Le bureau politique du parti Talaie El- Houriyet a exprimé sa préoccupation,quant à la persistance de l'impasse politique,au moment où se multiplient propositionset initiatives pour le lancementd'un processus de règlement consensuel dela crise.Talaie El-Houriyet dit avoir l'intimeconviction, que "l'offre de dialogue faite par le pouvoir politique, le 3 juillet Le bureau politique du parti Talaie El- Houriyet a exprimé sa préoccupation,quant à la persistance de l'impasse politique,au moment où se multiplient propositionset initiatives pour le lancementd'un processus de règlement consensuel dela crise.Talaie El-Houriyet dit avoir l'intimeconviction, que "l'offre de dialogue faite par le pouvoir politique, le 3 juillet courant,sous la pression de la Révolutiondémocratique pacifique, bienqu'incomplète et comportant des zonesd'ombre à clarifier, est un pas dans labonne direction, dans la mesure où lerégime politique en place renonce à la prétentionde la mainmise sur la conduite etla gestion du dialogue national", qu'il serésigne à confier à un panel de "personnalités nationales crédibles, indépendantes,sans affiliation partisane et sans ambitionélectorale". Aussi, le parti d'Ali Benflisestime-t-il que "le régime politique en place s'engage, dans toutes ses composantes, à ne pas être partie prenante au dialogue national et à observer la plus stricte neutralité, tout au long du déroulement de ce processus". Ainsi, considère ce parti, "les missions de l'autorité indépendante chargée de la préparation, de l'organisation, de la supervision et du contrôle de l'élection présidentielle et l'amendement, notamment, de la loi organique relative au régime électoral, sont confiés à l'instance du dialogue national, et à elle seule". Talaie El-Houriyet estime, que "l'instance de dialogue national voit son mandat élargi aux conditions à réunir pour garantir la crédibilité du scrutin", ce qui inclut "les conditions politiques dont le dialogue national jugera opportunes et nécessaires de se saisir, à l'effet de répondre aux attentes et aux demandes légitimes du peuple". Pour le parti de Benflis, il revient maintenant à l'opposition, dans toutes ses composantes, de s'entendre sur les garanties à exiger, pour que soient respectés, scrupuleusement, dans la forme et dans le fond, les engagements contenus dans le message à la nation du 3 juillet, de clarifier, de compléter et de consolider ces engagements, pour que cette offre de dialogue soit une base pour un véritable point de départ, pour une sortie de crise et un règlement rapide et définitif, de la grave crise politique qui secoue notre pays. Pour Talaie El-Houriyet, "le dialogue est devenu plus qu'une option, c'est une nécessité vitale, dans laquelle réside l'intérêt supérieur de la patrie". "Depuis le début de la crise, nous n'avons jamais été aussi proches du seuil de la solution. Les circonstances et les conditions de franchissement de ce seuil, sont à notre portée plus qu'elles ne l'étaient auparavant, sachant que le dialogue constitue le début du règlement de la crise, plutôt qu'une fin en soi", soutient cette formation qui relève "l'ambiguïté de l'attitude du pouvoir qui, d'un côté, affiche sa disponibilité au dialogue et, de l'autre, tarde à créer un climat politique favorable à ce dialogue". Le parti de Benflis reste convaincu, que seule l'élection d'un président de la République dans des conditions de régularité et de transparence incontestables, dans les meilleurs délais possibles, est en mesure de propulser l'Algérie sur "la voiela plus démocratique, la plus sûre, la plus courte, et la moins onéreuse pour notre pays aux plans sécuritaire, politique, économique et social». courant,sous la pression de la Révolutiondémocratique pacifique, bienqu'incomplète et comportant des zonesd'ombre à clarifier, est un pas dans labonne direction, dans la mesure où lerégime politique en place renonce à la prétentionde la mainmise sur la conduite etla gestion du dialogue national", qu'il serésigne à confier à un panel de "personnalités nationales crédibles, indépendantes,sans affiliation partisane et sans ambitionélectorale". Aussi, le parti d'Ali Benflisestime-t-il que "le régime politique en place s'engage, dans toutes ses composantes, à ne pas être partie prenante au dialogue national et à observer la plus stricte neutralité, tout au long du déroulement de ce processus". Ainsi, considère ce parti, "les missions de l'autorité indépendante chargée de la préparation, de l'organisation, de la supervision et du contrôle de l'élection présidentielle et l'amendement, notamment, de la loi organique relative au régime électoral, sont confiés à l'instance du dialogue national, et à elle seule". Talaie El-Houriyet estime, que "l'instance de dialogue national voit son mandat élargi aux conditions à réunir pour garantir la crédibilité du scrutin", ce qui inclut "les conditions politiques dont le dialogue national jugera opportunes et nécessaires de se saisir, à l'effet de répondre aux attentes et aux demandes légitimes du peuple". Pour le parti de Benflis, il revient maintenant à l'opposition, dans toutes ses composantes, de s'entendre sur les garanties à exiger, pour que soient respectés, scrupuleusement, dans la forme et dans le fond, les engagements contenus dans le message à la nation du 3 juillet, de clarifier, de compléter et de consolider ces engagements, pour que cette offre de dialogue soit une base pour un véritable point de départ, pour une sortie de crise et un règlement rapide et définitif, de la grave crise politique qui secoue notre pays. Pour Talaie El-Houriyet, "le dialogue est devenu plus qu'une option, c'est une nécessité vitale, dans laquelle réside l'intérêt supérieur de la patrie". "Depuis le début de la crise, nous n'avons jamais été aussi proches du seuil de la solution. Les circonstances et les conditions de franchissement de ce seuil, sont à notre portée plus qu'elles ne l'étaient auparavant, sachant que le dialogue constitue le début du règlement de la crise, plutôt qu'une fin en soi", soutient cette formation qui relève "l'ambiguïté de l'attitude du pouvoir qui, d'un côté, affiche sa disponibilité au dialogue et, de l'autre, tarde à créer un climat politique favorable à ce dialogue". Le parti de Benflis reste convaincu, que seule l'élection d'un président de la République dans des conditions de régularité et de transparence incontestables, dans les meilleurs délais possibles, est en mesure de propulser l'Algérie sur "la voiela plus démocratique, la plus sûre, la plus courte, et la moins onéreuse pour notre pays aux plans sécuritaire, politique, économique et social».