présidentielle, prévue le 12 décembre prochain, est "le voeu de la majorité des Algériens, étant donné que c'est la voie salutaire" pour permettre au pays de consolider "sa stabilité et sa sécurité. présidentielle, prévue le 12 décembre prochain, est "le voeu de la majorité des Algériens, étant donné que c'est la voie salutaire" pour permettre au pays de consolider "sa stabilité et sa sécurité. C'est ce qu'a affirmé, mardi, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Hassane Rabehi. "L'élection présidentielle est le voeu de la majorité des Algériens, étant donné que c'est la voie salutaire pour permettre à notre pays de consolider sa stabilité et de réunir les conditions de son développement au mieux des intérêts de notre peuple", a-t-il indiqué à la presse en marge de l'installation officielle des membres du jury du prix du président de la République du journaliste professionnel. Il a, dans ce cadre, exprimé sa "grande confiance" en les médias pour leur capacité à accompagner "l'oeuvre politique qui consiste à assurer les meilleures conditions" de l'organisation de ces élections, qui sont la "voie salutaire pour permettre à notre pays de consolider sa stabilité et sa sécurité". Pour M. Rabehi, l'Armée nationale populaire (ANP) a apporté une contribution "significative" et a assuré un "accompagnement certain" aux revendications du peuple algérien, lesquelles sont consacrées dans tous les textes légaux, administratifs et politiques. Ces textes, a-t-il ajouté, "constituent l'assise sur laquelle vont se dérouler ces élections et qui vont consacrer les principes de la démocratie et de la participation du citoyen, non seulement à la promotion de son pays mais aussi à en construire l'avenir". Interrogé sur la présence des observateurs internationaux durant le prochain scrutin, M. Rabehi a indiqué que cette question "relève des prérogatives de l'Autorité nationale des élections, qui est indépendante dans ses décisions, ce qui reflète la bonne volonté de l'Etat à répondre à toutes les revendications du peuple". Concernant les informations faisant état de la retransmission des procès de Louisa Hanoune, Bachir Tartag et Toufik Mediène notamment, M. Rabehi a répondu que le but "n'est pas la retransmission en soi, mais que la Justice assure un procès juste et équitable concernant toutes ces affaires ou celle liées de corruption". Il a ajouté dans ce cadre, que tout ce qui concerne la justice "est de son ressort", relevant que l'Etat "est déterminé à combattre la corruption et tous ceux qui ont contribué à conduire le pays à cette situation difficile". La Justice, a rappelé le ministre, a prouvé "son indépendance dans ses décisions, en se référant aux seuls textes de loi". Interrogé sur les conditions d'exercice des journalistes, il a indiqué que son département "s'attèle à la préparation d'un ensemble de textes pour leur permettre d'accomplir convenablement leur métier et de consacrer leurs pleins droits". Enfin sur la revendication du départ du gouvernement, Rabehi a indiqué que cette exigence remet en cause ses "réalisations cruciales". "La revendication du départ du gouvernement constitue une ingratitude par rapport aux réalisations cruciales qu'il a pu accomplir", a répliqué le ministre à la question d'un journaliste. "Nous sommes un gouvernement de décision pas celui de gestion des affaires courantes !" ajoute encore Hassan Rabhi comme pour signifier aux partisans du départ du gouvernement qu'ils se font des illusions. Le ministre en veut pour preuve que d'après lui, le gouvernement Bedoui a accompli des réalisations "qu'aucun autre n'a fait avant lui depuis des années". C'est ce qu'a affirmé, mardi, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Hassane Rabehi. "L'élection présidentielle est le voeu de la majorité des Algériens, étant donné que c'est la voie salutaire pour permettre à notre pays de consolider sa stabilité et de réunir les conditions de son développement au mieux des intérêts de notre peuple", a-t-il indiqué à la presse en marge de l'installation officielle des membres du jury du prix du président de la République du journaliste professionnel. Il a, dans ce cadre, exprimé sa "grande confiance" en les médias pour leur capacité à accompagner "l'oeuvre politique qui consiste à assurer les meilleures conditions" de l'organisation de ces élections, qui sont la "voie salutaire pour permettre à notre pays de consolider sa stabilité et sa sécurité". Pour M. Rabehi, l'Armée nationale populaire (ANP) a apporté une contribution "significative" et a assuré un "accompagnement certain" aux revendications du peuple algérien, lesquelles sont consacrées dans tous les textes légaux, administratifs et politiques. Ces textes, a-t-il ajouté, "constituent l'assise sur laquelle vont se dérouler ces élections et qui vont consacrer les principes de la démocratie et de la participation du citoyen, non seulement à la promotion de son pays mais aussi à en construire l'avenir". Interrogé sur la présence des observateurs internationaux durant le prochain scrutin, M. Rabehi a indiqué que cette question "relève des prérogatives de l'Autorité nationale des élections, qui est indépendante dans ses décisions, ce qui reflète la bonne volonté de l'Etat à répondre à toutes les revendications du peuple". Concernant les informations faisant état de la retransmission des procès de Louisa Hanoune, Bachir Tartag et Toufik Mediène notamment, M. Rabehi a répondu que le but "n'est pas la retransmission en soi, mais que la Justice assure un procès juste et équitable concernant toutes ces affaires ou celle liées de corruption". Il a ajouté dans ce cadre, que tout ce qui concerne la justice "est de son ressort", relevant que l'Etat "est déterminé à combattre la corruption et tous ceux qui ont contribué à conduire le pays à cette situation difficile". La Justice, a rappelé le ministre, a prouvé "son indépendance dans ses décisions, en se référant aux seuls textes de loi". Interrogé sur les conditions d'exercice des journalistes, il a indiqué que son département "s'attèle à la préparation d'un ensemble de textes pour leur permettre d'accomplir convenablement leur métier et de consacrer leurs pleins droits". Enfin sur la revendication du départ du gouvernement, Rabehi a indiqué que cette exigence remet en cause ses "réalisations cruciales". "La revendication du départ du gouvernement constitue une ingratitude par rapport aux réalisations cruciales qu'il a pu accomplir", a répliqué le ministre à la question d'un journaliste. "Nous sommes un gouvernement de décision pas celui de gestion des affaires courantes !" ajoute encore Hassan Rabhi comme pour signifier aux partisans du départ du gouvernement qu'ils se font des illusions. Le ministre en veut pour preuve que d'après lui, le gouvernement Bedoui a accompli des réalisations "qu'aucun autre n'a fait avant lui depuis des années".