Au 2e jour de sa visite à la 3e région militaire à Béchar,Ahmed Gaïd Salah s'est denouveau exprimé sur la crisepolitique que vit le pays,insistant sur la nécessitéd'une solution quiconjuguerait entre lesdispositions constitutionnelleset les revendications populaires portées par leMouvement citoyen. Au 2e jour de sa visite à la 3e région militaire à Béchar,Ahmed Gaïd Salah s'est denouveau exprimé sur la crisepolitique que vit le pays,insistant sur la nécessitéd'une solution quiconjuguerait entre lesdispositions constitutionnelleset les revendications populaires portées par leMouvement citoyen. Ahmed Gaïd Salah considère en effet que les deux propositions ne sontpas antinomiques. Croient-ils "qu'il existe une contradictionou bien un écart entre ce à quoi tendentles dispositions de la Constitution dansleurs véritables dimensions et ce à quoiappelle le peuple algérien dans sesmarches successives", s'interroge le chef d'état-major en mettant à l'index la partie de la classe politique qui a une autre approche de la crise et de la manière d'en sortir. Le peuple qui a plébiscité sa Constitution est le plus apte à préserver laloi fondamentale de son pays et ses dispositionset à s'y conformer. Aussi, "il estimpensable de procéder au nom du peuple,à la destruction de la réalisation du peuple algérien, qui est la loi fondamentale, soit la Constitution"."Ceux qui prétendent, par ignorance ou arrogance et entêtement, ou animés pardes intentions aux objectifs ambigus, ouiambigus, que le pouvoir du peuple est audessusde la Constitution et au-dessus detous - et c'est une vérité utilisée à tort -car ils tentent sciemment d'outrepasser,voire geler, l'application des dispositionsde la Constitution, réalisent-ils que cela signifie la suppression de toutes les institutions de l'Etat et s'engouffrer dans un tunnel obscur dénommé le vide constitutionnel ? Ce qui signifie par conséquent la destruction des fondements de l'Etat national algérien et penser à construire un autre Etat avec d'autres standards, d'autres idées et d'autres projets idéologiques, auxquels seront consacrés des débats sans fin. Est ce leur objectif ? L'Algérie n'est pas un jeu de hasard entre les mains de n'importe qui, ni une proiefacile pour les amateurs d'aventurisme. Elle est le produit des sacrifices d'une révolution glorieuse, dénommée le 1er Novembre 1954, qui a besoin de tous ses fidèles enfants, je dis bien tous ses fidèles enfants, pour faire preuve de grande sagesse, de clairvoyance et de rationalité, et de plus de pondération et de perspicacité,car la Constitution algérienne est le giron du peuple et son rempart imprenable;elle est le fédérateur des composantesde son identité nationale et des solides constantes qui n'ont nul besoin de quelque forme que ce soit de révision ou de changement". "Le bon sens du peuple algérien et sa perspicacité habituelle ne l'ont jamais déçu et ne le décevront point. Il saura pertinemment distinguer entre celui dont le coeur est empli de sincérité et celui qui nourrit rancoeur et ressentiment envers ce pays. Il réalisera certainement que celui qui voue rancune et animosité envers l'Armée nationale populaire et son commandement, est indubitablement un ennemi de l'Algérie. Et les ennemis de l'Algérie sont parfaitement conscients, non sans amertume et jalousie, que notre pays dispose aujourd'hui d'une armée nationale de par son principe, populaire de par son origine, sincère dans son action et sa conduite, à sa tête un commandementmoudjahid qui accorde au combat saint sa véritable signification et fait du serment prêté aux chouhada son phare, avec lequel il fraie son chemin vers la sécurisation de l'Algérie et l'accompagnement de son peuple jusqu'à s'assurer entièrement quant au présent et l'avenir de cette patrie". "Au moment où les enfants du peuple, au sein de l'Armée nationale populaire s'acquittaient de leurs missions avec sincérité et dévouement et de leur devoir national au service du développement et de la promotion des Forces armées pour les hisser aux plus hauts degrés de professionnalisme, et leur permettre de protéger les frontières nationales, avec tout ce qu'elles impliquent comme défis, et continuer à relever avec succès l'enjeu de l'élimination définitive du fléau du terrorisme au nord du pays, je disais qu'en ce momentprécis où l'Armée nationale populaire travaillait avec responsabilité, abnégation et désintéressement, certaines personnesdénuées de conscience et de