Visiblement, la Fédération nationale des parents d'élèves n'est pas satisfaite de la décision prise la semaine dernière par le Conseil des ministres au sujet des examens de fin d'année, notamment le BEM et le BAC, prévue pour le mois de septembre. Son président, Visiblement, la Fédération nationale des parents d'élèves n'est pas satisfaite de la décision prise la semaine dernière par le Conseil des ministres au sujet des examens de fin d'année, notamment le BEM et le BAC, prévue pour le mois de septembre. Son président, Ali Benzina, s'exprimant hier dans les média, affirme avoir écrit une lettre au président de la République pour lui demander de revenir sur la décision du Conseil des ministres et de supprimer purement et simplement l'examen du Brevet d'enseignement moyen (BEM) Ali Benzina met en avant comme argument "la longue rupture pédagogique (mars-septembre)", pour expliquer que les élèves "risquent de tout oublier d'ici début septembre, date de l'examen". L'autre argument de la "Fédé" des parents d'élèves c'est « la pression psychologique", à la quelle seraient soumis les élèves candidats, les empêchant de se concentrer pour préparer leur examen, selon son président. Il est vrai que la Fédération des parents d'élèves avait défendu, lors de ses rencontres avec leministre de l'Education, le principe de la suppression des épreuves du BEM et le recours aux notes du contrôle continu du premier et deuxième semestre. Une position défendue aussi par le CNAPESTE, selon son porte-parole, Messaoud Boudiba, qui, pour sa part,avait fait valoir "les conditions exceptionnelles" dans lesquelles se trouve le pays, en raison de la pandémie du coronavirus, qui a amputé l'année colaire du dernier trimestre. Cela étant, on voit mal le président de la République faire marche arrière en accédant à la doléance de la fédération des parents d'élèves qui veut un passage en première année de lycée sur la base de la moyenne des deux premiers trimestre et non des épreuves du BEM prévues pour la première semaine de septembre, selon la décision du CDM, dimanche dernier Ali Benzina, s'exprimant hier dans les média, affirme avoir écrit une lettre au président de la République pour lui demander de revenir sur la décision du Conseil des ministres et de supprimer purement et simplement l'examen du Brevet d'enseignement moyen (BEM) Ali Benzina met en avant comme argument "la longue rupture pédagogique (mars-septembre)", pour expliquer que les élèves "risquent de tout oublier d'ici début septembre, date de l'examen". L'autre argument de la "Fédé" des parents d'élèves c'est « la pression psychologique", à la quelle seraient soumis les élèves candidats, les empêchant de se concentrer pour préparer leur examen, selon son président. Il est vrai que la Fédération des parents d'élèves avait défendu, lors de ses rencontres avec leministre de l'Education, le principe de la suppression des épreuves du BEM et le recours aux notes du contrôle continu du premier et deuxième semestre. Une position défendue aussi par le CNAPESTE, selon son porte-parole, Messaoud Boudiba, qui, pour sa part,avait fait valoir "les conditions exceptionnelles" dans lesquelles se trouve le pays, en raison de la pandémie du coronavirus, qui a amputé l'année colaire du dernier trimestre. Cela étant, on voit mal le président de la République faire marche arrière en accédant à la doléance de la fédération des parents d'élèves qui veut un passage en première année de lycée sur la base de la moyenne des deux premiers trimestre et non des épreuves du BEM prévues pour la première semaine de septembre, selon la décision du CDM, dimanche dernier