L'annonce la veille, d'une démission prochaine d'Abdelaziz Bouteflika, a été reçuecomme un non-événement par la rue. Lesétudiants ont manifesté hier mardi, L'annonce la veille, d'une démission prochaine d'Abdelaziz Bouteflika, a été reçuecomme un non-événement par la rue. Lesétudiants ont manifesté hier mardi, pour lasixième semaine consécutive, prolongeantle mouvement populaire contre le chef del'Etat et son régime."Koulyoum Massira, Koulyoum Massira, maranach habsin", promettent-ils. Des milliers d'universitaires de différentes facultés de la capitale, ont entamé dès 13H, une marche entre la Grande Poste et la Place Audin, un circuit devenu habituel des manifestations àAlger centre. "Le peuple veut choisir son gouvernement de transition, et former son Assemblée constituante", peut-on lire sur une large banderole brandie par les étudiants de la faculté de Bouzareah, en tête de la marche cette fois-ci. La présidence de la République a annoncé avant-hier, que Abdelaziz Bouteflika démissionnera avant le 28 avril, date de la fin de son mandat, après plus de six semaines de manifestations historiques, demandant son départ ainsi que celui de son régime. "Ce qu'ils appellent un nouveau gouvernement, n'en est visiblement pas un. C'est encore une fois des personnes du même pouvoir. C'est une autre décision, pour tenter de calmer le mouvement, mais nous sommes-là, conscients et nous savons ce qui se passe", affirment, sur le même ton, les étudiants protestataires. pour lasixième semaine consécutive, prolongeantle mouvement populaire contre le chef del'Etat et son régime."Koulyoum Massira, Koulyoum Massira, maranach habsin", promettent-ils. Des milliers d'universitaires de différentes facultés de la capitale, ont entamé dès 13H, une marche entre la Grande Poste et la Place Audin, un circuit devenu habituel des manifestations àAlger centre. "Le peuple veut choisir son gouvernement de transition, et former son Assemblée constituante", peut-on lire sur une large banderole brandie par les étudiants de la faculté de Bouzareah, en tête de la marche cette fois-ci. La présidence de la République a annoncé avant-hier, que Abdelaziz Bouteflika démissionnera avant le 28 avril, date de la fin de son mandat, après plus de six semaines de manifestations historiques, demandant son départ ainsi que celui de son régime. "Ce qu'ils appellent un nouveau gouvernement, n'en est visiblement pas un. C'est encore une fois des personnes du même pouvoir. C'est une autre décision, pour tenter de calmer le mouvement, mais nous sommes-là, conscients et nous savons ce qui se passe", affirment, sur le même ton, les étudiants protestataires.