CSelon l'accord adopté mardi 23 avril au Soudan entre les protestataires et le Conseilmilitaire pour livrer le pouvoir aux civils, des éléments militaires devraient siéger au sein du gouvernement transitoire. CSelon l'accord adopté mardi 23 avril au Soudan entre les protestataires et le Conseilmilitaire pour livrer le pouvoir aux civils, des éléments militaires devraient siéger au sein du gouvernement transitoire. Uncomité conjoint a été formé en remplacementdu comité militaire afin de résoudreles derniers blocages. Mais aucune information ne filtre de par ou d'autre sur lespoints toujours en suspens. Certains analystesvoient dans les dernières déclarationsdu Conseil militaire, concernant savolonté affichée de garder les ministèresrégaliens, un recul par rapport à l'accord demardi. Othmane Mirghani, le rédacteur en chef duquotidien Al-Akhbar, reproche aux deux partis de n'avoir pas clarifié leurs divergences."La rue a le droit de savoir, écrit lejournaliste, qui demande : S'agira-t-il d'unfutur conseil civil complet ou bien d'unconseil militaire d'apparence civile ?" Enréalité, les forces de l'opposition craignentune mainmise des militaires sur l'exécutif.Les relations intimes que le Conseil militaireentretient avec l'axe Egypte, Arabiesaoudite et les Emirats inquiètent égalementles protestataires. Ils ne veulent surtoutpas de l'intervention des pays du Golfedans leurs affaires nationales. De son côté,Sadiq al-Mahdi, le chef du parti Oumma, amis en garde contre un coup d'Etat que les agents de Omar el-Béchir pourrons mener en cas de non-accord entre le Conseil militaireet les opposants. ontenu Uncomité conjoint a été formé en remplacementdu comité militaire afin de résoudreles derniers blocages. Mais aucune information ne filtre de par ou d'autre sur lespoints toujours en suspens. Certains analystesvoient dans les dernières déclarationsdu Conseil militaire, concernant savolonté affichée de garder les ministèresrégaliens, un recul par rapport à l'accord demardi. Othmane Mirghani, le rédacteur en chef duquotidien Al-Akhbar, reproche aux deux partis de n'avoir pas clarifié leurs divergences."La rue a le droit de savoir, écrit lejournaliste, qui demande : S'agira-t-il d'unfutur conseil civil complet ou bien d'unconseil militaire d'apparence civile ?" Enréalité, les forces de l'opposition craignentune mainmise des militaires sur l'exécutif.Les relations intimes que le Conseil militaireentretient avec l'axe Egypte, Arabiesaoudite et les Emirats inquiètent égalementles protestataires. Ils ne veulent surtoutpas de l'intervention des pays du Golfedans leurs affaires nationales. De son côté,Sadiq al-Mahdi, le chef du parti Oumma, amis en garde contre un coup d'Etat que les agents de Omar el-Béchir pourrons mener en cas de non-accord entre le Conseil militaireet les opposants. ontenu