Les cinq syndicats de nationale, regroupés au sein de vont renouer la grève. Le Snapest, le Cnapest, le Satef, le Cela, et l'UNPEF, ont annoncé avanthier, une grève générale de jours, les 26 et 27 février prochains, à l'appui de revendications socioprofessionnelles. Les cinq syndicats de nationale, regroupés au sein de vont renouer la grève. Le Snapest, le Cnapest, le Satef, le Cela, et l'UNPEF, ont annoncé avanthier, une grève générale de jours, les 26 et 27 février prochains, à l'appui de revendications socioprofessionnelles. Cette décision a été prise lors d'une réunion des syndicats, au siège del'UNPEF à Alger."Nous avons décidé d'organiser deux joursde grève, les 26 et 27 février prochains'',suivis de sit-in régionaux le 27 février, aaffirmé à TSA une source syndicale. Cessit-in régionaux, a ajouté la même source,auront lieu à Relizane (Ouest), Blida(Centre), Batna (Est) et Laghouat (Sud)."Nos revendications restent les mêmes'', a assuré la même source.La semaine dernière, l'Intersyndicale avaitmanifesté son étonnement, quant aucontenu des PV relatifs aux discussionstenues à la mi-janvier dernier, avec des représentants du ministère de l'Educationnationale. Selon certains membres del'Intersyndicale, ces "PV ne reflètent pasles discussions que nous avons eues avecles représentants du ministère''.Boualem Amoura, du Satef, a relevé que"les réponses du ministère sont vagues,sans délais." Pour lui, "le ministèrepousse au pourrissement''.La ministre de l'Education nationale,Nouria Benghabrit, a fait savoir que "leprojet de PV des rencontres bilatérales avecles syndicats relevant du secteur de l'Education,a été communiqué à l'ensemble dessyndicats", dont ceux ayant appelé à lagrève du 21 janvier dernier, c'est-à-direl'Intersyndicale, ou ceux souhaitant souleverune série de préoccupations au ministère. Elle a expliqué que le ministère "travaille sur la base d'un protocole de dialogue avec le partenaire social.'' Cependant, elle a suscité la colère des syndicats début février, lorsqu'elle a déclaré à la radio chaîne 3, que le cycle des discussions avec les syndicats serait "un échec''. "Nous ne sommes plus dans la problématique des années 2014-2015, où les syndicats obligeaient le ministère à appliquer leurs revendications", a-t-elle dit, avant de qu'''il y a de grands désaccords entre syndicats.'' Sur le point du statut particulier, une des revendications des syndicats, elle a expliqué : "Nous leur avons dit qu'il y a une du ministère qui travaille avec la Fonction publique", tout en reconnaissant que la mise en place d'une commission du statut particulier "a pris du temps". Les revendications de l'Intersyndicale portent notamment, sur "le statut particulier, le maintien de la retraite proportionnelle etde la retraite sans condition d'âge, l'abrogation définitive de l'article 87 bis (de la Loi de finances de 2015), et la création d'une prime spécifique aux corps communs et ouvriers qualifiés", ou l'application décret présidentiel 266/14, qui reclasse les enseignants détenteurs de licences ou de DEUA, dans la catégorie 12 de la grille indiciaire des salaires, au lieu de la 11 actuellement. Jeudi dernier à l'APN, Nouria Benghebrit annoncé qu'il a été procédé "au reclassement du Diplôme d'études universitaires appliquées (DEUA), à la 11e catégorie au lieu de la 10e, et la licence (classique et LMD) à la catégorie 12 au lieu de la 11", au profit des catégories de personnels détenteurs de ces diplômes. Le bras de fer avec l'Intersyndicale n'est pas prêt de s'estomper, d'autant que la ministre de l'Education nationale a expliqué aux syndicats, que certaines de leurs revendications relèvent des compétences et prérogatives du gouvernement, notamment le dossier de la retraite anticipée et les revalorisations des salaires. Cette décision a été prise lors d'une réunion des syndicats, au siège del'UNPEF à Alger."Nous avons décidé d'organiser deux joursde grève, les 26 et 27 février prochains'',suivis de sit-in régionaux le 27 février, aaffirmé à TSA une source syndicale. Cessit-in régionaux, a ajouté la même source,auront lieu à Relizane (Ouest), Blida(Centre), Batna (Est) et Laghouat (Sud)."Nos revendications restent les mêmes'', a assuré la même source.La semaine dernière, l'Intersyndicale avaitmanifesté son étonnement, quant aucontenu des PV relatifs aux discussionstenues à la mi-janvier dernier, avec des représentants du ministère de l'Educationnationale. Selon certains membres del'Intersyndicale, ces "PV ne reflètent pasles discussions que nous avons eues avecles représentants du ministère''.Boualem Amoura, du Satef, a relevé que"les réponses du ministère sont vagues,sans délais." Pour lui, "le ministèrepousse au pourrissement''.La ministre de l'Education nationale,Nouria Benghabrit, a fait savoir que "leprojet de PV des rencontres bilatérales avecles syndicats relevant du secteur de l'Education,a été communiqué à l'ensemble dessyndicats", dont ceux ayant appelé à lagrève du 21 janvier dernier, c'est-à-direl'Intersyndicale, ou ceux souhaitant souleverune série de préoccupations au ministère. Elle a expliqué que le ministère "travaille sur la base d'un protocole de dialogue avec le partenaire social.'' Cependant, elle a suscité la colère des syndicats début février, lorsqu'elle a déclaré à la radio chaîne 3, que le cycle des discussions avec les syndicats serait "un échec''. "Nous ne sommes plus dans la problématique des années 2014-2015, où les syndicats obligeaient le ministère à appliquer leurs revendications", a-t-elle dit, avant de qu'''il y a de grands désaccords entre syndicats.'' Sur le point du statut particulier, une des revendications des syndicats, elle a expliqué : "Nous leur avons dit qu'il y a une du ministère qui travaille avec la Fonction publique", tout en reconnaissant que la mise en place d'une commission du statut particulier "a pris du temps". Les revendications de l'Intersyndicale portent notamment, sur "le statut particulier, le maintien de la retraite proportionnelle etde la retraite sans condition d'âge, l'abrogation définitive de l'article 87 bis (de la Loi de finances de 2015), et la création d'une prime spécifique aux corps communs et ouvriers qualifiés", ou l'application décret présidentiel 266/14, qui reclasse les enseignants détenteurs de licences ou de DEUA, dans la catégorie 12 de la grille indiciaire des salaires, au lieu de la 11 actuellement. Jeudi dernier à l'APN, Nouria Benghebrit annoncé qu'il a été procédé "au reclassement du Diplôme d'études universitaires appliquées (DEUA), à la 11e catégorie au lieu de la 10e, et la licence (classique et LMD) à la catégorie 12 au lieu de la 11", au profit des catégories de personnels détenteurs de ces diplômes. Le bras de fer avec l'Intersyndicale n'est pas prêt de s'estomper, d'autant que la ministre de l'Education nationale a expliqué aux syndicats, que certaines de leurs revendications relèvent des compétences et prérogatives du gouvernement, notamment le dossier de la retraite anticipée et les revalorisations des salaires.