Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé que les Algériensn'ont pas droit à l'erreur après la décision du président dela République Abdelaziz Bouteflika, de ne pas se présenterpour un autre mandat présidentiel. Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a affirmé que les Algériensn'ont pas droit à l'erreur après la décision du président dela République Abdelaziz Bouteflika, de ne pas se présenterpour un autre mandat présidentiel. "Il appartient maintenantaux femmes, aux hommes et surtout aux jeunes de ce pays, de se hisser au niveau, au diapason de cette responsabilitéhistorique. Nous n'avons pas droit à l'erreur, jecrois qu'ensemble, nous bâtirons cet avenir meilleur pourle peuple algérien", a-t-il expliqué lundi soir sur les ondesde Radio France internationale (RFI), rassurant qu'il yaura des élections "libres".Il a fait observer, que le présidentBouteflika a pris desdécisions "véritablement deportée historique", précisantque dès l'installation du nouveaugouvernement, "lapriorité sera d'ouvrir un largedialogue avec la jeunesse etavec les forces vives dupays". "Dès l'installation dunouveau gouvernement, lapriorité sera d'ouvrir un largedialogue avec la jeunesse etavec les forces vives dupays, pour que nous puissionsnous rassembler autour des décisions du président Bouteflika, et de préparer ensemble l'avenir avec ses grandes échéances et les grandes manifestations politiques ,avec la Conférence nationale qui doit être indépendante et inclusive et qui doit élaborer et adopter une nouvelle Constitution pour la deuxième République, pour un nouveau système politiquealgérien", a-t-il expliqué, affirmant que "c'est l'ouverture d'une ère nouvelle pour l'Algérie que le peuplealgérien ne peut que s'en féliciter". Pour le vice-Premier ministre, "il y a une nécessité de dialogue, d'explicationpour que nous puissions tous, sans arrière-pensée aucune, nous rassembler autour de cette feuille de route et bâtir ensemble l'Algérie de demain", soulignant qu'il est "résolument engagé" en faveur de "la réunification de nos rangs et de la réunion de toutes les conditions de la projection de l'Algérie dans l'avenir, en termes de démocratie, de développement, de cohésion, d'harmonie et de fraternité". Le système politique ne sera plus verrouillé Sur la participation des partis de l'opposition à la Conférence nationale, prévue dans la feuille de route, Lamamra a répondu que le gouvernement le souhaite "ardemment" et qu'il va "certainement interagir avec les uns et les autres", estimant que "l'Algérie a besoin des idées et des propositions de tous". Il a précisé que la Conférence nationale "inclusive et indépendante" sera "le cadre et le creuset dans lesquels naîtra la deuxième République, que nous appelons tous de tous nos voeux". Par ailleurs, il a assuré que le système politique issu de la Conférence nationale, "ne sera plus verrouillé comme avant", soutenant que "c'est l'ouverture qui est à l'ordre du jour, c'est véritablement le Consensus national, la réunion des Algériens et de leurs énergies, au service d'un avenir qualitativement meilleur". "C'est un nouvel ordre national, un nouveau système national autour d'une Constitution aussi démocratique que celles qui régissent la vie politique et institutionnelle des nations les plus démocratiques", a-t-il ajouté, indiquant que la Conférence nationale aura "toutes les prérogatives, tous les pouvoirs". "Mieux encore, a-t-il poursuivi, sa composition devrait pouvoir faire l'objet d'un consensus, c'est-à-dire, que les membres ne seront pas seulement ceux qui ont eu la chance d'être élus, mais il y aura de la place pour tout le monde, à commencer par les jeunes et les femmes". "Il appartient maintenantaux femmes, aux hommes et surtout aux jeunes de ce pays, de se hisser au niveau, au diapason de cette responsabilitéhistorique. Nous n'avons pas droit à l'erreur, jecrois qu'ensemble, nous bâtirons cet avenir meilleur pourle peuple algérien", a-t-il expliqué lundi soir sur les ondesde Radio France internationale (RFI), rassurant qu'il yaura des élections "libres".Il a fait observer, que le présidentBouteflika a pris desdécisions "véritablement deportée historique", précisantque dès l'installation du nouveaugouvernement, "lapriorité sera d'ouvrir un largedialogue avec la jeunesse etavec les forces vives dupays". "Dès l'installation dunouveau gouvernement, lapriorité sera d'ouvrir un largedialogue avec la jeunesse etavec les forces vives dupays, pour que nous puissionsnous rassembler autour des décisions du président Bouteflika, et de préparer ensemble l'avenir avec ses grandes échéances et les grandes manifestations politiques ,avec la Conférence nationale qui doit être indépendante et inclusive et qui doit élaborer et adopter une nouvelle Constitution pour la deuxième République, pour un nouveau système politiquealgérien", a-t-il expliqué, affirmant que "c'est l'ouverture d'une ère nouvelle pour l'Algérie que le peuplealgérien ne peut que s'en féliciter". Pour le vice-Premier ministre, "il y a une nécessité de dialogue, d'explicationpour que nous puissions tous, sans arrière-pensée aucune, nous rassembler autour de cette feuille de route et bâtir ensemble l'Algérie de demain", soulignant qu'il est "résolument engagé" en faveur de "la réunification de nos rangs et de la réunion de toutes les conditions de la projection de l'Algérie dans l'avenir, en termes de démocratie, de développement, de cohésion, d'harmonie et de fraternité". Le système politique ne sera plus verrouillé Sur la participation des partis de l'opposition à la Conférence nationale, prévue dans la feuille de route, Lamamra a répondu que le gouvernement le souhaite "ardemment" et qu'il va "certainement interagir avec les uns et les autres", estimant que "l'Algérie a besoin des idées et des propositions de tous". Il a précisé que la Conférence nationale "inclusive et indépendante" sera "le cadre et le creuset dans lesquels naîtra la deuxième République, que nous appelons tous de tous nos voeux". Par ailleurs, il a assuré que le système politique issu de la Conférence nationale, "ne sera plus verrouillé comme avant", soutenant que "c'est l'ouverture qui est à l'ordre du jour, c'est véritablement le Consensus national, la réunion des Algériens et de leurs énergies, au service d'un avenir qualitativement meilleur". "C'est un nouvel ordre national, un nouveau système national autour d'une Constitution aussi démocratique que celles qui régissent la vie politique et institutionnelle des nations les plus démocratiques", a-t-il ajouté, indiquant que la Conférence nationale aura "toutes les prérogatives, tous les pouvoirs". "Mieux encore, a-t-il poursuivi, sa composition devrait pouvoir faire l'objet d'un consensus, c'est-à-dire, que les membres ne seront pas seulement ceux qui ont eu la chance d'être élus, mais il y aura de la place pour tout le monde, à commencer par les jeunes et les femmes".