Dans une déclaration commune, 10 partis politiques (le PT, FFS, JIL Jadid, PLJ,UCP, PST, RCD, PNSD, MDS etPLD) ont exigé la libération -immédiate et sans condition -de la présidente du Parti destravailleurs, Louisa Hanoune. Dans une déclaration commune, 10 partis politiques (le PT, FFS, JIL Jadid, PLJ,UCP, PST, RCD, PNSD, MDS etPLD) ont exigé la libération -immédiate et sans condition -de la présidente du Parti destravailleurs, Louisa Hanoune. Nous, "responsables des partis politiques nous nous adressons auxtenants du pouvoir pour exiger lalibération immédiate et sans condition deLouisa Hanoune. Ne pas prendre une tellemesure inaugurerait mal des développementsà venir en Algérie", ont déclaré lespartis dans une déclaration commune diffuséehier mercredi. "Nous rejetons toutesolution de force. Nous exigeons le respectdes libertés démocratiques et donc la libérationde Louisa Hanoune", revendiquent les 10 partis signataires de la déclaration. "Rien ne peut justifier le maintien en détention de Louisa Hanoune, responsable d'un parti politique. Le motif principalinvoqué de son incarcération est celui devouloir - changer le régime-. Changer lerégime, c'est également notre position commune et c'est celle de l'écrasantemajorité du peuple algérien. L'incarcération de Louisa Hanoune estdonc un avertissement et une menace pour tous ceux, responsables politiques ou citoyens, qui réclament le changement derégime", jugent les signataires de la déclaration. Les dix partis signataires ont égalementévoqué le décès du militant desdroits humains Kamel-Eddine Fekhar, survenu mardi 28 mai "le Dr Kamel- Eddine Fekhar, militant des droits de l'Homme est décédé après une grève de la faim de 50 jours, malgré les alertes incessantes de ses avocats et de sa famille surla détérioration de son état de santé, lespouvoirs publics l'ont laissé mourir. Ilsportent donc l'entière responsabilité de samort", accusent les partis qui appuient "lademande d'une enquête indépendante surles circonstances de cette tragique disparition",réclament les partis.La secrétaire général du PT, qui est estaccusée de "complot contre l'armée et decomplot contre l'Etat", est placée endétention dans le' cadre de l'affaire desgénéraux Toufik, et Tartag et de l'ancien conseiller et frère du Président démissionnaire,Saïd Bouteflika. Nous, "responsables des partis politiques nous nous adressons auxtenants du pouvoir pour exiger lalibération immédiate et sans condition deLouisa Hanoune. Ne pas prendre une tellemesure inaugurerait mal des développementsà venir en Algérie", ont déclaré lespartis dans une déclaration commune diffuséehier mercredi. "Nous rejetons toutesolution de force. Nous exigeons le respectdes libertés démocratiques et donc la libérationde Louisa Hanoune", revendiquent les 10 partis signataires de la déclaration. "Rien ne peut justifier le maintien en détention de Louisa Hanoune, responsable d'un parti politique. Le motif principalinvoqué de son incarcération est celui devouloir - changer le régime-. Changer lerégime, c'est également notre position commune et c'est celle de l'écrasantemajorité du peuple algérien. L'incarcération de Louisa Hanoune estdonc un avertissement et une menace pour tous ceux, responsables politiques ou citoyens, qui réclament le changement derégime", jugent les signataires de la déclaration. Les dix partis signataires ont égalementévoqué le décès du militant desdroits humains Kamel-Eddine Fekhar, survenu mardi 28 mai "le Dr Kamel- Eddine Fekhar, militant des droits de l'Homme est décédé après une grève de la faim de 50 jours, malgré les alertes incessantes de ses avocats et de sa famille surla détérioration de son état de santé, lespouvoirs publics l'ont laissé mourir. Ilsportent donc l'entière responsabilité de samort", accusent les partis qui appuient "lademande d'une enquête indépendante surles circonstances de cette tragique disparition",réclament les partis.La secrétaire général du PT, qui est estaccusée de "complot contre l'armée et decomplot contre l'Etat", est placée endétention dans le' cadre de l'affaire desgénéraux Toufik, et Tartag et de l'ancien conseiller et frère du Président démissionnaire,Saïd Bouteflika.