Deux (2) hadjis algériens ont rendu l'âme dimanche soir à Mina (Arabie saoudite), a indiqué à l'APS, lundi, le chef de la délégation consulaire algérienne. Deux (2) hadjis algériens ont rendu l'âme dimanche soir à Mina (Arabie saoudite), a indiqué à l'APS, lundi, le chef de la délégation consulaire algérienne. "Il s'agit de Mami Mohamed-Kamel, né le 12 décembre 1951 à Médéa (68 ans), professeur en service d'orthopédie à l'hôpital de Ben-Aknoun", a précisé l'ambassadeur, Abdelkader Hedjazi, ajoutant que "le défunt venu avec son épouse était décédé des suite d'un arrêt cardiaque lors du jet des Jamarats (le rituel de lapidation)". Quant au deuxième cas, poursuit M. Hedjazi, "il s'agit de Allouche Abdelkader (63 ans) issu de la commune de Bordj- Sebat (Guelma) décédé au camps N 96 suite à un arrêt cardiaque, sachant qu'il avait des problèmes de santé". "Les corps des deux hadjis se trouvent actuellement à l'hôpital de Mina et ils seront enterrés en présence de leurs compagnons", a fait savoir le diplomate, soulignant que "la délégation algérienne a pris toutes les mesures nécessaires et donné l'autorisation d'inhumation aux autorités saoudiennes". A noter que le nombre des hadjis jusquelà décédés aux Lieux Saints s'élève à six (6) pèlerins. Par ailleurs, concernant les hadjis égarés, le chef de la délégation de la Protection civile, le colonel Brahimi Belkacem a affirmé que "le nombre s'élève à 115 pèlerins qui ont été retrouvés et orientés vers leurs camps". Et d'ajouter que "7 hadjis se sont égarés durant les dernières 24 heures à Mina pas encore retrouvés". Le chef de la section Rites relevant de la brigade de la Protection civile, le colonel Moulay Khelifa, a fait état "de 70 agents de protection civile mobilisés pour trouver les hadjis égarés". "Il s'agit de Mami Mohamed-Kamel, né le 12 décembre 1951 à Médéa (68 ans), professeur en service d'orthopédie à l'hôpital de Ben-Aknoun", a précisé l'ambassadeur, Abdelkader Hedjazi, ajoutant que "le défunt venu avec son épouse était décédé des suite d'un arrêt cardiaque lors du jet des Jamarats (le rituel de lapidation)". Quant au deuxième cas, poursuit M. Hedjazi, "il s'agit de Allouche Abdelkader (63 ans) issu de la commune de Bordj- Sebat (Guelma) décédé au camps N 96 suite à un arrêt cardiaque, sachant qu'il avait des problèmes de santé". "Les corps des deux hadjis se trouvent actuellement à l'hôpital de Mina et ils seront enterrés en présence de leurs compagnons", a fait savoir le diplomate, soulignant que "la délégation algérienne a pris toutes les mesures nécessaires et donné l'autorisation d'inhumation aux autorités saoudiennes". A noter que le nombre des hadjis jusquelà décédés aux Lieux Saints s'élève à six (6) pèlerins. Par ailleurs, concernant les hadjis égarés, le chef de la délégation de la Protection civile, le colonel Brahimi Belkacem a affirmé que "le nombre s'élève à 115 pèlerins qui ont été retrouvés et orientés vers leurs camps". Et d'ajouter que "7 hadjis se sont égarés durant les dernières 24 heures à Mina pas encore retrouvés". Le chef de la section Rites relevant de la brigade de la Protection civile, le colonel Moulay Khelifa, a fait état "de 70 agents de protection civile mobilisés pour trouver les hadjis égarés".