office national de l'Enseignement et de la Formation à distance (ONEFD) pour pouvoir participer aux épreuves, ce à partirdu Bac 2020. La grève de lundi inévitable ! Néanmoins pour cette année, le spectre de la grève plane toujours sur le secteur de l'Education. Pour l'heure aucune solution n'a été trouvée par le ministère pour résoudre les problèmes soulevés par les syndicats autonomes de l'éducation. Ces derniersmenacent de "maintenir" la grève du 21 janvier. Le président de l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a déjà tranché la question. Selon ce dernier, la grève sera maintenue, en attendant bien évidemment les clôtures de la série des réunions bilatérales avec le reste des syndicats. Même son de cloche pour le porteparole du conseil des enseignants des lycées d'Algérie (CELA), Idir Achour. Ce syndicaliste décide le "maintien" de la grève de lundi prochain. Cependant, le président du Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), Meriane Meziane "devrait donner des suites à cedossier", en attendant les "résultats de la réunion avec les représentants du ministère de l'Education prévue demain jeudi", indique-t-il à ALG24.Les syndicats continuent de faire pression sur la ministre de l'Education qui essayecoûte que coûte de désamorcer cette crisepour empêcher la déstabilisation de l'école algérienne au cours de ce 2 e trimestre del'année scolaire 2018-2019. Le ministère associe tous les syndicats au dialogue De son coté, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé, hier à Alger, que le ministère veille "àconsulter et à associer tous les syndicatsaux séances de dialogue" autour des questions intéressant le secteur. Dans une déclaration à la presse, en marge de la célébration de la Journée nationale de la commune à l'école La liberté, Mme Benghabrit a indiqué que le ministère veille "à consulter et à associer tous les syndicats aux séances de dialogue" autour des questions intéressant la famille del'Education et le secteur, affirmant que les portes du ministère demeure "ouvertes" à la concertation avec les partenaires sociaux autour de ces questions.Le ministère de l'Education n'opte pas pour un mode de "gestion unilatérale" du secteur, a-t-elle fait savoir, réaffirmant la pleine disponibilité de la tutelle "au dialogue et à la concertation" avec les syndicats de l'Education, dont certains avaientappelé à une grève nationale, à partir de la semaine prochaine. "Près de 98 % des propositions, pertinentes d'ailleurs, formulées par les syndicats ont été prises en considération",a souligné la ministre, relevant, toutefois, l'impossibilité de satisfaire certaines revendications. Pour rappel, le Collectif des syndicats autonomes du secteurde l'Education qui compte 6 syndicats avait appelé, il y a 15 jours, à une grève nationale, le 21 janvier, suivie de plusieurs sit-in devant les directions régionales de l'éducation.Lesdits syndicats ont décidé de recourir à nouveau à la grève, arguant que le ministère avait refusé "le dialogue autour de la plateforme de revendications" portant essentiellement sur la révision du statut particulier du secteur, le respect de la liberté de l'activité syndicale et la révision de la loi sur la retraite. Mme Benghabrit a assisté à l'école La liberté, en compagnie du ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, et du wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, à un cours inaugural sur le rôle de la commune, à l'occasion de la Journée nationale de la commune (19 janvier 1967). A cette occasion, la ministre a rappelé l'introduction de thèmes relatifs à la commune et aux instances élues dans les cours d'éducation civile pour les classes de 4e et 5e années du cycle primaire et 2e année du cycle moyen. Des instructions ont également été données aux directions de l'Education, à travers l'ensemble du territoire national, pour consacrer des cours au rôle et missions dela commune, a-t-elle précisé. Plus de 100.000 cas de caries dentaires enregistrés Les unités de dépistage et de suivi (UDS) en milieu scolaire ont fait état de plus de 100.000 cas de caries dentaires, recensés lors du premier trimestre de l'année scolaire 2018/2019 à Alger, en examinant plus de 200.000 élèves (tous cycles confondus), a indiqué le chef de service de prévention à la direction de la santé et de la population d'Alger, Aittouares Boudjemaa. Les caries dentaires viennent en tête de liste