Le Front des forces socialistes (FFS), secoué par une crise interne, tiendra une session extraordinaire de son Conseil national, le 4 mai prochain, a annoncé hier dimanche, Le Front des forces socialistes (FFS), secoué par une crise interne, tiendra une session extraordinaire de son Conseil national, le 4 mai prochain, a annoncé hier dimanche, le Premier secrétaire du parti, Hakim Belahcel, dans un communiqué. Cette annonce intervient au lendemain de l'appel lancé par M. Belahcel à l'ensemble des militants du parti, en vue de rejoindre leurs structures locales, pour participer à la préparation du 6e congrès ordinaire du parti, dans les "meilleures conditions", tout en réitérant son engagement à oeuvrer pour "le rassemblement de la famille du FFS, en tenant compte des orientations de l'Instance présidentielle". La parti est secoué par une violente dissidence. Vendredi dernier, Ali Laskri, membre de l'Instance présidentielle du parti, avait appelé à "l'apaisement" pour assurer un fonctionnement "normal" du parti, en vue de lui redonner sa place de première force politique d'opposition, après des incidents survenus jeudi au siège de cette formation. Le FFS est dirigé par une direction collégiale (Instance présidentielle), composée de cinq membres. Mais, suite aux graves dissensions internes, cette instance a volé en éclats. En effet, deux membres de l'instnace, Hayet Tayati et Sofiane Chioukh, affirment qu'ils sont les détenteurs de la légalité, alors que les trois autres membres, Ali Laskri, MohandAmokrane Cherifi et Brahim Brahimi, affirment le contraire. Ali Laskri a dans son dernier communiqué, rendu public vendredi, annoncé que Hayet Tayati a été exclue du parti, et n'a pas manqué de l'accuser de faire un travail fractionnaire. le Premier secrétaire du parti, Hakim Belahcel, dans un communiqué. Cette annonce intervient au lendemain de l'appel lancé par M. Belahcel à l'ensemble des militants du parti, en vue de rejoindre leurs structures locales, pour participer à la préparation du 6e congrès ordinaire du parti, dans les "meilleures conditions", tout en réitérant son engagement à oeuvrer pour "le rassemblement de la famille du FFS, en tenant compte des orientations de l'Instance présidentielle". La parti est secoué par une violente dissidence. Vendredi dernier, Ali Laskri, membre de l'Instance présidentielle du parti, avait appelé à "l'apaisement" pour assurer un fonctionnement "normal" du parti, en vue de lui redonner sa place de première force politique d'opposition, après des incidents survenus jeudi au siège de cette formation. Le FFS est dirigé par une direction collégiale (Instance présidentielle), composée de cinq membres. Mais, suite aux graves dissensions internes, cette instance a volé en éclats. En effet, deux membres de l'instnace, Hayet Tayati et Sofiane Chioukh, affirment qu'ils sont les détenteurs de la légalité, alors que les trois autres membres, Ali Laskri, MohandAmokrane Cherifi et Brahim Brahimi, affirment le contraire. Ali Laskri a dans son dernier communiqué, rendu public vendredi, annoncé que Hayet Tayati a été exclue du parti, et n'a pas manqué de l'accuser de faire un travail fractionnaire.