Le DG de l'institut Pasteur le docteur Fawzi Derrar a indiqué au forum d'El Moudjahid qu'il faudra "attendre le début d'avril pour évaluer la situation du coronavirus en Algérie. Même s'il y a actuellement 67 cas déclarés il n'y a pas lieu de trop s'inquiéter du moment que la courbe n'a pas dépassé les 100 cas". Le DG de l'institut Pasteur le docteur Fawzi Derrar a indiqué au forum d'El Moudjahid qu'il faudra "attendre le début d'avril pour évaluer la situation du coronavirus en Algérie. Même s'il y a actuellement 67 cas déclarés il n'y a pas lieu de trop s'inquiéter du moment que la courbe n'a pas dépassé les 100 cas". Le DG de cet institut qui a confirmé les cas enregistrés a souligné que "l'institut Pasteur et ces 2 centres à Constantine et à Oran en plus du centre de grippe référence OMS sont mobilisés pour toutes les opérations enregistrant des cas détectés du virus". Quelque 4.000échantillons sont analysés actuellement en plus de 130 prélèvements en moyenne par jour. C'est dire que le Covid-19 n'a pas encore ravagé le pays contrairement à d'autres pays. Mais pour ce responsable, il comprend "la tension visible chez tous les citoyens de peu d'être infectés". Il ne cache pas que des cas supplémentaires peuvent être enregistrés d'ici peu mais il fait valoir que "les mesures prises par les autorités concernant la prévention contre ce virus sont de nature à endiguer sa propagation. Nous continuons à surveiller les cas qui ont été infectés par le virus" a fait savoir le DG de l'Institut Pasteur. Il a ainsi réitéré que "les mesures prises dans ce cadre sont de nature à épargner la santé de la population d'augmenter le risque". Il reste que selon ce dernier "le taux de décès est insignifiant se situant à 3,8 %", mais il faudra prendre en compte l'évolution de la situation virale pour pouvoir redéfinir la stratégie à venir. Pour Dr Derrar "il est question maintenant de partage de toutes les information et données scientifique sur ce problème avec les laboratoires du monde". Considéré comme "l'épicentre du virus, l'Europe peut être un facteur de contagion à large échelle". Pour cela "nous sommes à jour sur le suivi de la situation". Les tests et cas d'hospitalisation Le DG de l'Institut Pasteur a signifié dans sonintervention que "toute personne subissant un test en cas d'infection par le coronavirus doit être confinée". Il a indiqué que "toutes les laboratoires dépendant de l'Institut arrivent à répondre à la demande en matière de prise en charge des tests". Les résultats des tests confirmant ou infirmant le virus sont rendus au patient la même journée. "S'il y a des cas graves d'infection, la réponse est délivrée en une demi journée". Tout test doit s'effectuer en 2 heures de temps et même pour la personne ayant subit une hospitalisation à cause de ce virus, il doit subir de nouveau 2 tests qui confirmeront si son état lui permet de sortir de l'hôpital et regagner son domicile. Face à la montée de la peur e cette pandémie mortelle, le responsable de l'Institut Pasteur a mis en garde contre "les spéculations sur la propagation du virus sans se référer aux experts scientifiques" et i a balayé l'idée que ce virus ait été propagé par un laboratoire. Interrogé sur le classement à risque de 3 pays africains (Algérie, Egypte et Afrique du Sud) de par leurs grands échanges avec la Chine, le spécialiste a estimé que "le virus arrive de sa source en Chine mais a traversé l'Europe pour débarquer en Algérie". Selon lui "tous les cas de contagion de ce virus sont importés puisqu'il n'existe aucun patient qui a été contaminé localement". Le Dr Derrar a souligné que "jusqu'à présent, il n'y a pas encore une intensification du virus". Il cite les mesures prises par le président de la République après avoir reçu tous les experts scientifiques et médicaux à une question autour de la relation entre le virus et le climat, le premier responsable de l'Institut Pasteur a confirmé que "la chaleur eut jouer un rôle dans le ralentissement du virus