La question du transfert illégal de devises vers l'étranger fait grand bruit depuis ledébut du mouvement populaire. Plusieurshommes La question du transfert illégal de devises vers l'étranger fait grand bruit depuis ledébut du mouvement populaire. Plusieurshommes d'affaires sont cités par la voxpopuli comme étant à l'origine de ce crimecontre l'économie nationale. Mais certainshommes d'affaires et groupes économiquesont démentis ces accusations. C'est le casdu groupe Amor Benamor qui a, à traversun communiqué publié hier, apporté desprécisions sur cette question brûlante.Il a lancé un défi aux médias qui ont rapportéces informations d'avancer despreuves sur ces accusations qualifiées decalomnieuses. "Le groupe Benamorinforme l'opinion publique que la sociétéGeneral Food Company a été créé enSuisse pour commercialiser et diffuser les produits du groupe en Europe. Elle a payétoutes ses factures en devises à 100 %.Elle n'a pas vendu les produits et les équipementsdu groupe et nous sommes prêtsà publier toutes les données qui le prouvent",a précisé le groupe agroalimentaire.Le leader national dans la fabrication depâtes alimentaires a également apporté desprécisions sur le projet des boulangeries deCorso (Boumerdès). "Ce projet est né (en2013) d'un partenariat entre notre groupe et le groupe Eriad Alger. La société mixte (Mediterranean Mills Company) a bénéficié d'un crédit bancaire. Après la résiliation du contrat de partenariat pour des raisons juridiques comme cela a été expliqué par le directeur du groupe en son temps, le Groupe Omar Benamor a pris à sa charge le remboursement du crédit bancaire en subissant également beaucoup de pertes", a-t-il indiqué. Le groupe de Mohamed Laïd Benamor, qui assure défendre les principes d'honneur et les traditions d'honnêteté, dit être la cible d'une campagne organisée et "orientée vers les hommes d'affaires patriotes et producteurs" par des parties "dont l'identité sera dévoilée à l'opinion publique au moment opportun". "Le groupe, par respect des règles de transparence, est prêt à fournir à la presse nationale professionnelle toutes les informations qui démentent toutes ces accusations et se garde le droit de poursuivre pénalement auprès des juridictions spécialisées tous ceux qui portent atteinte à a réputation", a conclu le communiqué d'affaires sont cités par la voxpopuli comme étant à l'origine de ce crimecontre l'économie nationale. Mais certainshommes d'affaires et groupes économiquesont démentis ces accusations. C'est le casdu groupe Amor Benamor qui a, à traversun communiqué publié hier, apporté desprécisions sur cette question brûlante.Il a lancé un défi aux médias qui ont rapportéces informations d'avancer despreuves sur ces accusations qualifiées decalomnieuses. "Le groupe Benamorinforme l'opinion publique que la sociétéGeneral Food Company a été créé enSuisse pour commercialiser et diffuser les produits du groupe en Europe. Elle a payétoutes ses factures en devises à 100 %.Elle n'a pas vendu les produits et les équipementsdu groupe et nous sommes prêtsà publier toutes les données qui le prouvent",a précisé le groupe agroalimentaire.Le leader national dans la fabrication depâtes alimentaires a également apporté desprécisions sur le projet des boulangeries deCorso (Boumerdès). "Ce projet est né (en2013) d'un partenariat entre notre groupe et le groupe Eriad Alger. La société mixte (Mediterranean Mills Company) a bénéficié d'un crédit bancaire. Après la résiliation du contrat de partenariat pour des raisons juridiques comme cela a été expliqué par le directeur du groupe en son temps, le Groupe Omar Benamor a pris à sa charge le remboursement du crédit bancaire en subissant également beaucoup de pertes", a-t-il indiqué. Le groupe de Mohamed Laïd Benamor, qui assure défendre les principes d'honneur et les traditions d'honnêteté, dit être la cible d'une campagne organisée et "orientée vers les hommes d'affaires patriotes et producteurs" par des parties "dont l'identité sera dévoilée à l'opinion publique au moment opportun". "Le groupe, par respect des règles de transparence, est prêt à fournir à la presse nationale professionnelle toutes les informations qui démentent toutes ces accusations et se garde le droit de poursuivre pénalement auprès des juridictions spécialisées tous ceux qui portent atteinte à a réputation", a conclu le communiqué