Hakim Belahcel n'est plus premier secrétaire national duFFS. C'est, désormais,Belkacem Ben Amar quiassumera cette responsabilité. Hakim Belahcel n'est plus premier secrétaire national duFFS. C'est, désormais,Belkacem Ben Amar quiassumera cette responsabilité. C'est ce qu'a annoncé, hier, le plus vieux parti de l'opposition. Unchangement qui atteste bel etbien de l'instabilité qui règne au FFS, unparti enlisé dans une grave crise interne.Le règne de Hakim Belahcel n'a duré quetrois mois exactement. Il a été nommé, pour rappel, le 16 mars dernier lors d'unesession extraordinaire du Conseil national.Ce jour-là la plus haute instance duparti aaussi procédé à la désignationd'Ikhlef Bouaich en tant que coordinateurdu Comité d'éthique, conformément à l'article 42 du règlement intérieur. Lenouveau premier secrétaire national, Belkacem Ben Amar, occupe actuellement le poste de président d'APC de Naciria(wilaya de Boumerdès). Il a aussi étédéputé à l'APN de 2012 à 2017 au sein duParti des travailleurs.La désignation de Belkacem Benamar estsurvenue sur fond de grabuge devant lesiège du parti où des dizaines de militantsont réclamé le départ de Mohand-Amokrane Chérifi, membre du présidium,dirigé par Ali Laskri. Une désignation quiintervint aussi dans un contexte marquépar la crise profonde qui déchire le FFS.Un parti scindé en deux tendances qui se disputent le leadership depuis de longsmois déjà. D'ailleurs l'aile opposée à celleque dirige Ali Laskri et Mohand-Amokrane Chérifi a elle aussi tenue, hier,une session du conseil national sanctionnéepar un communiqué dans lequel ilsn'ont pas manqué de fustiger l'aile rivale, comme il a exposé sa vision sur la crise que traverse le pays. "Le Conseil nationaldu FFS considère que la légitimité populaireest au-dessus de la légalité constitutionnelleet seul le recours au peuple pourfonder la légitimité démocratique et l'Etat de droit est en mesure de sortir notre paysde la crise. Le peuple est la source de tousles pouvoirs. Il est le socle de la démocratie"indique le communiqué. Notons quel'aile animée par Ali Laskri estime être laseule détentrice de la légitimité au sein duparti puisque trois des membres de l'instanceprésidentielle, soit la majorité, lui sont fidèles. C'est ce qu'a annoncé, hier, le plus vieux parti de l'opposition. Unchangement qui atteste bel etbien de l'instabilité qui règne au FFS, unparti enlisé dans une grave crise interne.Le règne de Hakim Belahcel n'a duré quetrois mois exactement. Il a été nommé, pour rappel, le 16 mars dernier lors d'unesession extraordinaire du Conseil national.Ce jour-là la plus haute instance duparti aaussi procédé à la désignationd'Ikhlef Bouaich en tant que coordinateurdu Comité d'éthique, conformément à l'article 42 du règlement intérieur. Lenouveau premier secrétaire national, Belkacem Ben Amar, occupe actuellement le poste de président d'APC de Naciria(wilaya de Boumerdès). Il a aussi étédéputé à l'APN de 2012 à 2017 au sein duParti des travailleurs.La désignation de Belkacem Benamar estsurvenue sur fond de grabuge devant lesiège du parti où des dizaines de militantsont réclamé le départ de Mohand-Amokrane Chérifi, membre du présidium,dirigé par Ali Laskri. Une désignation quiintervint aussi dans un contexte marquépar la crise profonde qui déchire le FFS.Un parti scindé en deux tendances qui se disputent le leadership depuis de longsmois déjà. D'ailleurs l'aile opposée à celleque dirige Ali Laskri et Mohand-Amokrane Chérifi a elle aussi tenue, hier,une session du conseil national sanctionnéepar un communiqué dans lequel ilsn'ont pas manqué de fustiger l'aile rivale, comme il a exposé sa vision sur la crise que traverse le pays. "Le Conseil nationaldu FFS considère que la légitimité populaireest au-dessus de la légalité constitutionnelleet seul le recours au peuple pourfonder la légitimité démocratique et l'Etat de droit est en mesure de sortir notre paysde la crise. Le peuple est la source de tousles pouvoirs. Il est le socle de la démocratie"indique le communiqué. Notons quel'aile animée par Ali Laskri estime être laseule détentrice de la légitimité au sein duparti puisque trois des membres de l'instanceprésidentielle, soit la majorité, lui sont fidèles.