Le président russe, Vladimir Poutine, a indiqué jeudi à Sotchi (Russie), que son pays souhaitait "sincèrement" à l'Algérie, de "surmonter ses difficultés et de renforcer sa souveraineté", a rapporté l'Agence russe Sputnik. Le président russe, Vladimir Poutine, a indiqué jeudi à Sotchi (Russie), que son pays souhaitait "sincèrement" à l'Algérie, de "surmonter ses difficultés et de renforcer sa souveraineté", a rapporté l'Agence russe Sputnik. M. Poutine s'exprimait lors de son entretien avec le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, en marge du 1er Sommet Russie-Afrique. "Nous savons que des événements politiques très importants sont en cours en Algérie. Nous souhaitons sincèrement, que le peuple algérien surmonte les difficultés de la période de transition. Nous sommes persuadés que tout se déroulera de manière à ce que le peuple algérien en profite, qu'il renforce son Etat et sa souveraineté", a ajouté M. Poutine. Selon le président russe, Moscou attache "une grande importance au développement du partenariat stratégique avec l'Algérie, qui est l'un de ses partenaires économiques principaux, en Afrique et dans le Monde arabe".Les échanges russo-algériens, a-til poursuivi, ont augmenté de "18% en 2018, pour atteindre presque 5 milliards de dollars". La rencontre entre les deux présidents entre dans le cadre de la cérémonie d'accueil des chefs d'Etat et de Gouvernement africains, participant au premier sommet Russie-Afrique, dont les travaux ont débuté mercredi à Sotchi, en présence d'une cinquantaine de chefs d'Etat et de Gouvernement africains, dont le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah. Le chef de l'Etat a pris part à ce Forum à la tête d'une importante délégation, composée du ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, du ministre des Finances, Mohamed Loukal et du ministre de l'Energie, Mohamed Arkab. Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a souligné, jeudi, la nécessité de conférer davantage d'efficacité à l'activité des pays africains, dans le processus de prise de décisions au niveau mondial, notamment à travers la réforme du Conseil de sécurité des Nations-unies et une plus large participation des pays africains au sein de cette instance onusienne. Dans un discours prononcé à l'ouverture des travaux du sommet Russie-Afrique, M. Bensalah a affirmé qu'"au moment où les relations internationales font face à une véritable crise de confiance résultant d'actions unilatérales, il nous appartient d'oeuvrer, avec une grande détermination, à préserver et appuyer les règles fondamentales qui sont à même de régir la communauté et les relations internationales et de consolider le système multilatéral, afin de garantir la sécurité et le bien-être des prochaines générations". "Nous considérons que les priorités du partenariat Russie-Afrique escompté doivent tenir compte du besoin incessant d'oeuvrer ensemble, à conférer davantage d'efficacité à l'activité des pays africains dans le processus de prise de décisions au niveau mondial, notamment à travers la réforme du Conseil de sécurité des Nations-unies et une plus large participation des pays africains au sein de cette instance", a-t-il poursuivi. M. Poutine s'exprimait lors de son entretien avec le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, en marge du 1er Sommet Russie-Afrique. "Nous savons que des événements politiques très importants sont en cours en Algérie. Nous souhaitons sincèrement, que le peuple algérien surmonte les difficultés de la période de transition. Nous sommes persuadés que tout se déroulera de manière à ce que le peuple algérien en profite, qu'il renforce son Etat et sa souveraineté", a ajouté M. Poutine. Selon le président russe, Moscou attache "une grande importance au développement du partenariat stratégique avec l'Algérie, qui est l'un de ses partenaires économiques principaux, en Afrique et dans le Monde arabe".Les échanges russo-algériens, a-til poursuivi, ont augmenté de "18% en 2018, pour atteindre presque 5 milliards de dollars". La rencontre entre les deux présidents entre dans le cadre de la cérémonie d'accueil des chefs d'Etat et de Gouvernement africains, participant au premier sommet Russie-Afrique, dont les travaux ont débuté mercredi à Sotchi, en présence d'une cinquantaine de chefs d'Etat et de Gouvernement africains, dont le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah. Le chef de l'Etat a pris part à ce Forum à la tête d'une importante délégation, composée du ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, du ministre des Finances, Mohamed Loukal et du ministre de l'Energie, Mohamed Arkab. Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a souligné, jeudi, la nécessité de conférer davantage d'efficacité à l'activité des pays africains, dans le processus de prise de décisions au niveau mondial, notamment à travers la réforme du Conseil de sécurité des Nations-unies et une plus large participation des pays africains au sein de cette instance onusienne. Dans un discours prononcé à l'ouverture des travaux du sommet Russie-Afrique, M. Bensalah a affirmé qu'"au moment où les relations internationales font face à une véritable crise de confiance résultant d'actions unilatérales, il nous appartient d'oeuvrer, avec une grande détermination, à préserver et appuyer les règles fondamentales qui sont à même de régir la communauté et les relations internationales et de consolider le système multilatéral, afin de garantir la sécurité et le bien-être des prochaines générations". "Nous considérons que les priorités du partenariat Russie-Afrique escompté doivent tenir compte du besoin incessant d'oeuvrer ensemble, à conférer davantage d'efficacité à l'activité des pays africains dans le processus de prise de décisions au niveau mondial, notamment à travers la réforme du Conseil de sécurité des Nations-unies et une plus large participation des pays africains au sein de cette instance", a-t-il poursuivi.