Plusieurs secteurs sont actuellement menacés de pertes d'emplois. Les conséquences de l'épidémie du coronavirus n'ont épargné i le bâtiment et la construction, les crèches, l'artisanat et les commerces privés. Plusieurs secteurs sont actuellement menacés de pertes d'emplois. Les conséquences de l'épidémie du coronavirus n'ont épargné i le bâtiment et la construction, les crèches, l'artisanat et les commerces privés. La menace plane en effet sur des pans entiers de travailleurs selon des spécialistes. Le BTPH secteur stratégique qui emploie près de 90.000 travailleurs est en perte de vitesse. Selon un communiqué de l'union générale des entrepreneurs algériens (AGEA) "l'épidémie du virus Covid-19 a impacté le secteur de la construction avec un recul de 75 % de son chiffre d'affaire global et la perte de milliers d'emploi". Le secteur fort de ces 5.500 entreprises vit actuellement un véritable drame avec l'arrêt total de ces chantiers. L'UGEAa cet effet adressé une correspondance au Premier ministre "pour intervenir rapidement afin de sauver le secteur des conséquences néfastes de l'épidémie". L'union ajoute que "les difficultés inhérentes audéplacement des travailleurs sur les chantiers a poussé des milliers à quitter leursemplois sans prévenir" appelant de ce fait le gouvernement "à autoriser pour l'ouverture de petits chantiers et d'ateliers pour sauver le secteur de la faillite". La même situation frappe d'autres secteurs à l'instar des crèches dont le nombre avoisine actuellementles 3.000. Selon Bahia Senouci porte-parole des crèches en Algérie "la plupart des crèches privées sont à l'arrêt et les salaires des employés n'ont pas été versés à temps suite à l'épidémie qui a mis chaos à nos activités". Les milliers de ces travailleurs selon cette responsable sont dans le désarroi total et cela pousse "à la création d'un syndicat national pour trouver des solutions urgentes à cette catastrophe de fermeture". Pour ce qui est de l'artisanat, l'union nationale qui les représentent au niveau de l'UGCAA mentionné dans une déclaration médiatique que "près de 2.000 artisans sont actuellement en chômage forcé du fait que leurs activités sont régies dans le cadre du commerce privé". Ces artisans ne trouvent plus de clients et sont obligés de fermer boutique suite aux recommandations de prévention sanitaires édictées par le gouvernement. Idem pour les salons certains commerces privés dont les salons de coiffure, dégraissages, réparation et maintenance électronique qui ont les plus touchés par cette crise où des centaines de travailleurs sont en cessation de paiement. Les associations de commerçants ont réitéré leur ultime appel au gouvernement pour trouver "un moyen de réouverture de ces commerces en tenant compte des mesures draconiennes de prévention sanitaires qui doivent être appliquées". La menace plane en effet sur des pans entiers de travailleurs selon des spécialistes. Le BTPH secteur stratégique qui emploie près de 90.000 travailleurs est en perte de vitesse. Selon un communiqué de l'union générale des entrepreneurs algériens (AGEA) "l'épidémie du virus Covid-19 a impacté le secteur de la construction avec un recul de 75 % de son chiffre d'affaire global et la perte de milliers d'emploi". Le secteur fort de ces 5.500 entreprises vit actuellement un véritable drame avec l'arrêt total de ces chantiers. L'UGEAa cet effet adressé une correspondance au Premier ministre "pour intervenir rapidement afin de sauver le secteur des conséquences néfastes de l'épidémie". L'union ajoute que "les difficultés inhérentes audéplacement des travailleurs sur les chantiers a poussé des milliers à quitter leursemplois sans prévenir" appelant de ce fait le gouvernement "à autoriser pour l'ouverture de petits chantiers et d'ateliers pour sauver le secteur de la faillite". La même situation frappe d'autres secteurs à l'instar des crèches dont le nombre avoisine actuellementles 3.000. Selon Bahia Senouci porte-parole des crèches en Algérie "la plupart des crèches privées sont à l'arrêt et les salaires des employés n'ont pas été versés à temps suite à l'épidémie qui a mis chaos à nos activités". Les milliers de ces travailleurs selon cette responsable sont dans le désarroi total et cela pousse "à la création d'un syndicat national pour trouver des solutions urgentes à cette catastrophe de fermeture". Pour ce qui est de l'artisanat, l'union nationale qui les représentent au niveau de l'UGCAA mentionné dans une déclaration médiatique que "près de 2.000 artisans sont actuellement en chômage forcé du fait que leurs activités sont régies dans le cadre du commerce privé". Ces artisans ne trouvent plus de clients et sont obligés de fermer boutique suite aux recommandations de prévention sanitaires édictées par le gouvernement. Idem pour les salons certains commerces privés dont les salons de coiffure, dégraissages, réparation et maintenance électronique qui ont les plus touchés par cette crise où des centaines de travailleurs sont en cessation de paiement. Les associations de commerçants ont réitéré leur ultime appel au gouvernement pour trouver "un moyen de réouverture de ces commerces en tenant compte des mesures draconiennes de prévention sanitaires qui doivent être appliquées".