Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tayeb Bouzid a écarté, jeudi àAlger, l'éventualitéde décréter une année blanche pourl'année universitaire actuelle, assurantque les cours n'ayant pas été dispensésen raison de la grève au niveau des universitésseront rattrapés. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tayeb Bouzid a écarté, jeudi àAlger, l'éventualitéde décréter une année blanche pourl'année universitaire actuelle, assurantque les cours n'ayant pas été dispensésen raison de la grève au niveau des universitésseront rattrapés. Lors d'une conférence de presse animée, à l'issuede l'ouverture de la conférence nationaledes universités, le ministre a affirmé qu'"il n'y a pas lieu de parler d'uneannée blanche, vu que les cours ont été dispensés normalement durant le premiersemestre", ajoutant que le retardpédagogique sera, néanmoins, rattrapé,à la faveur d'une série de mesures quiferont l'objet d'examen au niveau desétablissements universitaires".Plusieurs solutions ont été définies parle secteur pour "rattraper les écartsenregistrées dans les activités pédagogiques,et ce afin de préserver la crédibilité de la formation, d'autant que l'écart n'existe pas uniquement entre les différentes universités, mais au sein d'un même établissement, entre spécialités, classes ou facultés". Pour remédier à cette situation, "il est de notredevoir à tous, enseignants-chercheurs, étudiants, fonctionnaires et responsables d'oeuvrer à protéger l'universitéalgérienne contre tout risque de dérapagespouvant compromettre le processuspédagogique de l'étudiant, et decontrer toute tentative visant à porteratteinte à la crédibilité du diplôme del'Enseignement supérieur et à la réputationde l'université". Le ministre aappelé les directeurs des établissementsuniversitaires, des centres et agences de la recherche scientifique, à "la nécessitéde s'engager à l'adoption du dialoguecomme méthode et de la concertationcomme moyen, en vue de trouver les solutions idoines à même de prendre encharge les impacts induits par les circonstances exceptionnelles que vit lesystème universitaire". Il a égalementexhorté les mêmes responsables à "rattraperle temps pédagogique perdu, àtravers leurs initiatives dans le cadre deplans et programmes adoptés, enconcertation avec toutes les composantesde la corporation universitaire, tout en prenant en compte les contrastesenregistrés". Après avoir émis le voeude voire les étudiants rejoindre les bancsdes universités, M. Bouzid a indiquéq u e "bien que le large mouvement populaire que vit le pays ait impacté le déroulementordinaire et régulier des activitéspédagogiques et scientifiques dans laplupart des établissements universitairesqui ont connu une série de dysfonctionnementset de tensions, il n'endemeure pas moins que le hirak a révéléla force, l'efficacité et la contribution dela corporation universitaire et scientifiquedans la dynamique du sursaut nationale que connaît la société".Enfin, le ministre a fait part de sa confiance en "la corporation universitaireet scientifique qui fait preuve d'espritde responsabilité, de sagesse et de clairvoyance et qui saura commentdépasser les difficultés conjoncturellesenregistrées et trouver les solutions innovantes, en vue de prendre en charge les préoccupations soulevées, à même de prendre en compte l'intérêt de l'étudiant et d'être au service de l'université." Lors d'une conférence de presse animée, à l'issuede l'ouverture de la conférence nationaledes universités, le ministre a affirmé qu'"il n'y a pas lieu de parler d'uneannée blanche, vu que les cours ont été dispensés normalement durant le premiersemestre", ajoutant que le retardpédagogique sera, néanmoins, rattrapé,à la faveur d'une série de mesures quiferont l'objet d'examen au niveau desétablissements universitaires".Plusieurs solutions ont été définies parle secteur pour "rattraper les écartsenregistrées dans les activités pédagogiques,et ce afin de préserver la crédibilité de la formation, d'autant que l'écart n'existe pas uniquement entre les différentes universités, mais au sein d'un même établissement, entre spécialités, classes ou facultés". Pour remédier à cette situation, "il est de notredevoir à tous, enseignants-chercheurs, étudiants, fonctionnaires et responsables d'oeuvrer à protéger l'universitéalgérienne contre tout risque de dérapagespouvant compromettre le processuspédagogique de l'étudiant, et decontrer toute tentative visant à porteratteinte à la crédibilité du diplôme del'Enseignement supérieur et à la réputationde l'université". Le ministre aappelé les directeurs des établissementsuniversitaires, des centres et agences de la recherche scientifique, à "la nécessitéde s'engager à l'adoption du dialoguecomme méthode et de la concertationcomme moyen, en vue de trouver les solutions idoines à même de prendre encharge les impacts induits par les circonstances exceptionnelles que vit lesystème universitaire". Il a égalementexhorté les mêmes responsables à "rattraperle temps pédagogique perdu, àtravers leurs initiatives dans le cadre deplans et programmes adoptés, enconcertation avec toutes les composantesde la corporation universitaire, tout en prenant en compte les contrastesenregistrés". Après avoir émis le voeude voire les étudiants rejoindre les bancsdes universités, M. Bouzid a indiquéq u e "bien que le large mouvement populaire que vit le pays ait impacté le déroulementordinaire et régulier des activitéspédagogiques et scientifiques dans laplupart des établissements universitairesqui ont connu une série de dysfonctionnementset de tensions, il n'endemeure pas moins que le hirak a révéléla force, l'efficacité et la contribution dela corporation universitaire et scientifiquedans la dynamique du sursaut nationale que connaît la société".Enfin, le ministre a fait part de sa confiance en "la corporation universitaireet scientifique qui fait preuve d'espritde responsabilité, de sagesse et de clairvoyance et qui saura commentdépasser les difficultés conjoncturellesenregistrées et trouver les solutions innovantes, en vue de prendre en charge les préoccupations soulevées, à même de prendre en compte l'intérêt de l'étudiant et d'être au service de l'université."