La candidature annoncée du président Bouteflika àl'élection présidentielle du 18avril prochain, n'est plus unesimple conjecture, ni unsouhait des partis de la l'alliance présidentielle. La candidature annoncée du président Bouteflika àl'élection présidentielle du 18avril prochain, n'est plus unesimple conjecture, ni unsouhait des partis de la l'alliance présidentielle. En effet,cette candidature est désormais officielle. C'est le présidentBouteflika qui l'a annoncée officiellement,via une lettre adressée aux Algérienset répercutée par les télescripteurs del'Agence d'information gouvernementaleAPS. Il n' ya plus de suspens donc, et leprésident Bouteflika briguera bel et bienun nouveau mandat, lui, qui en a déjàcumulé quatre depuis sa première électionen 1999. Dans cette lettre de 12.952signes ( à retouver en intégralité en page4 ), le désormais candidat Bouteflika ditrépondre positivement aux incessantsappels lui demandant de continuer sa missionà la tête de l'Etat. "Ce sont sansdoute, les avancées qu'a réalisées notrepays et la conscience des citoyens, desenjeux et difficultés qui le guettent, quiont amené, ces derniers mois, de nombreuses voix au sein de la classe politiqueet de la société civile, à encore me solliciterpour poursuivre ma mission au service de la patrie", dira le candidat Bouteflikadans sa missive. "Je voudrais exprimer,ici, ma profonde reconnaissance auxauteurs de ces appels, dont j'ai perçu lesattentes. Ils me rassurent que je n'ai pas déçu la majorité de notre peuple, même sije n'ai certainement pas concrétisé la totalité de mes engagements envers lui, niencore moins, satisfait toutes ses attenteset ses ambitions qui sont grandes" a-t-il encore ajouté. Mais Bouteflika, sans doute conscient desacerbes critiques de l'opposition en général, et de tous ceux qui considèrent que sa santé ne lui permet pas de briguer la plus haute marche du pouvoir, n'en a pas moins tenu à rassurer sue cette question, tout en reconnaissant qu'il n'a plus les forces physiques d'avant sa grave maladie. "Bien sûr, je n'ai plus les mêmes forces physiques qu'avant, chose que je n'ai jamais occultée à notre peuple, mais la volonté inébranlable de servir la Patrie, ne m'a jamais quitté et elle me permet de transcender les contraintes liées aux ennuis de santé auxquels chacun peut être un jour confronté". Après avoir dressé un bilan des plus reluisants sur ses 20 ans de pouvoiret énuméré les réalisations sur tous les plans, le candidat Bouteflika s'est par la suite, projeté sur l'après 18 avril, et ce qu'il compte faire si jamais, à l'évidence,les électeurs algériens lui accordent leurs suffrages. Il a ainsi annoncé l'organisation d'une conférence, dont l'objectif premier serait la concrétisation du consensus pour la réalisation de nombreuses reformes. Iln'a pas écarté non plus, dans ce contexte,une nouvelle révision constitutionnelle. "J'inviterai dès cette année, toutes les forces politiques, économiques et sociales de la Nation, à une Conférence nationaleconsacrée à la concrétisation du consensussur les réformes et les changements, quenotre pays devra engager, en vue d'aller plus loin dans la construction de son devenir et de permettre à nos concitoyens, de continuer à vivre ensemble, de mieux en mieux, dans la paix et la prospérité", a-t-il écrit. Et de préciser qu' "outre l'élaboration d'une plate-forme politique, économiqueet sociale, la Conférence nationalepourra aussi proposer un enrichissement profond de la Constitution, dans le respect de ses dispositions relatives aux constantes nationales, à l'identité nationale et au caractère démocratique et républicain de l'Etat". Il a enfin tendu la main,à l'ensemble des Algériens pour faire réussir cette conférence nationale. "J'appelle à faire prévaloir, tout ce qui ressemble sur cequi nous différencie les uns des autres, dansle respect du pluralisme des visions, etj'aspire