Une fois encore, les étudiants étaient au rendez-vous.Malgré le Ramadhan, ils ont tenu à manifester comme ils le font tous les mardis, depuis le début du mouvementpopulaire le 22 février dernier. Une fois encore, les étudiants étaient au rendez-vous.Malgré le Ramadhan, ils ont tenu à manifester comme ils le font tous les mardis, depuis le début du mouvementpopulaire le 22 février dernier. Dans toutes les villes du pays, des milliers d'étudiants ont organisé desmarches comme pour confirmer leurdétermination à rester mobilisés, jusqu'à laréalisation de leurs revendications pour lechangement radical et le départ de tous lessymboles du régime.D'ailleurs, à Alger et partout ailleurs, lechef de l'Etat, Abdelkader Bensalah notamment,a été prié de partir. "Bernsalahdégage", ont notamment scandé les manifestants.Ainsi, les étudiants ont marché dela place Audin à la Grande Poste. Ils n'ontpu passer par le tunnel des facultés, dontl'accès a été interdit par un imposant dispositifde sécurité. Cela est le cas depuisquelques temps déjà, et même les manifestantsdu vendredi n'y ont pas accès. Lesétudiants ont brandi des Drapeaux algériens,dans une ambiance toujours aussifestive et aussi conviviale. "Les étudiantsdisent au système dégage!", "les étudiants sont avec le Hirak", " On a dit, ils doiventpartir tous, ils doivent partir!", scandentils tout en brandissant des pancartes, surlesquelles sont brocardés les figures de la"Issaba" (bande). Sur une large banderole portée en rideaupar un groupe d'étudiants, on peut aussi lire "pour un homme consensuel, pourdiriger la transition", en écho à la revendicationportée par des figures du Hirak, et une partie de la classe politique. "Tant que les principales revendications du Hirak ne sont pas satisfaites, nous continuerons demanifester", disaient, à l ‘unisson, lesétudiants protestataires. Les étudiants sesont dispersés dans le calme, à partir de 13h. Dans les autres villes du pays, les étudiants ont aussi manifesté. A Oran, Bejaia, Tizi-Ouzou, Annaba, Mostaganem ….. c'étaient les mêmes images. "Système dégage", "Makache intekhabat y a issaabat (pas d'élections,bandes !)", "Djazaïr hora dimokratia(Algérie libre et démocratique)", sontquelques slogans scandés à tue-tête par les manifestants Dans toutes les villes du pays, des milliers d'étudiants ont organisé desmarches comme pour confirmer leurdétermination à rester mobilisés, jusqu'à laréalisation de leurs revendications pour lechangement radical et le départ de tous lessymboles du régime.D'ailleurs, à Alger et partout ailleurs, lechef de l'Etat, Abdelkader Bensalah notamment,a été prié de partir. "Bernsalahdégage", ont notamment scandé les manifestants.Ainsi, les étudiants ont marché dela place Audin à la Grande Poste. Ils n'ontpu passer par le tunnel des facultés, dontl'accès a été interdit par un imposant dispositifde sécurité. Cela est le cas depuisquelques temps déjà, et même les manifestantsdu vendredi n'y ont pas accès. Lesétudiants ont brandi des Drapeaux algériens,dans une ambiance toujours aussifestive et aussi conviviale. "Les étudiantsdisent au système dégage!", "les étudiants sont avec le Hirak", " On a dit, ils doiventpartir tous, ils doivent partir!", scandentils tout en brandissant des pancartes, surlesquelles sont brocardés les figures de la"Issaba" (bande). Sur une large banderole portée en rideaupar un groupe d'étudiants, on peut aussi lire "pour un homme consensuel, pourdiriger la transition", en écho à la revendicationportée par des figures du Hirak, et une partie de la classe politique. "Tant que les principales revendications du Hirak ne sont pas satisfaites, nous continuerons demanifester", disaient, à l ‘unisson, lesétudiants protestataires. Les étudiants sesont dispersés dans le calme, à partir de 13h. Dans les autres villes du pays, les étudiants ont aussi manifesté. A Oran, Bejaia, Tizi-Ouzou, Annaba, Mostaganem ….. c'étaient les mêmes images. "Système dégage", "Makache intekhabat y a issaabat (pas d'élections,bandes !)", "Djazaïr hora dimokratia(Algérie libre et démocratique)", sontquelques slogans scandés à tue-tête par les manifestants