En décidant d'avancer lesvacances universitaires de printemps au titre de l'année universitaire2018-2019, audimanche 10 mars et cejusqu'au 4 avril, En décidant d'avancer lesvacances universitaires de printemps au titre de l'année universitaire2018-2019, audimanche 10 mars et cejusqu'au 4 avril, alors qu'initialementelles étaient prévues du 21 mars au 5 avril 2019, le ministre de l'Enseignementsupérieur, Tahar Hadjar, nes'imaginait peut être pas queson arrêté allait susciter le rejetde la communauté universitaire. En effet, dès l'annonce decette décision, la réaction a étéimmédiate et sans équivoque.D'une seule voix, étudiants etenseignants, ont opposé un niet catégorique à cette surprenantedécision, dont l'objectif visait certainement a atténuerl'ampleur de la mobilisationestudiantine, puisque la colèreétait de plus attisée par la décisionde vider les cités universitaires,du fait que les résidentsétaient invités à quitterles lieux. En somme pour lespouvoirs publics, il n' y aurani transport universitaire, nirestauration, ni hébergement.Mais, les étudiants ont refuséde quitter et les universités etles cités universitaires. Face autollé général provoqué par cettedécision irréfléchie et provocatrice, le ministère a quelque peu fait marche- arrière. C'est ainsi que l'Office des oeuvres universitaires (ONOU), est revenu à de meilleurs sentiments,en annonçant, avanthier soir, que le transport, l'hébergement et la restauration, seront assurés normalement jusqu'au 21 mars. Autant dire que, la réaction des étudiants a été payante. Les enseignants ont eux aussi, dénoncé vivement la décision d'avancer les vacances universitaires. Le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), a en effet dénoncé dans un communiqué, cette décision, l'a qualifiant "d'arbitraire". Le recteur de l'université de Tizi- Ouzou a refusé d'appliquer cette décision, en annonçant que "les programmes pédagogiques seront respectés, selon le calendrier initialement tracé, afin de rattraper déjà le retard cumulé". Un collectif d'enseignants a rejeté la décision, en tirant à boulets rouges sur Tahar Hadjar. Dans un communiqué, il a qualifié cette décision de "manoeuvre malheureuse, pour empêcher la poursuite de la protestation". alors qu'initialementelles étaient prévues du 21 mars au 5 avril 2019, le ministre de l'Enseignementsupérieur, Tahar Hadjar, nes'imaginait peut être pas queson arrêté allait susciter le rejetde la communauté universitaire. En effet, dès l'annonce decette décision, la réaction a étéimmédiate et sans équivoque.D'une seule voix, étudiants etenseignants, ont opposé un niet catégorique à cette surprenantedécision, dont l'objectif visait certainement a atténuerl'ampleur de la mobilisationestudiantine, puisque la colèreétait de plus attisée par la décisionde vider les cités universitaires,du fait que les résidentsétaient invités à quitterles lieux. En somme pour lespouvoirs publics, il n' y aurani transport universitaire, nirestauration, ni hébergement.Mais, les étudiants ont refuséde quitter et les universités etles cités universitaires. Face autollé général provoqué par cettedécision irréfléchie et provocatrice, le ministère a quelque peu fait marche- arrière. C'est ainsi que l'Office des oeuvres universitaires (ONOU), est revenu à de meilleurs sentiments,en annonçant, avanthier soir, que le transport, l'hébergement et la restauration, seront assurés normalement jusqu'au 21 mars. Autant dire que, la réaction des étudiants a été payante. Les enseignants ont eux aussi, dénoncé vivement la décision d'avancer les vacances universitaires. Le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), a en effet dénoncé dans un communiqué, cette décision, l'a qualifiant "d'arbitraire". Le recteur de l'université de Tizi- Ouzou a refusé d'appliquer cette décision, en annonçant que "les programmes pédagogiques seront respectés, selon le calendrier initialement tracé, afin de rattraper déjà le retard cumulé". Un collectif d'enseignants a rejeté la décision, en tirant à boulets rouges sur Tahar Hadjar. Dans un communiqué, il a qualifié cette décision de "manoeuvre malheureuse, pour empêcher la poursuite de la protestation".