Les souscripteurs aux programmes AADL1 et 2 ont, encore une fois, manifesté leur colère devant le siège de l'AADL à Alger. Des dizaines de postulants se sont rassemblés samedi dernier pour exiger les clés de leur logement. Les souscripteurs aux programmes AADL1 et 2 ont, encore une fois, manifesté leur colère devant le siège de l'AADL à Alger. Des dizaines de postulants se sont rassemblés samedi dernier pour exiger les clés de leur logement. La situation devien ten effet fort pénalisante pour des centaines de demandeurs de logements AADL 1 et 2. Ces derniers, excédés par des années d'attente, ne veulent plus rien entendre et exigent qu'on leur remette les clés de leur appartement avant la fin du mois en cours. S'exprimant devant les médias, l'un des porteparole du collectif des souscripteurs à l'AADL a qualifié les promesses des responsables de "vaines du moment qu'on nous a dit que c'est en septembre qu'on devait réceptionner les nouveaux logements". La plupart des contestataires, venus nombreux cettenfois-ci, ont exhibé les décisions d'affectation de leur logement dans plusieurs sites d'habitation. "On n'abandonnera pas notre combat jusqu'à la satisfaction de notre revendication" tonne l'un des postulants d'Alger. Ils sont en effet quelque 30.000 acquéreurs des premiers logements version AADL 1 à avoir déposé leur dossier et payé les tranches de crédits en entier. Quelques-uns ont pu obtenir au forceps des logements dans certains sites de la périphérie de la capitale alors que les autres attendent depuis au moins une dizaine d'années sans résultat. Il est à rappeler que le ministre, Kamel Beldjoud, avait promis que ce dossier sera réglé définitivement en septembre en assurant que les "logements sont prêts, mais que les souscripteurs doivent patienter encore un temps". Une telle déclaration devait rassurer ces milliers de citoyens dont en principe ils sont prioritaires dans l'accès à leurs nouveaux logements. L'autre dossier qui a également accusé un retard énorme est celui du logement social participatif où les principaux concernés sont ceux qui ont déjà payé la moitié de leurs logements mais n'ont pas encore reçu leurs clés. Il faut dire que ces derniers ont déposé leurs dossiers depuis 2008 et ont été forcés de payer les tranches exigés dans le contrat. Depuis lors, aucun bénéficiaire à l'échelle nationale n'a pu accéder à ces logements. Du côté du ministère de l'Habitat, on se fait discret sur ce sujet alors que les postulants attendent vainement des explications. On assure que la faute incombe aux promoteurs immobiliers qui n'ont pas été à la hauteur dans la réalisation de ce type de logements. Il faut s'attendre à une levée de boucliers dans les prochains jours si cette situation n'est pas réglée définitivement. La situation devien ten effet fort pénalisante pour des centaines de demandeurs de logements AADL 1 et 2. Ces derniers, excédés par des années d'attente, ne veulent plus rien entendre et exigent qu'on leur remette les clés de leur appartement avant la fin du mois en cours. S'exprimant devant les médias, l'un des porteparole du collectif des souscripteurs à l'AADL a qualifié les promesses des responsables de "vaines du moment qu'on nous a dit que c'est en septembre qu'on devait réceptionner les nouveaux logements". La plupart des contestataires, venus nombreux cettenfois-ci, ont exhibé les décisions d'affectation de leur logement dans plusieurs sites d'habitation. "On n'abandonnera pas notre combat jusqu'à la satisfaction de notre revendication" tonne l'un des postulants d'Alger. Ils sont en effet quelque 30.000 acquéreurs des premiers logements version AADL 1 à avoir déposé leur dossier et payé les tranches de crédits en entier. Quelques-uns ont pu obtenir au forceps des logements dans certains sites de la périphérie de la capitale alors que les autres attendent depuis au moins une dizaine d'années sans résultat. Il est à rappeler que le ministre, Kamel Beldjoud, avait promis que ce dossier sera réglé définitivement en septembre en assurant que les "logements sont prêts, mais que les souscripteurs doivent patienter encore un temps". Une telle déclaration devait rassurer ces milliers de citoyens dont en principe ils sont prioritaires dans l'accès à leurs nouveaux logements. L'autre dossier qui a également accusé un retard énorme est celui du logement social participatif où les principaux concernés sont ceux qui ont déjà payé la moitié de leurs logements mais n'ont pas encore reçu leurs clés. Il faut dire que ces derniers ont déposé leurs dossiers depuis 2008 et ont été forcés de payer les tranches exigés dans le contrat. Depuis lors, aucun bénéficiaire à l'échelle nationale n'a pu accéder à ces logements. Du côté du ministère de l'Habitat, on se fait discret sur ce sujet alors que les postulants attendent vainement des explications. On assure que la faute incombe aux promoteurs immobiliers qui n'ont pas été à la hauteur dans la réalisation de ce type de logements. Il faut s'attendre à une levée de boucliers dans les prochains jours si cette situation n'est pas réglée définitivement.