des maladies les plus fréquentes chez les élèves, a fait savoir le docteur Aïttouares dans une déclaration à l'APS, révélant le nombre de 103.996 cas de caries dentaires enregistrés sur 200.248 élèves examinés tous cycles confondus. En sus des caries dentaires, 1 sur 2 élèves souffrent également de pathologies buccodentaires, du fait de "la consommation de quantités excessives de sucreries et de jus industriels", a souligné le responsable, citant d'autres causes à l'instar de "la mauvaise alimentation, le manque d'hygiènenotamment chez les élèves des classes primaires". Les élèves seraient, par ailleurs, sujets à des complications dangereuses pouvant avoir des répercussions nocives sur les autres organes vitaux, en particulier l'appareil digestif, le coeur et les reins. Le programme national de santé buccodentaire en milieu scolaire a concerné, lorsdu premier trimestre de l'année en cours, environ 9700 classes, soit 454.000 élèves. Des campagnes qui ont axé leurs contenus,a-t-il soutenu, sur l'impératif de prendresoin des dents à travers le brossagerégulier et l'alimentation saine.Plus abondant à ce sujet, Dr Aïttouares a appelé les parents d'élèves à contribuer au bien-être de leur progéniture en contrôlant le comportement alimentaires de leurs et les mettant en garde contre les de la gourmandise, des sucreries,des jus industriels ainsi que du fast-food. Les services de santé prenant en charge les élèves de différents cycles se composent dequelques 96 unités de dépistage et de suivi réparties sur l'ensemble des communes de la wilaya d'Alger, a précisé Dr Aïttouares. Les unités de suivi sont encadrées par un staff médical et un autre paramédical constitué de 196 médecins généralistes, 170 chirurgiens-dentistes, 170 psychologues, 34 paramédicaux (infirmiers) et150 aides-soignants. En effet, et de passage, hier sur le plateau d'une chaîne de télévision privée,l'inspecteur général au ministèrede l'Education nationale (MEN), NedjadjMeguessem, qui fait figure de numéro 2 dusecteur, a annoncé que les épreuves du baccalauréat,session 2021, porteront uniquementsur les matières essentielles pour lescandidats, suivant leurs filières.La durée de l'examen sera écourtée, de cefait, à seulement 3 jours contre 5 actuellement. Dans sa lancée, Meguessem a égalementindiqué que les élèves actuellement enclasse de 1re année secondaire serontconcernés par la note de l'évaluation continue,dont l'entrée en vigueur effective estfixée à 2021.Enfin et s'agissant du Bac libre, l'inspecteurdu MEN a fait savoir que les candidats libres devront obligatoirement s'inscrire à l'Office national de l'Enseignement et de la Formation à distance (ONEFD) pour pouvoir participer aux épreuves, ce à partirdu Bac 2020. La grève de lundi inévitable ! Néanmoins pour cette année, le spectre de la grève plane toujours sur le secteur de l'Education. Pour l'heure aucune solution n'a été trouvée par le ministère pour résoudre les problèmes soulevés par les syndicats autonomes de l'éducation. Ces derniersmenacent de "maintenir" la grève du 21 janvier. Le président de l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a déjà tranché la question. Selon ce dernier, la grève sera maintenue, en attendant bien évidemment les clôtures de la série des réunions bilatérales avec le reste des syndicats. Même son de cloche pour le porteparole du conseil des enseignants des lycées d'Algérie (CELA), Idir Achour. Ce syndicaliste décide le "maintien" de la grève de lundi prochain. Cependant, le président du Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), Meriane Meziane "devrait donner des suites à cedossier", en attendant les "résultats de la réunion avec les représentants du ministère de l'Education prévue demain jeudi", indique-t-il à ALG24.Les syndicats continuent de faire pression sur la ministre de l'Education qui essayecoûte que coûte de désamorcer cette crisepour empêcher la déstabilisation de l'école algérienne au cours de ce 2 e trimestre del'année scolaire 2018-2019. Le ministère associe tous les syndicats au dialogue De son coté, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé, hier à Alger, que le ministère veille "àconsulter et à associer tous les syndicatsaux séances de dialogue" autour des questions intéressant le secteur. Dans une déclaration à la presse, en marge de la célébration de la Journée nationale de la commune à l'école La liberté, Mme Benghabrit