Les jours de Mouad Bouchareb à la présidence de l'APN sont certainementcomptés. Son parti, le FLN, l'appelledésormais ouvertement, Les jours de Mouad Bouchareb à la présidence de l'APN sont certainementcomptés. Son parti, le FLN, l'appelledésormais ouvertement, à démissionnerde l‘Assemblée. En effet, c‘est sonsecrétaire général, Mohamed Djemai,qui est entré en scène ce jeudi, apportantson soutien à de nombreux députés quisouhaitent faire subir à MouadBouchareb, le même sort que celuiréservé à Said Bouhadja. "J‘appelleBouchareb à mettre l‘intérêt du pays etdu peuple, au dessus de toute considérationen ayant le courage requis, pourdémissionner de son poste de présidentde l‘APN, sachant que nous souhaitonsque les choses se fassent d‘une manièrecivilisée", a lancé M. Djemai, lors d‘unpoint de presse à l‘hôtel Golden Tulip àOued Smar, dans la banlieue sud d‘Alger et ce, à l‘issue d‘une réunion avec legroupe parlementaire du FLN à l‘APN.Le 24 octobre dernier, Moad Bouchareba été installé à la tête de l‘APN, après un putsch contre Said Bouhadja, le présidentélu de la chambre basse duParlement. Par ailleurs, Djemai a vigoureusementdénoncé "ceux qui veulentpervertir le caractère pacifique du mouvementpopulaire". "L‘Algérie est ciblée tout comme son peuple, que certains veulentdévier de son pacifisme et créer la zizanie et les divergences en son sein", at-il accusé, tout en fustigeant ceux "quitentent d‘atteindre l‘ANP, dans des campagneshystériques à travers des chainesde télévision". Le patron du FLN défend l‘idée d‘une sortie de crise, dans le cadreconstitutionnel. "Nous appelons à une sortie de crise dans un cadre constitutionnelet dénonçons les aventuriers quiprônent des solutions, en dehors de la loifondamentale", a-t-il dit. Sur les affairesde corruption, il a appelé à ce que "lajustice fasse son travail dans la sérénité la plus totale, sans pressions et sans téléphone",avant de plaider "en faveur d‘une justice indépendante, où le jugen‘obéit qu‘à sa seule conscience et à laloi". à démissionnerde l‘Assemblée. En effet, c‘est sonsecrétaire général, Mohamed Djemai,qui est entré en scène ce jeudi, apportantson soutien à de nombreux députés quisouhaitent faire subir à MouadBouchareb, le même sort que celuiréservé à Said Bouhadja. "J‘appelleBouchareb à mettre l‘intérêt du pays etdu peuple, au dessus de toute considérationen ayant le courage requis, pourdémissionner de son poste de présidentde l‘APN, sachant que nous souhaitonsque les choses se fassent d‘une manièrecivilisée", a lancé M. Djemai, lors d‘unpoint de presse à l‘hôtel Golden Tulip àOued Smar, dans la banlieue sud d‘Alger et ce, à l‘issue d‘une réunion avec legroupe parlementaire du FLN à l‘APN.Le 24 octobre dernier, Moad Bouchareba été installé à la tête de l‘APN, après un putsch contre Said Bouhadja, le présidentélu de la chambre basse duParlement. Par ailleurs, Djemai a vigoureusementdénoncé "ceux qui veulentpervertir le caractère pacifique du mouvementpopulaire". "L‘Algérie est ciblée tout comme son peuple, que certains veulentdévier de son pacifisme et créer la zizanie et les divergences en son sein", at-il accusé, tout en fustigeant ceux "quitentent d‘atteindre l‘ANP, dans des campagneshystériques à travers des chainesde télévision". Le patron du FLN défend l‘idée d‘une sortie de crise, dans le cadreconstitutionnel. "Nous appelons à une sortie de crise dans un cadre constitutionnelet dénonçons les aventuriers quiprônent des solutions, en dehors de la loifondamentale", a-t-il dit. Sur les affairesde corruption, il a appelé à ce que "lajustice fasse son travail dans la sérénité la plus totale, sans pressions et sans téléphone",avant de plaider "en faveur d‘une justice indépendante, où le jugen‘obéit qu‘à sa seule conscience et à laloi".