mais n'empêche pas son apparition". Selon le données scientifiques "il est établi qu'entre 0 et 10 degrés, le virus ne se propage pas beaucoup". Mais l'expert préfère miser sur les mesures d'efficacité de la prévention en considérant que pour l'heure "il n'y a pas encore des perspectives thérapeutiques à ce virus". Le DG de cet institut qui a confirmé les cas enregistrés a souligné que "l'institut Pasteur et ces 2 centres à Constantine et à Oran en plus du centre de grippe référence OMS sont mobilisés pour toutes les opérations enregistrant des cas détectés du virus". Quelque 4.000échantillons sont analysés actuellement en plus de 130 prélèvements en moyenne par jour. C'est dire que le Covid-19 n'a pas encore ravagé le pays contrairement à d'autres pays. Mais pour ce responsable, il comprend "la tension visible chez tous les citoyens de peu d'être infectés". Il ne cache pas que des cas supplémentaires peuvent être enregistrés d'ici peu mais il fait valoir que "les mesures prises par les autorités concernant la prévention contre ce virus sont de nature à endiguer sa propagation. Nous continuons à surveiller les cas qui ont été infectés par le virus" a fait savoir le DG de l'Institut Pasteur. Il a ainsi réitéré que "les mesures prises dans ce cadre sont de nature à épargner la santé de la population d'augmenter le risque". Il reste que selon ce dernier "le taux de décès est insignifiant se situant à 3,8 %", mais il faudra prendre en compte l'évolution de la situation virale pour pouvoir redéfinir la stratégie à venir. Pour Dr Derrar "il est question maintenant de partage de toutes les information et données scientifique sur ce problème avec les laboratoires du monde". Considéré comme "l'épicentre du virus, l'Europe peut être un facteur de contagion à large échelle". Pour cela "nous sommes à jour sur le suivi de la situation". Les tests et cas d'hospitalisation Le DG de l'Institut Pasteur a signifié dans sonintervention que "toute personne subissant un test en cas d'infection par le coronavirus doit être confinée". Il a indiqué que "toutes les laboratoires dépendant de l'Institut arrivent à répondre à la demande en matière de prise en charge des tests". Les résultats des tests confirmant ou infirmant le virus sont rendus au patient la même journée. "S'il y a des cas graves d'infection, la réponse est délivrée en une demi journée". Tout test doit s'effectuer en 2 heures de temps et même pour la personne ayant subit une hospitalisation à cause de ce virus, il doit subir de nouveau 2 tests qui confirmeront si son état lui permet de sortir de l'hôpital et regagner son domicile. Face à la montée de la peur e cette pandémie mortelle, le responsable de l'Institut Pasteur a mis en garde contre "les spéculations sur la propagation du virus sans se référer aux experts scientifiques" et i a balayé l'idée que ce virus ait été propagé par un laboratoire. Interrogé sur le classement à risque de 3 pays africains (Algérie, Egypte et Afrique du Sud) de par leurs grands échanges avec la Chine, le spécialiste a estimé que "le virus arrive de sa source en Chine mais a traversé l'Europe pour débarquer en Algérie". Selon lui "tous les cas de contagion de ce virus sont importés puisqu'il n'existe aucun patient qui a été contaminé localement". Le Dr Derrar a souligné que "jusqu'à présent, il n'y a pas encore une intensification du virus". Il cite les mesures prises par le président de la République après avoir reçu tous les experts scientifiques et médicaux à une question autour de la relation entre le virus et le climat, le premier responsable de l'Institut Pasteur a confirmé que "la chaleur eut jouer un rôle dans le ralentissement du virus mais n'empêche pas son apparition". Selon le données scientifiques "il est établi qu'entre 0 et 10 degrés, le virus ne se propage pas beaucoup". Mais l'expert préfère miser sur les mesures d'efficacité de la prévention en considérant que pour l'heure "il n'y a pas encore des perspectives thérapeutiques à ce virus".