a indiqué que le ministère veille "à consulter et à associer tous les syndicats aux séances de dialogue" autour des questions intéressant la famille del'Education et le secteur, affirmant que les portes du ministère demeure "ouvertes" à la concertation avec les partenaires sociaux autour de ces questions.Le ministère de l'Education n'opte pas pour un mode de "gestion unilatérale" du secteur, a-t-elle fait savoir, réaffirmant la pleine disponibilité de la tutelle "au dialogue et à la concertation" avec les syndicats de l'Education, dont certains avaientappelé à une grève nationale, à partir de la semaine prochaine. "Près de 98 % des propositions, pertinentes d'ailleurs, formulées par les syndicats ont été prises en considération",a souligné la ministre, relevant, toutefois, l'impossibilité de satisfaire certaines revendications. Pour rappel, le Collectif des syndicats autonomes du secteurde l'Education qui compte 6 syndicats avait appelé, il y a 15 jours, à une grève nationale, le 21 janvier, suivie de plusieurs sit-in devant les directions régionales de l'éducation.Lesdits syndicats ont décidé de recourir à nouveau à la grève, arguant que le ministère avait refusé "le dialogue autour de la plateforme de revendications" portant essentiellement sur la révision du statut particulier du secteur, le respect de la liberté de l'activité syndicale et la révision de la loi sur la retraite. Mme Benghabrit a assisté à l'école La liberté, en compagnie du ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, et du wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, à un cours inaugural sur le rôle de la commune, à l'occasion de la Journée nationale de la commune (19 janvier 1967). A cette occasion, la ministre a rappelé l'introduction de thèmes relatifs à la commune et aux instances élues dans les cours d'éducation civile pour les classes de 4e et 5e années du cycle primaire et 2e année du cycle moyen. Des instructions ont également été données aux directions de l'Education, à travers l'ensemble du territoire national, pour consacrer des cours au rôle et missions dela commune, a-t-elle précisé. Plus de 100.000 cas de caries dentaires enregistrés Les unités de dépistage et de suivi (UDS) en milieu scolaire ont fait état de plus de 100.000 cas de caries dentaires, recensés lors du premier trimestre de l'année scolaire 2018/2019 à Alger, en examinant plus de 200.000 élèves (tous cycles confondus), a indiqué le chef de service de prévention à la direction de la santé et de la population d'Alger, Aittouares Boudjemaa. Les caries dentaires viennent en tête de liste des maladies les plus fréquentes chez les élèves, a fait savoir le docteur Aïttouares dans une déclaration à l'APS, révélant le nombre de 103.996 cas de caries dentaires enregistrés sur 200.248 élèves examinés tous cycles confondus. En sus des caries dentaires, 1 sur 2 élèves souffrent également de pathologies buccodentaires, du fait de "la consommation de quantités excessives de sucreries et de jus industriels", a souligné le responsable, citant d'autres causes à l'instar de "la mauvaise alimentation, le manque d'hygiènenotamment chez les élèves des classes primaires". Les élèves seraient, par ailleurs, sujets à des complications dangereuses pouvant avoir des répercussions nocives sur les autres organes vitaux, en particulier l'appareil digestif, le coeur et les reins. Le programme national de santé buccodentaire en milieu scolaire a concerné, lorsdu premier trimestre de l'année en cours, environ 9700 classes, soit 454.000 élèves. Des campagnes qui ont axé leurs contenus,a-t-il soutenu, sur l'impératif de prendresoin des dents à travers le brossagerégulier et l'alimentation saine.Plus abondant à ce sujet, Dr Aïttouares a appelé les parents d'élèves à contribuer au bien-être de leur progéniture en contrôlant le comportement alimentaires de leurs et les mettant en garde contre les de la gourmandise, des sucreries,des jus industriels ainsi que du fast-food. Les services de santé prenant en charge les élèves de différents cycles se composent dequelques 96 unités de dépistage et de suivi réparties sur l'ensemble des communes de la wilaya d'Alger, a précisé Dr Aïttouares. Les unités de suivi sont encadrées par un staff médical et un autre paramédical constitué de 196 médecins généralistes, 170 chirurgiens-dentistes, 170 psychologues, 34 paramédicaux (infirmiers) et150 aides-soignants.