La campagne électorale pour la présidentielle du 12 décembre débute aujourd'hui. Les 5 candidats devront s'affronter dans un contexte politique particulier où chacun tentera à travers son programme de convaincre les électeurs. La campagne électorale pour la présidentielle du 12 décembre débute aujourd'hui. Les 5 candidats devront s'affronter dans un contexte politique particulier où chacun tentera à travers son programme de convaincre les électeurs. Durant 22 jours, les 5 candidats devront mobiliser les efforts et moyens pour expliquer les grandes lignes de leurs programmes et leurs propositions pour une sortie de crise à l'issue d'une élection particulière. D'ores et déjà, les déclarations des uns et des autres portent sur le changement politique et institutionnel que devra engager le président qui sortira des urnes. Cette campagne sera un véritable test pour 5 ténors de la politique dont 4 ont déjà occupé des postes importants au sein del'état. Ali Benflis du parti de Talaie El Houriet promet déjà un profond changement politique et une transition globale conformément aux aspirations du peuple en se focalisant sur un changement radical de la gouvernance. Pour Abdelmadjid Tebboune, il promet, à travers 54 engagements, d'oeuvrer à l'institution d'une nouvelle République en promettant une large révision de la Constitution et du cadre juridique des élections avec un accent sur la séparation du monde des affaires de celui de la politique. Quant aux autres candidats à savoir le secrétaire général par intérim du RND Azzedine Mihoubi, Abdelaziz Belaid, président du front El Moustakbal et Abdelkader Bengrina, président du mouvement El Bina, ils ont plaidé chacun pour un changement politique profond. Pour le chef de file du RND il est impératif "d'apporter une réelle démocratisation politique et sociale au pays à travers des réformes institutionnelles". L'ex-ministre du Tourisme, Abdelkader engr ina place comme priorité dans son programme "la récupération de l'argent volé, l'institution d'une large consultation publique pour une sortie de crise définitive et le soutien aux aspirations du mouvement du hirak". Abdelaziz Belaid, qui a choisi le slogan "Le peuple qui décide" a déjà évoqué les grands traits de son programme articulés sur "l'éradication de la corruption, la transparence des élections et des institutions fortes". La plupart des candidats sont doncdéterminés à ne pas verser dans le populisme et s'en tiennent à des propositions concrèteset réalisables en misant chacun sur sa popularité. Ils s'investiront à travers les réseaux sociaux qui sont devenus le véritable baromètre de l'opinion publique. Ils seront jugés ainsi pour chaque déclaration et promesse électorale. Quant aux moyens de financement de cette campagne, l'Anie a promis de "sévir contre tout excès dans le cadre detransparence de la campagne, dont les moyens humains et matériels vont garantir une réelle transparence du scrutin du 12 décembre. Durant 22 jours, les 5 candidats devront mobiliser les efforts et moyens pour expliquer les grandes lignes de leurs programmes et leurs propositions pour une sortie de crise à l'issue d'une élection particulière. D'ores et déjà, les déclarations des uns et des autres portent sur le changement politique et institutionnel que devra engager le président qui sortira des urnes. Cette campagne sera un véritable test pour 5 ténors de la politique dont 4 ont déjà occupé des postes importants au sein del'état. Ali Benflis du parti de Talaie El Houriet promet déjà un profond changement politique et une transition globale conformément aux aspirations du peuple en se focalisant sur un changement radical de la gouvernance. Pour Abdelmadjid Tebboune, il promet, à travers 54 engagements, d'oeuvrer à l'institution d'une nouvelle République en promettant une large révision de la Constitution et du cadre juridique des élections avec un accent sur la séparation du monde des affaires de celui de la politique. Quant aux autres candidats à savoir le secrétaire général par intérim du RND Azzedine Mihoubi, Abdelaziz Belaid, président du front El Moustakbal et Abdelkader Bengrina, président du mouvement El Bina, ils ont plaidé chacun pour un changement politique profond. Pour le chef de file du RND il est impératif "d'apporter une réelle démocratisation politique et sociale au pays à travers des réformes institutionnelles". L'ex-ministre du Tourisme, Abdelkader engr ina place comme priorité dans son programme "la récupération de l'argent volé, l'institution d'une large consultation publique pour une sortie de crise définitive et le soutien aux aspirations du mouvement du hirak". Abdelaziz Belaid, qui a choisi le slogan "Le peuple qui décide" a déjà évoqué les grands traits de son programme articulés sur "l'éradication de la corruption, la transparence des élections et des institutions fortes". La plupart des candidats sont doncdéterminés à ne pas verser dans le populisme et s'en tiennent à des propositions concrèteset réalisables en misant chacun sur sa popularité. Ils s'investiront à travers les réseaux sociaux qui sont devenus le véritable baromètre de l'opinion publique. Ils seront jugés ainsi pour chaque déclaration et promesse électorale. Quant aux moyens de financement de cette campagne, l'Anie a promis de "sévir contre tout excès dans le cadre detransparence de la campagne, dont les moyens humains et matériels vont garantir une réelle transparence du scrutin du 12 décembre.