Il était temps ! La multiplication des discours racistes, régionalistes et la profusion de la haine dans l'espace réel et virtuel, via les réseaux sociaux, a convaincu les pouvoirs, de la nécessité vitale de "clouer le bec" à desulfureux personnages, "spécialisés" dans la production de la littérature subversive, menaçant la cohésion nationale. Il était temps ! La multiplication des discours racistes, régionalistes et la profusion de la haine dans l'espace réel et virtuel, via les réseaux sociaux, a convaincu les pouvoirs, de la nécessité vitale de "clouer le bec" à desulfureux personnages, "spécialisés" dans la production de la littérature subversive, menaçant la cohésion nationale. En demandant à son Premier ministre, Abdelaziz Djerad, d'élaborer un projet de loi criminalisant toutes formes de racisme, de régionalisme et de discours de haine dans le pays, le président Tebboune semble avoir pris la mesure de la dangerosité du phénomène. "Cette mesure intervient après avoir constaté une recrudescence du discours de la haine et de l'incitation à la fitna (discorde), notamment à travers les réseaux sociaux", explique la même source, ajoutant qu'elle intervient aussi dans le but "de faire face à ceux qui exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak (mouvement populaire), pour brandir des slogans portantatteinte à la cohésion nationale", a indiqué hier, un communiqué de la présidence de la République. Et pour cause ! Chaque jour que Dieu fait, d'irresponsables politiques et des personnages publics, se permettent de tenir des propos gravissimes, potentiellement dangereux sur l'unité nationale. Et si cette engeance sévissait jusque-là au nez et à la barbe des autorités, sans courrir le moindre risque, ce projet de loi, commandépar le président de la République, va sans doute les mettre devant leur responsabilité. Les Naima Salhi, Nordine Khettal, Oussama Ouahid … sont les principaux "producteurs" de cette haine entre Algériens, sur les réseaux sociaux, vont tourner sept fois leurs langues, avant den débiter ce genre d'imbécilités.L'opinion publique nationale est en effet choquée par des déclarations "hard", produites par des écrits ou par vidéos postés sur Internet, par ces malades qui n'hésitent pas à attiser le feu de la "fitna", en tentant de monter une partie des Algériens contre une autre, voire une région contre une autre. Et comme le souligne l'exposé des motifs de l'instruction présidentielle, cette mesurevise à mettre le holà contre ceux qui"exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak (mouvement populaire), pour brandir des slogans portant atteinte àla cohésion nationale" (sic). Désormais, nul n'est censé ignorer la loi, et tous ceux qui oseront enfreindre cette ligne rouge, répondront de leurs actes et paroles devant la justice. Le président de la République désigne lescibles potentielles du projet de loi en préparation, à savoir, toute personne qui porterait atteinte aux "constantes de la Nation et ses valeurs, les principales composantes de l'identité et de l'unité nationales, ainsi que les symboles de l'Etat et du peuple". Il est aisé de deviner, que ce projet de loi est destiné à faire taire certaines personnes qui se sont pitoyablement distinguées ces derniers mois, par leurs outrances et leur langage ordurier, qui sème le trouble et la haine En demandant à son Premier ministre, Abdelaziz Djerad, d'élaborer un projet de loi criminalisant toutes formes de racisme, de régionalisme et de discours de haine dans le pays, le président Tebboune semble avoir pris la mesure de la dangerosité du phénomène. "Cette mesure intervient après avoir constaté une recrudescence du discours de la haine et de l'incitation à la fitna (discorde), notamment à travers les réseaux sociaux", explique la même source, ajoutant qu'elle intervient aussi dans le but "de faire face à ceux qui exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak (mouvement populaire), pour brandir des slogans portantatteinte à la cohésion nationale", a indiqué hier, un communiqué de la présidence de la République. Et pour cause ! Chaque jour que Dieu fait, d'irresponsables politiques et des personnages publics, se permettent de tenir des propos gravissimes, potentiellement dangereux sur l'unité nationale. Et si cette engeance sévissait jusque-là au nez et à la barbe des autorités, sans courrir le moindre risque, ce projet de loi, commandépar le président de la République, va sans doute les mettre devant leur responsabilité. Les Naima Salhi, Nordine Khettal, Oussama Ouahid … sont les principaux "producteurs" de cette haine entre Algériens, sur les réseaux sociaux, vont tourner sept fois leurs langues, avant den débiter ce genre d'imbécilités.L'opinion publique nationale est en effet choquée par des déclarations "hard", produites par des écrits ou par vidéos postés sur Internet, par ces malades qui n'hésitent pas à attiser le feu de la "fitna", en tentant de monter une partie des Algériens contre une autre, voire une région contre une autre. Et comme le souligne l'exposé des motifs de l'instruction présidentielle, cette mesurevise à mettre le holà contre ceux qui"exploitent la liberté et le caractère pacifique du Hirak (mouvement populaire), pour brandir des slogans portant atteinte àla cohésion nationale" (sic). Désormais, nul n'est censé ignorer la loi, et tous ceux qui oseront enfreindre cette ligne rouge, répondront de leurs actes et paroles devant la justice. Le président de la République désigne lescibles potentielles du projet de loi en préparation, à savoir, toute personne qui porterait atteinte aux "constantes de la Nation et ses valeurs, les principales composantes de l'identité et de l'unité nationales, ainsi que les symboles de l'Etat et du peuple". Il est aisé de deviner, que ce projet de loi est destiné à faire taire certaines personnes qui se sont pitoyablement distinguées ces derniers mois, par leurs outrances et leur langage ordurier, qui sème le trouble et la haine