Les acteurs de la société civile, réunis hier à Alger en conférence nationale, ontappelé à l'accélération de latransition démocratique fluideconformément à un processusélectoral concrétisant "la rupture" et garantissant l'édification d'institutionscrédibles. Les acteurs de la société civile, réunis hier à Alger en conférence nationale, ontappelé à l'accélération de latransition démocratique fluideconformément à un processusélectoral concrétisant "la rupture" et garantissant l'édification d'institutionscrédibles. ContenuL'initiative annoncée, lors de cette conférence réunissant trois dynamiques,à savoir la Confédération dessyndicats autonomes, le Forum civil pour lechangement et le Collectif de la société civile qui compte plusieurs associations et organisationsde droits de l'Homme, met en avant lanécessité de "l'accélération de la transitiondémocratique fluide conformément à un processus électoral concrétisant la rupture avecles systèmes de tyrannie et de corruption etgarantissant l'édification d'institutions légitimeset crédibles".Les acteurs de la société civile, réunis hier àAlger en conférence nationale, ont appelé àl'accélération de la transition démocratique fluide conformément à un processus électoralconcrétisant "la rupture" et garantissant l'édificationd'institutions crédibles. Une transition de 6 mois à un an, une instanceprésidentielle ou une personnalité de consensusnational et un gouvernement de compétencesnationales sont au coeur des propositionsde sortie de crise contenues dans la feuille deroute consensuelle adoptée par la conférencenationale des dynamiques de la société civile. Réunis au siège du Cnapeste hier, les participantsà ladite conférence ont adopté une feuillede route couronnant quatre mois de réunionsmarathoniennes. L'initiative ne se limite pas à avancer une durée pour la transition et qui la dirigera, elle propose aussi l'installation d'une commission indépendante pour "diriger, organiser et déclarer les résultats des élections, tout en garantissant les mécanismes de contrôle." La conférence nationale des dynamiques de lasociété civile préconise également l'ouvertured'un "dialogue national global avec lesacteurs de la classe politique, de la société civile, des personnalités nationales et des activistes du soulèvement, portant sur la situation politique, économique et sociale du pays et les moyens de sortie de crise." Ce dialogue, explique-t-on encore, sera parachevé par une conférence nationale. La feuille de route souligne, dans ce sillage, "la nécessité de réunir les conditions indispensables à l'amorce d'une transition réelle notamment le temps et les mesures d'ouverture qui permette une rupture réelle avec le système dictatorial et corrompu et garantisse la construction d'institutions légitimes et crédibles." Pour les initiateurs de cette feuille de route, "la réussite de ce processus politique implique la préparation d'un climat général favorable à lapratique des droits, des libertés collectives etindividuelles, des droits de l'Homme. Pour se faire, des mesures d'accompagnement de l'action politique doivent être prises pour rétablirla confiance au sein des citoyens et garantir leur participation effective dans ce processus national historique". La société civile a exhorté, à ce propos, l'ensembledes forces agissantes à adhérer à son initiative et à oeuvrer à sa concrétisation et à sa réussite, affirmant que "l'aboutissement du processus électoral requiert la préparationd'un climat général pour l'exercice des droits et des libertés individuels et collectifs et le respect des droits de l'Homme à travers desmesures d'accompagnement du processus politiqueafin d'instaurer la confiance des citoyenset garantir une adhésion effective à ce processus". Les travaux de la Conférence de la société civile se sont poursuivis avec l'intervention denombre de représentants de syndicats, d'associationset d'organisations nationales, qui ont"valorisé" l'initiative politique proposée etsouligné unanimement que cette rencontre était "un acquis historique". Cette initiative devrait être soumise à la classe politique et à des personnalités nationales lorsd'une autre rencontre. ContenuL'initiative annoncée, lors de cette conférence réunissant trois dynamiques,à savoir la Confédération dessyndicats autonomes, le Forum civil pour lechangement et le Collectif de la société civile qui compte plusieurs associations et organisationsde droits de l'Homme, met en avant lanécessité de "l'accélération de la transitiondémocratique fluide conformément à un processus électoral concrétisant la rupture avecles systèmes de tyrannie et de corruption etgarantissant l'édification d'institutions légitimeset crédibles".Les acteurs de la société civile, réunis hier àAlger en conférence nationale, ont appelé àl'accélération de la transition démocratique fluide conformément à un processus électoralconcrétisant "la rupture" et garantissant l'édificationd'institutions crédibles. Une transition de 6 mois à un an, une instanceprésidentielle ou une personnalité de consensusnational et un gouvernement de compétencesnationales sont au coeur des propositionsde sortie de crise contenues dans la feuille deroute consensuelle adoptée par la conférencenationale des dynamiques de la société civile. Réunis au siège du Cnapeste hier, les participantsà ladite conférence ont adopté une feuillede route couronnant quatre mois de réunionsmarathoniennes. L'initiative ne se limite pas à avancer une durée pour la transition et qui la dirigera, elle propose aussi l'installation d'une commission indépendante pour "diriger, organiser et déclarer les résultats des élections, tout en garantissant les mécanismes de contrôle." La conférence nationale des dynamiques de lasociété civile préconise également l'ouvertured'un "dialogue national global avec lesacteurs de la classe politique, de la société civile, des personnalités nationales et des activistes du soulèvement, portant sur la situation politique, économique et sociale du pays et les moyens de sortie de crise." Ce dialogue, explique-t-on encore, sera parachevé par une conférence nationale. La feuille de route souligne, dans ce sillage, "la nécessité de réunir les conditions indispensables à l'amorce d'une transition réelle notamment le temps et les mesures d'ouverture qui permette une rupture réelle avec le système dictatorial et corrompu et garantisse la construction d'institutions légitimes et crédibles." Pour les initiateurs de cette feuille de route, "la réussite de ce processus politique implique la préparation d'un climat général favorable à lapratique des droits, des libertés collectives etindividuelles, des droits de l'Homme. Pour se faire, des mesures d'accompagnement de l'action politique doivent être prises pour rétablirla confiance au sein des citoyens et garantir leur participation effective dans ce processus national historique". La société civile a exhorté, à ce propos, l'ensembledes forces agissantes à adhérer à son initiative et à oeuvrer à sa concrétisation et à sa réussite, affirmant que "l'aboutissement du processus électoral requiert la préparationd'un climat général pour l'exercice des droits et des libertés individuels et collectifs et le respect des droits de l'Homme à travers desmesures d'accompagnement du processus politiqueafin d'instaurer la confiance des citoyenset garantir une adhésion effective à ce processus". Les travaux de la Conférence de la société civile se sont poursuivis avec l'intervention denombre de représentants de syndicats, d'associationset d'organisations nationales, qui ont"valorisé" l'initiative politique proposée etsouligné unanimement que cette rencontre était "un acquis historique". Cette initiative devrait être soumise à la classe politique et à des personnalités nationales lorsd'une autre rencontre.