a eu lieu ce mercredi après-midi dans un restaurant de la ville contre des responsablesturcs. Dans un communiqué, Ankara confirme la mort d'un de ses diplomatesdans la fusillade, un homme a eu lieu ce mercredi après-midi dans un restaurant de la ville contre des responsablesturcs. Dans un communiqué, Ankara confirme la mort d'un de ses diplomatesdans la fusillade, un homme "tombé enmartyr", et promet des représailles, sansdésigner de coupables. Même si delourds soupçons pèsent sur les rebellesdu parti des travailleurs du Kurdistan. Il est un peu plus de 14h30 lorsqu'unhomme armé surgit dans un restaurantchic d'Erbil. Des diplomates turcs sonten train d'y déjeuner. L'assaillant ouvrele feu et tue le vice-consul de Turquie,ainsi qu'un civil de nationalité irakienne. Selon un témoin, l'assaillant prendensuite la fuite à bord d'une voiture quil'attendait à l'extérieur. Le tireur et ses complices sont toujours activement recherchés par les services de sécurités du Kurdistan irakien. Si l'attaque n'a pour l'instant pas été revendiquée, tous les regards se tournent désormais vers le Parti des travailleurs du Kurdistan, le PKK. Car les séparatistes, en guerre contre Ankara depuis près de quarante ans, sont en ce moment la cible d'une large offensive dans les montagnes du nord de l'Irak, où ils sont Dimanche, les guérilleros annonçaient la mort d'un de leurs responsables historiques, tué dans des bombardements de l'armée turque. L'attaque de ce mercredi après-midi ressemble donc, pour beaucoup d'observateurs, à des représailles. Les autorités turques ont bien sûr condamné fermement l'attaque et menacé de riposter. Mais elles ont aussi choisi, pour l'instant, de ne pas désigner de coupable et de laisser progresser l'enquête des autorités irakiennes et de la région autonome du Kurdistan d'Irak, tout en se disant prêtes à envoyer sur place une délégation. "tombé enmartyr", et promet des représailles, sansdésigner de coupables. Même si delourds soupçons pèsent sur les rebellesdu parti des travailleurs du Kurdistan. Il est un peu plus de 14h30 lorsqu'unhomme armé surgit dans un restaurantchic d'Erbil. Des diplomates turcs sonten train d'y déjeuner. L'assaillant ouvrele feu et tue le vice-consul de Turquie,ainsi qu'un civil de nationalité irakienne. Selon un témoin, l'assaillant prendensuite la fuite à bord d'une voiture quil'attendait à l'extérieur. Le tireur et ses complices sont toujours activement recherchés par les services de sécurités du Kurdistan irakien. Si l'attaque n'a pour l'instant pas été revendiquée, tous les regards se tournent désormais vers le Parti des travailleurs du Kurdistan, le PKK. Car les séparatistes, en guerre contre Ankara depuis près de quarante ans, sont en ce moment la cible d'une large offensive dans les montagnes du nord de l'Irak, où ils sont Dimanche, les guérilleros annonçaient la mort d'un de leurs responsables historiques, tué dans des bombardements de l'armée turque. L'attaque de ce mercredi après-midi ressemble donc, pour beaucoup d'observateurs, à des représailles. Les autorités turques ont bien sûr condamné fermement l'attaque et menacé de riposter. Mais elles ont aussi choisi, pour l'instant, de ne pas désigner de coupable et de laisser progresser l'enquête des autorités irakiennes et de la région autonome du Kurdistan d'Irak, tout en se disant prêtes à envoyer sur place une délégation.