La commission des Affaires juridiques et administratives de l'APN a entaméhier la procédure de levée de l'immunitéparlementaire contre le députéFLN et ex-ministre du TransportBoudjemaâ Talai, selon des sourcesparlementaires. La commission des Affaires juridiques et administratives de l'APN a entaméhier la procédure de levée de l'immunitéparlementaire contre le députéFLN et ex-ministre du TransportBoudjemaâ Talai, selon des sourcesparlementaires. Cette procédure entamée à la demandedes autorités judiciaires permettra l'engagementdes poursuites contre cetancien ministre dont le nom fait partiede la liste d'ex-membres du gouvernementimpliqués dans les affaires de corruption. Pour rappel, la levée de l'immunité parlementaire est une procédure chronophage qui dure plusieurs mois, mais ledéputé concerné peut, de son proprechef, renoncer à son immunité pour se mettre à la disposition de la justice etéviter ainsi l'humiliation d'un vote secret à la plénière de l'APN. Deux sénateurs, Saïd Barkat et DjamelOuld Abbès sur lesquels pèsent des présomptionsde corruption, au moment où ils étaient à la tête du ministère de laSolidarité et de la Famille, ont renoncé à leur immunité.Amar Ghoul, sénateur dans le tiers présidentielet ancien ministre dont le nomest lié au scandale de l'autoroute Est-Ouest est visé par la même procédure.Fera-t-il la même chose que ces deuxcollègues Ould Abbès et Barkat oujouera-t-il la montre, en espérant que latempête judiciaire qui s'abat sur lesanciens responsables politiques passe ? Cette procédure entamée à la demandedes autorités judiciaires permettra l'engagementdes poursuites contre cetancien ministre dont le nom fait partiede la liste d'ex-membres du gouvernementimpliqués dans les affaires de corruption. Pour rappel, la levée de l'immunité parlementaire est une procédure chronophage qui dure plusieurs mois, mais ledéputé concerné peut, de son proprechef, renoncer à son immunité pour se mettre à la disposition de la justice etéviter ainsi l'humiliation d'un vote secret à la plénière de l'APN. Deux sénateurs, Saïd Barkat et DjamelOuld Abbès sur lesquels pèsent des présomptionsde corruption, au moment où ils étaient à la tête du ministère de laSolidarité et de la Famille, ont renoncé à leur immunité.Amar Ghoul, sénateur dans le tiers présidentielet ancien ministre dont le nomest lié au scandale de l'autoroute Est-Ouest est visé par la même procédure.Fera-t-il la même chose que ces deuxcollègues Ould Abbès et Barkat oujouera-t-il la montre, en espérant que latempête judiciaire qui s'abat sur lesanciens responsables politiques passe ?