à voir l'Algérie démocratique etpluraliste, s'unir davantage, avec force etavec efficacité, pour progresser encore plusdans la construction de son avenir", a-t-ilconclu dans sa lettre. En effet,cette candidature est désormais officielle. C'est le présidentBouteflika qui l'a annoncée officiellement,via une lettre adressée aux Algérienset répercutée par les télescripteurs del'Agence d'information gouvernementaleAPS. Il n' ya plus de suspens donc, et leprésident Bouteflika briguera bel et bienun nouveau mandat, lui, qui en a déjàcumulé quatre depuis sa première électionen 1999. Dans cette lettre de 12.952signes ( à retouver en intégralité en page4 ), le désormais candidat Bouteflika ditrépondre positivement aux incessantsappels lui demandant de continuer sa missionà la tête de l'Etat. "Ce sont sansdoute, les avancées qu'a réalisées notrepays et la conscience des citoyens, desenjeux et difficultés qui le guettent, quiont amené, ces derniers mois, de nombreuses voix au sein de la classe politiqueet de la société civile, à encore me solliciterpour poursuivre ma mission au service de la patrie", dira le candidat Bouteflikadans sa missive. "Je voudrais exprimer,ici, ma profonde reconnaissance auxauteurs de ces appels, dont j'ai perçu lesattentes. Ils me rassurent que je n'ai pas déçu la majorité de notre peuple, même sije n'ai certainement pas concrétisé la totalité de mes engagements envers lui, niencore moins, satisfait toutes ses attenteset ses ambitions qui sont grandes" a-t-il encore ajouté. Mais Bouteflika, sans doute conscient desacerbes critiques de l'opposition en général, et de tous ceux qui considèrent que sa santé ne lui permet pas de briguer la plus haute marche du pouvoir, n'en a pas moins tenu à rassurer sue cette question, tout en reconnaissant qu'il n'a plus les forces physiques d'avant sa grave maladie. "Bien sûr, je n'ai plus les mêmes forces physiques qu'avant, chose que je n'ai jamais occultée à notre peuple, mais la volonté inébranlable de servir la Patrie, ne m'a jamais quitté et elle me permet de transcender les contraintes liées aux ennuis de santé auxquels chacun peut être un jour confronté". Après avoir dressé un bilan des plus reluisants sur ses 20 ans de pouvoiret énuméré les réalisations sur tous les plans, le candidat Bouteflika s'est par la suite, projeté sur l'après 18 avril, et ce qu'il compte faire si jamais, à l'évidence,les électeurs algériens lui accordent leurs suffrages. Il a ainsi annoncé l'organisation d'une conférence, dont l'objectif premier serait la concrétisation du consensus pour la réalisation de nombreuses reformes. Iln'a pas écarté non plus, dans ce contexte,une nouvelle révision constitutionnelle. "J'inviterai dès cette année, toutes les forces politiques, économiques et sociales de la Nation, à une Conférence nationaleconsacrée à la concrétisation du consensussur les réformes et les changements, quenotre pays devra engager, en vue d'aller plus loin dans la construction de son devenir et de permettre à nos concitoyens, de continuer à vivre ensemble, de mieux en mieux, dans la paix et la prospérité", a-t-il écrit. Et de préciser qu' "outre l'élaboration d'une plate-forme politique, économiqueet sociale, la Conférence nationalepourra aussi proposer un enrichissement profond de la Constitution, dans le respect de ses dispositions relatives aux constantes nationales, à l'identité nationale et au caractère démocratique et républicain de l'Etat". Il a enfin tendu la main,à l'ensemble des Algériens pour faire réussir cette conférence nationale. "J'appelle à faire prévaloir, tout ce qui ressemble sur cequi nous différencie les uns des autres, dansle respect du pluralisme des visions, etj'aspire à voir l'Algérie démocratique etpluraliste, s'unir davantage, avec force etavec efficacité, pour progresser encore plusdans la construction de son avenir", a-t-ilconclu dans sa lettre.