Le baccalauréat et les examens de fin d'année, seront-ils maintenus? Les élèves, parents et enseignants, sont inquiets. Pour l'instant, le ministère semble favorable au maintien des échéances. D'autant qu'aucune décision n'a été prise pour le moment. Le baccalauréat et les examens de fin d'année, seront-ils maintenus? Les élèves, parents et enseignants, sont inquiets. Pour l'instant, le ministère semble favorable au maintien des échéances. D'autant qu'aucune décision n'a été prise pour le moment. Cette situation pénalise toute la famille de l'éducation, qui fut la première sacrifiée (situation oblige), dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus. Certainement, elle le payera très cher, en terme de retard scolaire qu'il sera impossible de rattraper. En effet, la période de confinement liée au coronavirus devrait se poursuivre encore, au moins jusqu'à la mi-avril. C'est la piste qui semble la plus probable, vu que l'épidémie du coronavirus se propage beaucoup plus vite que prévu. Pour ce, le confinement partiel est d'ailleurs entré en vigueur depuis samedi dernier dans plusieurs wilayas. Ce confinement amène les parents, à s'équiper pour poursuivre tantbien que mal l'école à la maison. D'autre part, certains d'entre eux pensent déjà aux cours particuliers, afin de permettre à leurs enfants de rattraper les cours perdus, et de mieux se préparer pour les examens de fin d'année. Mais, peuvent-ils (tous) se les permettre, dans ce contexte de crise sanitaire sans précédent? Devant le silence du ministère de l'Education et l'absence de communication avec les partenaires sociaux, ces derniers, n'ont semble-t-il pas d'autres solutions que de faire des propositions dans ce sens, pour trouver une solution à cette question. Le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), a indiqué que le ministère de l'Education doit agir vite pour prendre une décision. Amoura regrette que le département de Mohamed Ouadjaout manque d'anticipation pour gérer cette situation. Il plaide pour l'organisation du Bac en septembre et la mise en place d'une cellule de suivi de l'évolution de la pandémie Covid-19, au niveau du ministère de l'Education, pour prendre les mesures adéquates. Pour sa part, le président de l'Association nationale des parents d'élèves (Anpe), va dans le même sens, en proposant d'organiser le Bem en juin et le report du Bac en septembre. Le responsable n'écarte pas le retour au seuil lors des prochains examens. Reste que Khaled Ahmed dénonce l'inertie du ministère qui, selon lui, "n'associe pas" les associations des parents dans la prise de décision, notamment soutient, également, l'option du report des examens du Bem et du Bac au mois de septembre, si les choses restent en l'état. Pour lui, le ministère de l'Education doit réfléchir dès maintenant, sur les décisions à prendre. Comme le SG du Satef et le président de l'Anpe, Zoubir Rouina a estimé qu'il n'y aura jamais une année blanche. Cette situation pénalise toute la famille de l'éducation, qui fut la première sacrifiée (situation oblige), dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus. Certainement, elle le payera très cher, en terme de retard scolaire qu'il sera impossible de rattraper. En effet, la période de confinement liée au coronavirus devrait se poursuivre encore, au moins jusqu'à la mi-avril. C'est la piste qui semble la plus probable, vu que l'épidémie du coronavirus se propage beaucoup plus vite que prévu. Pour ce, le confinement partiel est d'ailleurs entré en vigueur depuis samedi dernier dans plusieurs wilayas. Ce confinement amène les parents, à s'équiper pour poursuivre tantbien que mal l'école à la maison. D'autre part, certains d'entre eux pensent déjà aux cours particuliers, afin de permettre à leurs enfants de rattraper les cours perdus, et de mieux se préparer pour les examens de fin d'année. Mais, peuvent-ils (tous) se les permettre, dans ce contexte de crise sanitaire sans précédent? Devant le silence du ministère de l'Education et l'absence de communication avec les partenaires sociaux, ces derniers, n'ont semble-t-il pas d'autres solutions que de faire des propositions dans ce sens, pour trouver une solution à cette question. Le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), a indiqué que le ministère de l'Education doit agir vite pour prendre une décision. Amoura regrette que le département de Mohamed Ouadjaout manque d'anticipation pour gérer cette situation. Il plaide pour l'organisation du Bac en septembre et la mise en place d'une cellule de suivi de l'évolution de la pandémie Covid-19, au niveau du ministère de l'Education, pour prendre les mesures adéquates. Pour sa part, le président de l'Association nationale des parents d'élèves (Anpe), va dans le même sens, en proposant d'organiser le Bem en juin et le report du Bac en septembre. Le responsable n'écarte pas le retour au seuil lors des prochains examens. Reste que Khaled Ahmed dénonce l'inertie du ministère qui, selon lui, "n'associe pas" les associations des parents dans la prise de décision, notamment soutient, également, l'option du report des examens du Bem et du Bac au mois de septembre, si les choses restent en l'état. Pour lui, le ministère de l'Education doit réfléchir dès maintenant, sur les décisions à prendre. Comme le SG du Satef et le président de l'Anpe, Zoubir Rouina a estimé qu'il n'y aura jamais une année blanche.