visioconférence, sous la présidence du ministre de l'Energie et président en exercice de la conférencede l'Opep, AbdelmadjidAttar. visioconférence, sous la présidence du ministre de l'Energie et président en exercice de la conférencede l'Opep, AbdelmadjidAttar. Cette réunion, qui se tient dans un contexte difficilecaractérisé par les effets de la Covid-19 surl'économie mondiale, devrait se pencher sur la possibilité de prolonger, au-delà de 2020, le seuil actuel de baisse de production appliqué depuis le mois d'août dernier, à savoir 7,7 mb/j pour trois mois supplémentaires, c'est-à-dire jusqu'à la finmars prochain. Cette option a été examinéedimanche lors d'une réunion technique qui aregroupée les membres de l'Opep, a indiqué lundiàAlger M. Attar, peu avant le début des travaux dela réunion de l'Opep. Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole(Opep) reconduiront-ils leur accord de limitationde production? C'est au coeur du premier jour dusommet ministériel des pays membres du 30novembre pour tenter de s'entendre sur leurs quotasde coupe de production d'or noir, dans un marchétoujours déprimé par la pandémie de coronavirus .Les treize membres du cartel seront rejointsaujourd'hui par leurs dix alliés de l'Opep+, au premier rang desquels la Russie. L'objectif communde l'alliance des pays producteurs est de maintenirà flot un marché dubrut dévasté par la pandémie duCovid-19 et qui se remet doucement des abîmesdans lesquels avaient plongé les prix à la fin dumois d'avril. Pour ce faire, le groupe s'astreint àdes coupes drastiques dans sa production afin del'adapter à un niveau de demande qui a fondu, uneffort pénible pour ses recettes même si ces réductionsont contribué à faire repartir les prix à lahausse. Possible report de trois à six mois Selon l'accorden vigueur décidé en avril, le retrait actuel dumarché de 7,7 millions de barils par jourdoit être ramené à 5,8 millions à compter de janvier2021, mais la plupart des observateurstablent sur un report de trois, voire six mois, ladeuxième vague de Covid-19 n'ayant pas àl'époque été anticipée. Les ministres influents ducartel ont d'ailleurs envoyé ces dernièressemaines des signaux en ce sens. Mais la récenteremontée des prix, portée par les annonces de laboratoires pharmaceutiques commeAstraZeneca, Pfizer/BioNTech ouModerna à proposd'un prochain vaccin contre le Covid-19,ramène une dose d'incertitude qui n'est pas sansrappeler les précédents sommets Cette réunion, qui se tient dans un contexte difficilecaractérisé par les effets de la Covid-19 surl'économie mondiale, devrait se pencher sur la possibilité de prolonger, au-delà de 2020, le seuil actuel de baisse de production appliqué depuis le mois d'août dernier, à savoir 7,7 mb/j pour trois mois supplémentaires, c'est-à-dire jusqu'à la finmars prochain. Cette option a été examinéedimanche lors d'une réunion technique qui aregroupée les membres de l'Opep, a indiqué lundiàAlger M. Attar, peu avant le début des travaux dela réunion de l'Opep. Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole(Opep) reconduiront-ils leur accord de limitationde production? C'est au coeur du premier jour dusommet ministériel des pays membres du 30novembre pour tenter de s'entendre sur leurs quotasde coupe de production d'or noir, dans un marchétoujours déprimé par la pandémie de coronavirus .Les treize membres du cartel seront rejointsaujourd'hui par leurs dix alliés de l'Opep+, au premier rang desquels la Russie. L'objectif communde l'alliance des pays producteurs est de maintenirà flot un marché dubrut dévasté par la pandémie duCovid-19 et qui se remet doucement des abîmesdans lesquels avaient plongé les prix à la fin dumois d'avril. Pour ce faire, le groupe s'astreint àdes coupes drastiques dans sa production afin del'adapter à un niveau de demande qui a fondu, uneffort pénible pour ses recettes même si ces réductionsont contribué à faire repartir les prix à lahausse. Possible report de trois à six mois Selon l'accorden vigueur décidé en avril, le retrait actuel dumarché de 7,7 millions de barils par jourdoit être ramené à 5,8 millions à compter de janvier2021, mais la plupart des observateurstablent sur un report de trois, voire six mois, ladeuxième vague de Covid-19 n'ayant pas àl'époque été anticipée. Les ministres influents ducartel ont d'ailleurs envoyé ces dernièressemaines des signaux en ce sens. Mais la récenteremontée des prix, portée par les annonces de laboratoires pharmaceutiques commeAstraZeneca, Pfizer/BioNTech ouModerna à proposd'un prochain vaccin contre le Covid-19,ramène une dose d'incertitude qui n'est pas sansrappeler les précédents sommets