scrupules,planifiaient avec ruse la manière d'usurperles deniers publics, soit l'argent dupeuple algérien. Là réside toute la différence entre celui qui agit avec dévouementet bonne intention et celui qui manigance avec malveillance. Ces derniers ontoublié que cette voie est courte, voire uneimpasse". Ahmed Gaïd Salah considère en effet que les deux propositions ne sontpas antinomiques. Croient-ils "qu'il existe une contradictionou bien un écart entre ce à quoi tendentles dispositions de la Constitution dansleurs véritables dimensions et ce à quoiappelle le peuple algérien dans sesmarches successives", s'interroge le chef d'état-major en mettant à l'index la partie de la classe politique qui a une autre approche de la crise et de la manière d'en sortir. Le peuple qui a plébiscité sa Constitution est le plus apte à préserver laloi fondamentale de son pays et ses dispositionset à s'y conformer. Aussi, "il estimpensable de procéder au nom du peuple,à la destruction de la réalisation du peuple algérien, qui est la loi fondamentale, soit la Constitution"."Ceux qui prétendent, par ignorance ou arrogance et entêtement, ou animés pardes intentions aux objectifs ambigus, ouiambigus, que le pouvoir du peuple est audessusde la Constitution et au-dessus detous - et c'est une vérité utilisée à tort -car ils tentent sciemment d'outrepasser,voire geler, l'application des dispositionsde la Constitution, réalisent-ils que cela signifie la suppression de toutes les institutions de l'Etat et s'engouffrer dans un tunnel obscur dénommé le vide constitutionnel ? Ce qui signifie par conséquent la destruction des fondements de l'Etat national algérien et penser à construire un autre Etat avec d'autres standards, d'autres idées et d'autres projets idéologiques, auxquels seront consacrés des débats sans fin. Est ce leur objectif ? L'Algérie n'est pas un jeu de hasard entre les mains de n'importe qui, ni une proiefacile pour les amateurs d'aventurisme. Elle est le produit des sacrifices d'une révolution glorieuse, dénommée le 1er Novembre 1954, qui a besoin de tous ses fidèles enfants, je dis bien tous ses fidèles enfants, pour faire preuve de grande sagesse, de clairvoyance et de rationalité, et de plus de pondération et de perspicacité,car la Constitution algérienne est le giron du peuple et son rempart imprenable;elle est le fédérateur des composantesde son identité nationale et des solides constantes qui n'ont nul besoin de quelque forme que ce soit de révision ou de changement". "Le bon sens du peuple algérien et sa perspicacité habituelle ne l'ont jamais déçu et ne le décevront point. Il saura pertinemment distinguer entre celui dont le coeur est empli de sincérité et celui qui nourrit rancoeur et ressentiment envers ce pays. Il réalisera certainement que celui qui voue rancune et animosité envers l'Armée nationale populaire et son commandement, est indubitablement un ennemi de l'Algérie. Et les ennemis de l'Algérie sont parfaitement conscients, non sans amertume et jalousie, que notre pays dispose aujourd'hui d'une armée nationale de par son principe, populaire de par son origine, sincère dans son action et sa conduite, à sa tête un commandementmoudjahid qui accorde au combat saint sa véritable signification et fait du serment prêté aux chouhada son phare, avec lequel il fraie son chemin vers la sécurisation de l'Algérie et l'accompagnement de son peuple jusqu'à s'assurer entièrement quant au présent et l'avenir de cette patrie". "Au moment où les enfants du peuple, au sein de l'Armée nationale populaire s'acquittaient de leurs missions avec sincérité et dévouement et de leur devoir national au service du développement et de la promotion des Forces armées pour les hisser aux plus hauts degrés de professionnalisme, et leur permettre de protéger les frontières nationales, avec tout ce qu'elles impliquent comme défis, et continuer à relever avec succès l'enjeu de l'élimination définitive du fléau du terrorisme au nord du pays, je disais qu'en ce momentprécis où l'Armée nationale populaire travaillait avec responsabilité, abnégation et désintéressement, certaines personnesdénuées de conscience et de scrupules,planifiaient avec ruse la manière d'usurperles deniers publics, soit l'argent dupeuple algérien. Là réside toute la différence entre celui qui agit avec dévouementet bonne intention et celui qui manigance avec malveillance. Ces derniers ontoublié que cette voie est courte, voire uneimpasse".